Par Andrew Korybko − Le 14 juillet 2024 − Source korybko.substack.com
Les États-Unis viennent de connaître un rappel à la réalité sur leur proximité avec le chaos.
Par Andrew Korybko − Le 14 juillet 2024 − Source korybko.substack.com
Les États-Unis viennent de connaître un rappel à la réalité sur leur proximité avec le chaos.
Par Dmitry Orlov – Le 6 juillet 24 – Source Club Orlov
L’expression « État profond » s’est imposée dans le langage politique en dépit du fait qu’elle n’a aucun sens.
Les choses allaient mal, et ils savaient que les choses allaient mal, et ils savaient que les autres devaient aussi savoir que les choses allaient mal, et pourtant ils devaient prétendre, extérieurement, que les choses allaient bien. Le président allait bien. Les élections se passeraient bien. – Olivia Nuzzi, NY Magazine
Par James Howard Kunstler – Le 5 juillet 2024 – Source Clusterfuck Nation
Il y a une bonne raison pour laquelle la fable des habits neufs de l’empereur est si puissante : elle décrit une société mentalement malade qui se réfugie dans une irréalité abjecte pour éviter de se confronter à la vérité. Hélas, cet archétype du dilemme humain pousse une telle société vers la némésis: la chute et le châtiment. Et c’est exactement la conséquence du comportement crapuleux, déshonorant et dégénéré de nos médias au cours de la dernière décennie.
Par Brandon Smith − Le 3 juillet 2024 − Source Alt-Market
Lors d’un sondage national réalisé le mois dernier, on a demandé aux Américains s’ils pensaient qu’une nouvelle guerre civile était susceptible de se produire de leur vivant. Les médias de l’establishment ont été choqués d’apprendre que 47 % de la population avait répondu par l’affirmative. Ceux d’entre nous qui travaillent dans les médias de la liberté n’ont pas été aussi surpris ; je crois que, d’après les faits, nous étions déjà à deux doigts d’une guerre civile en 2021-2022.
Par Jean-Luc Baslé – Le 1er juillet 2024
L’accroissement de la dette publique américaine a suscité de nombreux commentaires. L’emballement récent tient pour partie à des causes atypiques, telle la crise des subprimes ou la pandémie. Néanmoins, il existe un problème de fond lié au double déficit, budgétaire et commercial des États-Unis. Notre analyse commence par l’examen de la dette, et se poursuit par l’étude du déficit budgétaire et du déficit commercial. Nous concluons que cette dette dans son état actuel ne peut que conduire à une crise majeure de l’économie américaine, et par contrecoup de l’économie mondiale.
Par Dmitry Orlov – Le 26 Juin 2024 – Source Club Orlov
Une règle historique pratique : lorsque les coûts du service de la dette d’un empire puissant dépassent ses dépenses de défense, l’empire puissant touche à sa fin. Jusqu’à présent, cette règle a été valable pour les empires ottoman, russe et britannique ; l’empire américain est en train de la mettre à l’épreuve. Le Congressional Budget Office (bureau du budget du Congrès) a constaté que le gouvernement fédéral a dépensé davantage pour payer les intérêts de la dette nationale que pour l’armée au cours de l’année fiscale 2024. Les dépenses de défense des États-Unis s’élèvent à environ 1 000 milliards de dollars par an, et le service de la dette sera encore plus élevé.
« La déclaration finale de Joe Biden est l’équivalent politique de l’écran bleu de la mort. Ce n’est qu’un long pépin gelé ». – Sean Davis, The Federalist
Par James Howard Kunstler – Le 28 juin 2024 – Source Clusterfuck Nation
Peut-être quatre-vingt-dix secondes après le début du débat tant attendu d’hier soir, le consensus a dû se faire parmi les mavens des médias woke et brisés que leur champion, « Joe Biden », n’était pas tout à fait à la hauteur sur le podium. Les modérateurs de CNN, Jake Tapper et Dana Bash, ont agi comme les témoins d’un sacrifice rituel. Et après coup, le panel de CNN chargé de l’autopsie a semblé sincèrement choqué que des mois de simulacre aient dérapé vers une fin aussi ignominieuse.
« Le gauchisme pourrait être noble si sa préoccupation pour les marginaux n’était pas simplement une externalité accessoire à sa haine bouillonnante du normal et du bon. » – David Pivtorak sur « X »
Par James Howard Kunstler – Le 24 juin 2024 – Source Clusterfuck Nation
Avez-vous éprouvé un sentiment de malheur pendant la vague de chaleur de la semaine dernière qui vous a fait perdre la tête ? La simple attente anxieuse et le souhait que cela se termine étaient une analogie agréable avec le miasme psycho-politique étouffant qui opprime cette nation – alternativement connue sous le nom de république (que nous défendons) et de « notre démocratie », comme « Joe Biden » aime à qualifier son régime de guerre légale, de guerre tout court et de dépravation étatique criarde. Eh bien, réjouissez-vous et faites sonner les cloches ! La météo politique est en train de se dégrader. La semaine qui s’annonce ressemble à un banquet à volonté, à la vapeur, lourd de conséquences.
Par Moon of Alabama – Le 29 juin 2024
L’assaut lancé hier par le Comité national démocrate contre la campagne de Joe Biden a échoué.
Jeudi soir, dès le début du débat Trump-Biden, des responsables anonymes du DNC ont contacté leurs habituels intermédiaires dans les « médias libéraux » et ont dénoncé la performance de Biden. Même les médias, comme CNN et MSNBC, qui nient depuis des années les problèmes évidents de Biden, ont sauté dans le train. Biden, disaient-ils, devrait battre en retraite.
Le New York Times a mobilisé un grand nombre de ses rédacteurs d’opinion pour transmettre le message :
« L’obéissance forcée à des mensonges évidents est l’essence même du totalitarisme. C’est l’ultime flexion pour les psychopathes ». – Toby Rogers
Par James Howard Kunstler – Le 17 juin 2024 – Source Clusterfuck Nation
Vous vous rendez compte, n’est-ce pas, que tout ce qui se passe autour du fiasco de l’Ukraine du côté de l’OTAN est complètement fou ? Les gens qui dirigent le gouvernement américain – Barack Obama et sa bande de sorcières – ont tout déclenché là-bas, de concert avec une bande d’acteurs du monde des affaires (BlackRock, diverses compagnies pétrolières et gazières, des types d’Haliburton, des fabricants d’armes, un tas de grandes banques), plus l’ignoble WEF pour les « guider » (ha !), cherchant à s’emparer des richesses minérales de l’Ukraine et, en fin de compte, de la Russie elle-même. Belle tentative. Ça n’a pas marché. Des tonnes d’argent ont été jetées dans un trou à rats.