Par Brandon Smith − Le 9 mai 2025 − Source Alt-Market

En 2016, j’avais prédit une victoire retentissante de Donald Trump dans sa campagne électorale contre Hillary Clinton, malgré les nombreuses voix qui me disaient que j’étais fou. Les sceptiques argumenteraient que l’establishment ne permettrait jamais à Trump d’accéder à la présidence. Ma position sur la question était relativement simple : le mouvement populiste conservateur était bien trop fort pour être ignoré et les globalistes ne considéraient peut-être pas l’arrivée de Trump à la Maison Blanche comme une défaite totale s’ils pouvaient le contrôler en coulisses ou le saboter à l’aide d’une crise nationale.

Le président Donald Trump apparaît déjà comme un colosse traversant l’histoire du 21e siècle. Conscient qu’il lui reste moins de quatre ans pour créer son héritage, Trump est sans aucun doute un homme pressé. Étonnamment, l’ordre du jour de sa visite était assez chargé, mais il a trouvé un peu de place pour l’Inde et le Pakistan.
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La commémoration des 100 premiers jours de la deuxième présidence de Donald Trump a déclenché une vague de commentaires le dépeignant comme un révolutionnaire. En effet, la rapidité, la pression et la détermination avec lesquelles il a agi sont frappantes. Mais ce point de vue est superficiel. Trump ne démantèle pas les fondements de l’État ou de la société américaine. Au contraire, il cherche à restaurer la république pré-globaliste que l’élite libérale a depuis longtemps détournée sur une voie utopique internationaliste. En ce sens, Trump n’est pas un révolutionnaire, mais un contre-révolutionnaire ; un révisionniste idéologue déterminé à inverser les excès de l’ère libérale.