Par Moon of Alabama – Le 12 octobre 2022
La corruption politique, le manque de connaissances et les politiques étrangères irrationnelles ont amené les États-Unis à un point où ils sont en train de perdre leur primauté dans le monde.
En réponse au coup d’État américain de 2014 à Kiev, la Fédération de Russie a soutenu les rebelles russes ethniques dans la région du Donbass pour résister au progrom anti-russe dont le régime de Kiev, contrôlé par les nazis, les menaçait. Cela a bloqué les plans américains visant à faire entrer l’Ukraine dans l’OTAN et à stationner des missiles américains directement à la frontière russe.
En 2016, les Démocrates ont cherché à se venger en lançant de fausses accusations d’ingérence russe dans les élections américaines. Pour justifier sa défaite à l’élection présidentielle, Hillary Clinton a créé le « Russiagate« , une accusation diffamatoire disant que Trump était en réalité dirigé par la Russie. Elle a été soutenue par des fonctionnaires de haut rang dans tout l’État profond et en particulier au sein du FBI. Avec le recul, leur comportement a dépassé l’entendement :
L’une des principales histoires du jour est la colère de l’administration Biden à propos de l’accord de l’OPEP+ visant à réduire la production de pétrole de 2 millions de barils par jour. L’équipe Biden le prend personnellement, décrivant l’affaire comme une surprise, malicieusement programmée pour nuire aux perspectives du parti Démocrate lors des élections de mi-mandat, et la preuve que les Saoudiens, l’un des alliés de longue date des États-Unis au Moyen-Orient, travaillent de concert avec la Russie.

Je savais que nous étions dans le coup avec ce battage publicitaire sur « l’âme de la nation », mais je ne m’attendais pas vraiment à ce que l’Independence Hall soit décoré en rouge sang et noir sépulcral digne de la Bouche de l’Enfer pour un sermon du Seigneur des Mouches lui-même. D’une manière ou d’une autre, son équipe a réussi à faire monter le vieux filou sur le podium enflammé à temps, où, dans son mode d’argumentation à l’envers et à l’endroit, il a fulminé contre la « grave menace pour la démocratie » que représente une opposition qui s’efforce de saper « nos droits personnels… la poursuite de la justice [et] l’État de droit ». Bien reçu, Kemosabe.


