Par William Engdahl – Le 11 août 2021 – Source New Eastern Outlook
Pour paraphraser une célèbre boutade lancée par Bill Clinton, alors candidat à la présidence, lors d’un débat avec son adversaire républicain en 1992, « C’est le vaccin, idiot ! ». Le récit quotidien des médias grand public et du gouvernement dont le monde entier est inondé est déroutant pour la plupart, et c’est un euphémisme. Le variant dit Delta ou « indien » se propage comme la varicelle, nous dit-on, mais sans préciser ce que signifie cette « propagation ». Les personnes non vaccinées sont accusées de transmettre la COVID-19 à celles qui sont censées être vaccinées. Les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne mènent la danse avec ce confus et mortel récit.
Des responsables politiques poussent les enfants à se faire vacciner malgré les recommandations officielles de l’OMS et des autorités médicales nationales, comme le STIKO en Allemagne, qui préconisent d’attendre. Les tests PCR, qui définissent la politique mais qui ne disent rien sur la présence d’un virus spécifique chez une personne, sont traités comme le « Gold Standard » de l’infection. Pourtant, à ce jour, aucun laboratoire n’a réussi à isoler des échantillons purs du prétendu virus SRAS-CoV-2 qui serait à l’origine de la maladie COVID-19. Comment les tests PCR peuvent-ils être calibrés si l’agent pathogène revendiqué n’est pas clairement identifié ? Avec un peu de recul, il apparaît clairement que nous sommes soumis à une opération mondiale délibérée de dissonance cognitive dont les conséquences prévues pour l’avenir de notre civilisation nous sont cachées.
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