Par Nicolas Bonnal – Septembre 2018 – Source nicolasbonnal.wordpress.com
Alors que l’Occident est sous contrôle psychiatrique-pathologique, belliciste-humanitaire, féministe-antiraciste, androphobe-russophobe et sociétal-transgenre, relisons ou découvrons un admirable ouvrage collectif sur ce sujet instructif, Théorie de la jeune-fille :
« La jeune-fille veut être ‘indépendante’, c’est-à-dire, dans son esprit, dépendante du seul ON. »
Oui, cet « on », ces « ils », ces indéfinis, qui ne font pas assez couler assez d’encre, en auront-ils fait couler du sang… Et regardez la guerre que May se prépare contre la Russie…
Tout comme une mauvaise demoiselle peut dans les romans du Graal dérouter le chevalier, la jeune-fille humanitaire, consumériste des temps postmodernes nous mène à de drôles de guerres psy :
« Sous les grimaces hypnotiques de la pacification officielle se livre une guerre. Une guerre dont on ne peut plus dire qu’elle soit d’ordre simplement économique, ni même sociale ou humanitaire, à force d’être totale. Tandis que chacun pressent bien que son existence tend à devenir le champ d’une bataille où névroses, phobies, somatisations, dépressions et angoisses sonnent autant de retraites, nul ne parvient à en saisir ni le cours ni l’enjeu. »