Par The Saker − Le 23 octobre 2019 − Source thesaker.is via Unz Review
Dans son récent article intitulé «Le chemin de Damas : comment la guerre en Syrie a été gagnée», Pepe Escobar a résumé le résultat de la guerre en Syrie de la manière suivante :
Par The Saker − Le 23 octobre 2019 − Source thesaker.is via Unz Review
Dans son récent article intitulé «Le chemin de Damas : comment la guerre en Syrie a été gagnée», Pepe Escobar a résumé le résultat de la guerre en Syrie de la manière suivante :
Par Whitney Webb − Le 12 juillet 2019 − Source MintPress via Unz Review
Bien avant que Theodore Herzl ait fondé le sionisme politique et publié The Jewish State, les sionistes chrétiens aux États-Unis et en Angleterre cherchaient déjà à diriger et à influencer la politique étrangère des deux nations au service d’une prophétie obsessionnelle.
La plus grande organisation pro-israélienne aux États-Unis n’est pas composée de Juifs, mais d’évangélistes chrétiens, avec un total de 7 millions de membres, soit plus de 2 millions de plus que l’ensemble de la communauté juive américaine.
"La Syrie n’a jamais eu bonne presse auprès des élites politiques dirigeantes de l’Hexagone. Et pour cause : ce pays récalcitrant, farouchement attaché à sa souveraineté, porte-étendard du nationalisme arabe, résolument anti-impérialiste, dernier rempart contre l’entreprise sioniste en Palestine, membre central de ce qu’il est désormais appelé Axe de la Résistance qui l’unit au Hezbollah libanais, à la résistance palestinienne, à l’Iran et à l’Irak, un axe adossé à une Russie ressuscitée sur les décombres de l’Union soviétique. Un pays séculier, attaché aux principes du non-alignement définis par la Conférence de Bandung de 1955, qui s’est tenu du côté de tous les mouvements de libération à travers le monde et qui n’a pas hésité à s’engager au côté du peuple algérien dans sa guerre de libération nationale. Last but not least : il a toujours porté la cause palestinienne dans son cœur envers et contre tous, y compris dans la tourmente qui a failli l’emporter depuis 2011. Autant de raisons pour le vouer aux gémonies" – Michel Raimbaud
Par Majed Nehmé − Le 30 septembre 2019 − Source Afrique-Asie
Ce n’est pas par hasard si le premier chapitre du livre de Michel Raimbaud, ancien ambassadeur, ancien président de l’OFPRA, professeur de sciences politique et auteur de Les Guerres de Syrie, reprend la célèbre locution de Caton l’Ancien Delenda est Carthago – il faut détruire Carthage -, « Delenda est Syria », une vielle obsession. Un vieil acharnement sans doute puisque Caton, qui avait coutume de prononcer cette formule à chaque fois qu’il commençait ou terminait un discours devant le Sénat romain, quel qu’en fût le sujet, avait également participé à la guerre contre la Syrie alors dirigée par le roi Antiochos III le Grand ! Ce dernier avait eu l’audace de recevoir Hannibal le fugitif dans sa cour et de contribuer à l’armer contre Rome, alors seule puissance hégémonique montante.
Par Whitney Webb – Le 6 septembre 2019 – Source MintPress News
À la suite d’une autre fusillade de masse ou d’une autre crise catastrophique, des « solutions » orwelliennes vont être imposées à un public américain effrayé par un réseau d’influence très organisé, pas seulement autour de Jeffrey Epstein, mais d’une litanie de crimes et d’une histoire effrayante de plans pour écraser la dissidence interne aux États-Unis.
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Par James Howard Kunstler – Le 16 septembre 2019 – Source kunstler.com
Bienvenue dans un monde où les choses n’ont pas de sens. Par exemple, certaines personnes ont fait certaines choses à la raffinerie de pétrole saoudienne d’Abqaiq au cours du week-end. Une salve de missiles de croisière et de drones armés pour la faire exploser. Ils ont fait du bon travail en bloquant l’activité. Il s’agit de la plus grande installation de traitement du pétrole d’Arabie saoudite et, pour l’instant, peut-être pendant des mois, une bonne partie de l’approvisionnement mondial en pétrole sera coupé. Le Président Trump a dit : » Nous attendons que le Royaume nous dise qui, selon lui, est à l’origine de cette attaque et les termes selon lesquels nous allons agir ! » Le point d’exclamation est de lui.
