Par Moon of Alabama – Le 19 aout 2024
Axios affirme que le Hamas rejette un accord de cessez-le-feu avec Israël :
L’introduction :
Par Moon of Alabama – Le 19 aout 2024
Axios affirme que le Hamas rejette un accord de cessez-le-feu avec Israël :
L’introduction :
Par Moon of Alabama – Le 14 aout 2024
Le Washington Post entretient le bellicisme contre l’Iran.
David Ignatius, porte-parole informel de la CIA, affirme aujourd’hui que l’Iran complote pour tuer des hommes politiques américains :
Téhéran prépare depuis des années une violente campagne de représailles contre les États-Unis. L’Iran a mené des complots d’assassinat répétés à l’intérieur des États-Unis depuis lors, sans succès, selon des documents du ministère de la justice.
L’Iran a appliqué une méthodologie similaire dans la plupart de ces attaques. Les Iraniens ou leurs agents qui se sont rendus en Iran ont tenté de recruter des tueurs à gages au sein de gangs ou de groupes criminels. Ils ont utilisé des techniques complexes pour tenter d’éviter d’être repérés aux États-Unis, mais, à chaque fois, ils sont tombés entre les mains du FBI.
Ou bien le FBI a trouvé quelques imbéciles qui se sont laissés prendre au piège…
Par M.K. Bhadrakumar – Le 12 aout 2024 – Source Indian punchline
Selon la dernière version israélienne, l’Iran n’arrive pas à se décider à riposter à l’assassinat du chef du Hamas, Ismail Haniyeh, le 28 juillet, alors qu’il était en visite à Téhéran pour l’investiture du président Masoud Pezeshkian.
L’hypothèse est qu’il doit y avoir un conflit entre Pezeshkian et les partisans de la ligne dure du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI), le nouveau président s’opposant à toute stratégie agressive à l’égard d’Israël.
À première vue, il s’agit d’une interprétation ridicule. Mais l’Iran l’a néanmoins réfutée, le ministre des affaires étrangères par intérim, Ali Bagheri Kani, déclarant pas plus tard que samedi soir que Téhéran « fera payer au régime israélien agresseur le prix de son agression par une action légitime et décisive« . Des mots soigneusement choisis.
Par Anatol Lieven – Le 2 aout 2024 – Source Responsible Statecraft
Près de 100 jours se sont écoulés depuis que le Congrès a adopté un financement d’urgence de 61 milliards de dollars pour l’Ukraine, une mesure qui comprenait une condition exigeant que l’administration Biden présente au corps législatif une stratégie détaillée pour la poursuite du soutien des États-Unis.
Lorsque le projet de loi de financement a été adopté en grande pompe le 23 avril, la section 504, page 32, comprenait le mandat suivant :
« Au plus tard 45 jours après la date de promulgation de la présente loi, le secrétaire d’État et le secrétaire à la Défense, en consultation avec les responsables des autres agences fédérales concernées, le cas échéant, soumettront aux commissions des finances, des services armés et des relations extérieures du Sénat et aux commissions des finances, des services armés et des affaires étrangères de la Chambre des représentants une stratégie concernant le soutien des États-Unis à l’Ukraine contre l’agression de la Fédération de Russie : À condition que cette stratégie soit pluriannuelle, qu’elle établisse des objectifs spécifiques et réalisables, qu’elle définisse les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis et qu’elle leur donne la priorité… »
Nous sommes au mois d’août et l’administration Biden n’a toujours pas manifesté l’intention de soumettre une telle stratégie au Congrès. Cela conduit inévitablement à soupçonner qu’une telle stratégie n’existe pas en réalité. Cela suggère également que sans un changement massif de mentalité au sein de l’administration, il n’est même pas possible d’organiser – et encore moins de rendre publiques – des discussions internes sérieuses et honnêtes sur le sujet, car elles révéleraient les hypothèses erronées et vides sur lesquelles repose une grande partie de la politique actuelle.
Par M.K. Bhadrakumar – Le 3 aout 2024 – Source Indian Punchline
En pleine cascade de tensions au Moyen-Orient suite à l’assassinat du chef du Hamas, Ismail Haniyeh, par Israël et aux vœux de « vengeance » de Téhéran, le nouveau gouvernement du président Massoud Pezeshkian, qui a prêté serment mardi, a fait ses premiers pas jeudi. L’ancien ministre iranien des affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a été nommé « adjoint stratégique » du président iranien et s’est vu confier la responsabilité du Centre d’études stratégiques (CSS).
Le CSS est l’organe de recherche du bureau du président. La nomination de Zarif signifie son retour dans l’arène de la politique étrangère et la haute estimation de Pezeshkian pour ses qualifications uniques afin de conduire la diplomatie de Téhéran sur la voie du milieu.
La longue exposition de Zarif aux cercles politiques américains pendant son long mandat d’ambassadeur auprès des Nations unies et son réseau social actif à New York sont ses atouts stratégiques. Zarif est un visage familier et est très apprécié dans les capitales occidentales.
Par Moon of Alabama – Le 30 juillet 2024
Un commentaire quelque peu prématuré sur le conflit entre le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant et le ministre de la Sécurité nationale (et radical condamné) Itamar Ben-Gvir :
Hussein @EyesOnSouth1 – 10:36 AM – 30 Jul. 2024
La désintégration de la société sioniste se produit plus tôt que prévu. Plus les Israéliens prendront conscience que l’échec de la guerre est inévitable plus cela s’exacerbera. Une guerre civile est très probable, mais près d’un tiers de la population (libéraux & affiliés) partira plutôt que de se battre.
