L’équipe bleue est protégée par l’audace même de sa trahison des Américains. Pour la plupart d’entre eux, leur approche dépasse littéralement l’entendement. – Bret Weinstein
Par James Howard Kunstler – Le 1 Novembre 2024 – Source Clusterfuck Nation

À l’heure qu’il est, vous vous demandez probablement quel genre de désordre le Parti du chaos s’apprête à déchaîner sur notre démocratie après que sa puissante opération de fraude électorale aura échoué à vaincre l’instinct encore plus puissant des électeurs qui les expulsera des sièges du pouvoir dont ils se sont emparés par la fraude en 2020 et en 2022. Vous pouvez être sûrs qu’ils ont élaboré un plan de jeu visant à paralyser la nation d’une manière ou d’une autre si l’effort visant à installer Kamala Harris à la Maison Blanche s’effondre, comme cela semble être le cas dans ces derniers jours avant le bilan.

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L’élection présidentielle de cette semaine aura été un tournant pour les États-Unis. L’impressionnante victoire de Donald Trump signifie, à première vue que, sur les principaux sujets de préoccupation de l’électorat américain – l’économie et l’immigration – les citoyens ont trouvé ses positions plus convaincantes que celles proposées par la vice-présidente Kamala Harris. De plus, il est clair que les Américains, lors du choix d’un chef d’État, préféraient une personnalité manifestement plus forte.
L’Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) a été créée le1er avril 1979 sous l’administration de Jimmy Carter, au plus fort d’une crise stagflationniste de près de dix ans et de la crise pétrolière iranienne. En vertu du décret 12127, son objectif déclaré était de centraliser tous les efforts liés aux catastrophes au sein d’une seule entité de haut niveau. Plus précisément, la FEMA a mis fin à l’Agence de défense civile, plus localisée, qui se concentrait sur les interventions d’urgence au niveau local, et a fédéré toute la coordination des catastrophes sous un système unique de haut en bas contrôlé par le Bureau ovale.
À l’approche des élections américaines de 2024, la tension monte à travers le pays, alimentant les craintes que la république étasunienne elle-même soit en jeu.