Par James Howard Kunstler – Le 3 Septembre 2021 – Source kunstler.com

En fait, la politique progressiste-libérale en matière d’avortement n’est jamais allée assez loin. Si seulement l’avortement était rétroactif ! Nous pourrions renvoyer « Joe Biden » (et peut-être tout le monde) dans les ténèbres cosmiques pré-embryonnaires qui précèdent la conception ? Sinon, nous devrons le chasser du Bureau ovale comme un petit généralissime guatémaltèque, puisqu’il a achevé la transformation des États-Unis en un trou perdu du tiers-monde… et qu’il a donc rempli sa mission.
C’était ça, d’ailleurs ? « Joe Biden » était-il une sorte de kamikaze envoyé ouvertement à la Maison Blanche par des partis mal perçus pour faire sauter les restes en lambeaux d’une république autrefois digne ? Une cohorte d’observateurs, dont de nombreux commentateurs avisés de ce blog, le dirait. D’une manière ou d’une autre, les jours de « Ol’ White Joe » à la barre sont désormais comptés. Même la claque des lèche-bottes quasi-analphabètes des médias d’information se retourne contre lui depuis qu’il a jeté un coup d’œil à sa montre trop souvent pendant que les corps des marines morts étaient roulés devant lui à Dover AFB. Au moins, il n’a pas bâillé et n’a pas allumé de cigarette non plus.


L’autorité gouvernementale américaine chargée de la réglementation des médicaments, la Food and Drug Administration [FDA dans la suite du texte,NdT], vient d’annoncer qu’elle avait approuvé le vaccin génétique à ARNm de Pfizer et BioNTech. Mais dans quelles conditions ?
Quelque chose de « grand » se prépare-t-il ? On a l’impression que c’est possible. De graves problèmes se préparent dans les sociétés occidentales et les élites commencent à s’impatienter. Nous pouvons l’observer dans la manière dont l’Establishment tente de préserver la narration relative au virus (« tout le monde doit être vacciné »), tout en agissant simultanément pour la modifier, en imputant toute faille narrative au variant Delta. Sir Andrew Pollard, professeur d’infectiologie et d’immunologie pédiatriques à l’Université d’Oxford, affirme catégoriquement qu’il est 