Il ne s’agit pas d’un affrontement entre deux responsables, mais d’un affrontement idéologique entre deux écoles de pensée qui se situent aux antipodes l’une de l’autre.
Le conflit ne restera pas qu’entre Ben-Gvir et Gallant/Halevi, il deviendra un conflit entre l’armée et la police/milice.
Par Oren Ziv − Le 8 juillet 2024 − Source 972mag
Début juin, Al Jazeera a diffusé une série de vidéos troublantes révélant ce qu’elle a qualifié d' »exécutions sommaires« , à trois reprises : Des soldats israéliens abattaient plusieurs Palestiniens qui marchaient près de la route côtière dans la bande de Gaza. Dans chaque cas, les Palestiniens ne semblaient pas armés et ne représentaient aucune menace imminente pour les soldats.
De telles images sont rares, en raison des contraintes sévères auxquelles sont confrontés les journalistes dans l’enclave assiégée et du danger permanent qui pèse sur leur vie. Mais ces exécutions, qui ne semblent pas avoir de justification sécuritaire, sont cohérentes avec les témoignages de six soldats israéliens qui ont parlé à +972 Magazine et à Local Call après leur libération du service actif à Gaza au cours des derniers mois. Corroborant les témoignages de témoins oculaires et de médecins palestiniens tout au long de la guerre, les soldats ont déclaré avoir été autorisés à ouvrir le feu sur les Palestiniens pratiquement à volonté, y compris sur les civils.
Les six sources – à l’exception d’une seule qui a parlé sous le couvert de l’anonymat – ont raconté comment les soldats israéliens exécutaient régulièrement des civils palestiniens simplement parce qu’ils entraient dans une zone que l’armée définissait comme une « zone interdite« . Les témoignages dépeignent un paysage jonché de cadavres de civils, laissés à l’abandon ou dévorés par des animaux errants ; l’armée ne les cache qu’avant l’arrivée des convois d’aide internationale, afin que « les images de personnes en état de décomposition avancée ne sortent pas« . Deux des soldats ont également témoigné d’une politique systématique consistant à incendier les maisons palestiniennes après les avoir occupées.
Pendant que les pays occidentaux sanctionnent la Chine pour le « génocide » totalement inventé des Ouighours et ergotent sur celui, indéniable, des palestiniens de Gaza, pendant que le reste du monde débat pour savoir s’il est antisémite de critiquer la politique israélienne, comme on débattrait du sexe des anges, Israël est en train de, lentement mais surement, massacrer la population de Gaza. Honte à ceux qui qui le nient ou l’excusent.
Interview de James Elder, porte-parole de l’UNICEF – Le 17 Juin 2024 – Democracy Now
L’armée israélienne a annoncé dimanche une « pause tactique » quotidienne dans ses attaques contre Rafah pour permettre à l’aide humanitaire d’entrer dans la bande de Gaza, après avoir régulièrement empêché l’aide d’atteindre les Palestiniens de Gaza depuis le 7 octobre. « Une pause dans les bombardements est une bonne nouvelle pour les enfants », a déclaré le porte-parole de l’UNICEF, James Elder, dans un entretien depuis Rafah avec Democracy Now !. « L’épuisement physique et psychologique auquel ils sont confrontés est presque impossible à comprendre », dit-il, qualifiant l’offensive israélienne de « guerre contre les enfants ».
Par Moon of Alabama – Le 20 juin 2024
Le 8 octobre, au lendemain de l’attaque du Hamas contre Israël, le Hezbollah libanais est entré dans la danse. En lançant des missiles sur des installations militaires dans le nord d’Israël. 80 000 colons israéliens vivant dans le nord ont fui leurs maisons. Ils sont toujours installés dans des hôtels partout en Israël en attendant le retour au calme sur ce front.
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait annoncé que la campagne de riposte entre le Hezbollah et les forces israéliennes se poursuivrait jusqu’à ce qu’un cessez-le-feu permanent soit conclu à Gaza.
Mais les radicaux en charge de la politique israélienne ne veulent pas d’un cessez-le-feu à Gaza. Ils veulent éradiquer le Hamas et la plus grande partie possible de la population de Gaza. Un cessez-le-feu les en empêcherait.
Par Caitlin Johnsone – Le 3 juin 2024
En 1999, une femme nommée Cindy Hendy a été poignardée au cou avec un pic à glace par une femme nommée Cynthia Vigil dans une caravane à Albuquerque, au Nouveau-Mexique. Vigil a ensuite fui les lieux vers une résidence voisine, dont le propriétaire a rapidement appelé la police.
Pourtant, elle n’a jamais été accusée pour son crime.
La raison pour laquelle Cynthia Vigil n’a jamais été accusée d’aucun crime malgré le fait qu’elle ait poignardé Cindy Hendy au cou avec un pic à glace était parce que Hendy était complice du tueur en série David Parker Ray, également connu sous le nom de Toy Box Killer. L’évasion de Vigil de la caravane où Ray et Hendy l’avaient emprisonnée et torturée a conduit à l’arrestation ultérieure du couple. Ray est mort en prison trois ans plus tard, l’ampleur de sa série de meurtres restant inconnue. Hendy a purgé 19 ans de prison et a été libéré en 2019.