Par M. K. Bhadrakumar – Le 11 septembre 2019 – Source Indianpunchline.com
Lors d’un point de presse mardi après-midi à Washington, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a mis en garde contre toute estimation précipitée que la sortie du Conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, indiquerait un changement sismique dans la politique étrangère de l’administration Trump.
Pompeo a déclaré : « A mon avis, aucun dirigeant dans le monde ne devrait présumer que, parce que certains d’entre nous s’en vont, la politique étrangère du Président Trump changera de façon concrète. »
Gilad Atzmon − Le 12 september 2019 − Source Unz Review
La leçon à tirer de l’impasse politique israélienne actuelle est qu’Israël est en train d’imploser, de se disperser en ses différents éléments qu’il n’a jamais réussi à intégrer en une unité. Le schisme ne vient plus de la dichotomie quotidienne entre juifs ashkénazes et juifs arabes (alias séfarades) ; cette division est à la fois idéologique, religieuse, spirituelle, politique, ethnique et culturelle. Cela ne vient pas non plus d’une décomposition entre la gauche et la droite, les juifs israéliens étant politiquement de droite même lorsqu’ils prétendent être « de gauche ». Bien que certaines des voix critiques les plus acerbes de la politique israélienne et du fondamentalisme juif soient des Israéliens (comme Gideon Levi, Shlomo Sand, Israel Shamir et d’autres), il n’existe plus aucune gauche politique israélienne. La politique israélienne se divise maintenant en de nombreux électeurs d’extrême droite et de nombreux faucons ordinaires. Le parti Arab Joint List est pratiquement le seul parti de gauche à la Knesset israélienne. Cela ne devrait plus surprendre quiconque. La gauche juive, comme je l’affirme depuis de nombreuses années, est un oxymore ; la judaïcité est une forme d’identification tribale alors que la gauche est universaliste. Les « tribaux » et les « universalistes » sont comme l’huile et l’eau, ils ne se mélangent pas très bien.
Par Moon of Alabama – Le 9 septembre 2019
Avi Issacharoff est un « expert sur le Moyen-Orient » israélien qui écrit pour le Times of Israel et d’autres publications du même genre.
Le 27 août, il affirmait que les drones qui ont attaqué le Hezbollah à Beyrouth ne venaient pas d’Israël et que le dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, mentait à ce sujet :
Par The Saker − Le 28 août 2019 − Source thesaker.is via Unz Review
Le Premier ministre israélien s’est rendu à Kiev aujourd’hui, où il a été accueilli par le – pseudo – slogan «traditionnel» ukronazi « Gloire à l’Ukraine ! Gloire aux héros ! ». Pour quelqu’un comme moi qui n’aime ni le sionisme, ni le nazisme, il était ironique de voir un premier ministre israélien se rendre officiellement en Ukraine, occupée par les nazis, pour commémorer le massacre des Juifs à Babii Iar, salué par le même slogan que celui entendu par les Juifs assassinés à Babii Iar de la bouche des bourreaux banderites, alors qu’ils se faisaient tirer dessus.
Par Alastair Crooke – Le 19 aout 2019 – Source Strategic Culture
Cela devient visible. L’Arabie saoudite a perdu et, comme le remarque Bruce Riedel, « les houtis et l’Iran sont les grands gagnants stratégiques ». Les représentants saoudiens à Aden – le siège du pseudo gouvernement yéménite mis en place par Riyad – ont été chassés par des sécessionnistes du sud, laïques et ex-marxistes. Que peut faire l’Arabie saoudite ? Elle ne peut plus avancer. Encore plus dur serait de battre en retraite. L’Arabie saoudite devra faire face à une guerre houthie qui s’étend jusqu’à l’intérieur du sud du royaume, et à une deuxième guerre – bien différente – dans le sud du Yémen. MbS est coincé. Les dirigeants militaires houthis sont sur la bonne voie et peu intéressés, pour l’instant, par un règlement politique. Ils souhaitent accumuler plus de « cartes en main ». Les Émirats arabes unis, qui avaient armé et entraîné les sécessionnistes du sud, se sont retirés. MbS reste seul à porter le fardeau. Cela va être une belle pagaille.