Par Dmitry Orlov – Le 20 juillet 2022 – Source Club Orlov
Lorsque le bataillon ukrainien Azov (des nazis tatoués et drogués) a finalement été chassé des rues de Marioupol, une ville russe d’un demi-million d’habitants située sur les rives de la mer d’Azov, pour se réfugier dans les sous-sols caverneux de l’usine métallurgique, les habitants, qui avaient été contraints de se cacher des mitrailleuses et des bombardements dans les sous-sols de leurs propres immeubles, ont d’abord hésité à quitter leurs abris. Puis certains d’entre eux, en écoutant le bruit à l’extérieur, ont entendu de puissants « Allahu akbar ! » (« Gloire à Dieu »), ils ont poussé un profond soupir de soulagement – « les Russes sont enfin là ! » – et ont envahi les rues pour accueillir leurs libérateurs russes, qui étaient, dans ce cas, les forces spéciales tchétchènes.