Par M.K. Bhadrakumar – Le 4 janvier 2025 – Source Indian punchline
Le département d’État américain a révélé jeudi, dans un rapport sur les cadeaux reçus des dirigeants étrangers en 2023, que si le Premier ministre Narendra Modi avait offert le cadeau « le plus cher » que le président Biden ait reçu, c’est en réalité son épouse, Jill Biden, qui a reçu ce diamant d’une valeur de 20 000 dollars (plus de 17 000 000 roupies).
Pour un observateur de la culture politique américaine, cela évoque l’analogie avec un cheikh du Moyen-Orient, originaire de la région du Golfe, faisant des courbettes pour s’attirer les faveurs de la Maison Blanche. En effet, des questions troublantes se posent.
À l’approche de 2025, le rythme accéléré du changement mondial soulève de la poussière. Au cours de l’année 2024 qui touche à sa fin, qu’il s’agisse d’élections nationales ou régionales, de guerres inattendues ou de catastrophes aériennes soudaines, le « changement » fut le thème déterminant. Tout en apportant de l’incertitude, ces changements ont également suscité des aspirations partagées et des appels à l’action – à la recherche d’un consensus au milieu de ces bouleversements, de la résonance des valeurs partagées et de la coexistence en harmonie.
Par
La paix de Westphalie en 1648 a jeté les bases de l’ordre mondial moderne, qui repose sur un équilibre des pouvoirs entre pays souverains égaux pour entraver les ambitions hégémoniques. L’équilibre des pouvoirs westphalien pourrait réduire les rivalités à somme nulle en défendant le principe de la sécurité indivisible, car renforcer la sécurité des adversaires améliorerait également sa propre sécurité.
Par
Cette année est la première année suivant l’expansion des BRICS, et le premier sommet post-expansion se tiendra à Kazan, en Russie, du 22 au 24 octobre. Parallèlement au sommet, le nouveau système de paiement BRICS Pay a attiré l’attention, soulignant le renforcement des liens économiques et commerciaux entre les pays des BRICS.
Même s’il résiste à l’épreuve du temps, comme son prédécesseur Fumio Kishida, Ishiba n’a pas grand-chose à offrir pour attirer les dirigeants de l’ASEAN dans un contexte de déclin de la puissance économique du Japon et de montée en puissance économique de l’ASEAN.