L’“économie de l’hydrogène” est comme un zombie : peu importe le nombre de fois qu’il est tué, il continue à vous tomber dessus. Comme un film de zombies à Hollywood, l’hydrogène semble exercer une énorme fascination car son histoire est vendue aux gens comme un moyen de continuer à faire tout ce que nous faisons sans avoir besoin de faire des sacrifices ou de changer nos habitudes. Malheureusement, la réalité n’est pas un film, et l’inverse est également vrai. L’hydrogène est une tarte à la crème qui retarde la véritable innovation qui permettrait d’éliminer progressivement les combustibles fossiles du bouquet énergétique mondial.
2020 a été une sacrée aventure et bien qu’il nous reste encore un mois, passons en revue la dette et les taux d’intérêt américains.
Par Chris Hamilton – Le 6 décembre 2019 – Source Econimica
La dette négociable du Trésor américain a augmenté de 4 200 milliards de dollars jusqu’à présent en 2020. Cela porte la dette du Trésor américain à 27 400 milliards de dollars. Mais la quasi-totalité de la croissance provient de la dette négociable du Trésor… alors que la dette intra-gouvernementale (IG), qui est liée à la démographie (avoirs de la sécurité sociale, etc.), est en train d’être “roulée”.
la voie vers les camps de concentration “covid” en Amérique ?
Par Brandon Smith – Le 6 janvier 2021 – Source Alt-Market
Il y a six mois, dans la panique et le battage médiatique autour de l’épidémie de coronavirus, le gouvernement néo-zélandais a fait une annonce qui est passée pratiquement inaperçue dans les grands médias. Il s’agissait d’une décision politique sur laquelle le monde occidental tout entier aurait dû s’élever, mais à l’époque, le public était encore en train de traiter le chaos de la pandémie. La Nouvelle-Zélande a mis en place ce qui équivalait à des prisons pour malades, des “installations de quarantaine” médicales où tout citoyen suspecté d’être porteur de la maladie pouvait être détenu sans procès aussi longtemps que le gouvernement le jugeait nécessaire. De plus, ces camps de malades relèveraient de la juridiction des militaires. En d’autres termes, la réponse néo-zélandaise en matière de covidification a été discrètement transformée en loi martiale.
Par Brandon Smith − Le 30 décembre 2020 − Source Alt-Market
Depuis de nombreux mois maintenant, j’avertis que la conception des mesures de confinement de la pandémie est perpétuelle, ce qui signifie que les mesures de confinement sont censées durer éternellement. Nous pouvons le constater dans les commentaires des élites de l’establishment qui font pression pour obtenir ces contraintes ; leur argument le plus fréquent étant que les restrictions liées à la pandémie sont la “nouvelle normalité”. Cette affirmation est soulignée par des globalistes comme Gideon Lichfield du MIT dans son article “On ne va pas revenir à la normale“.
Les mesures de confinement n’empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n’apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux.
Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d’obsession hygiénique des surfaces et des mains et de déploiement accéléré des vaccins sont contraires à la science connue et aux récentes études de référence. Le gouvernement a fait preuve d’imprudence par action et de négligence par omission. Des mesures institutionnelles sont nécessaires depuis longtemps pour endiguer la corruption dans le domaine de la médecine et de la politique de santé publique.
Après Trump face à l’Europe et 56, Jean-Loup Izambert revient avec un complice cette fois-ci pour un livre sur l’actualité brûlante, le coronavirus qui aura réussit l’exploit de faire se terrer le monde entier enfin surtout sa composante otanesque, étrangement ultra-sensible à cet ennemi invisible.
Par Gleb Kuznetsov – Le 24 décembre 2020 – Source Club Orlov
La fin de l’année 2020, si horrible, terrible et même atroce, approche à grands pas, ce qui en fait un bon moment pour choisir les gagnants. Et le premier candidat dans la catégorie “l’histoire médiatique la plus stupide de l’année” semble être le combat de Boris Johnson contre la souche du coronavirus VUI-202012/01, que nous appellerons VUI [Variante sous investigation, NdT] pour faire court. La liste des candidats était pourtant loin d’être courte ; 2020 a été une année faste pour les absurdités de toutes sortes. Juste quand vous pensez qu’il ne devrait pas être possible de penser à quelque chose d’encore plus absurde, quelqu’un va de l’avant et le fait. Si, au printemps de cette année, il est apparu que les Britanniques ont combattu le coronavirus à la manière de Benny Hill, leurs actions pour combattre le VUI ont atteint les sommets héroïques des Monty Python.
Par Binoy Kampmark − Le 22 décembre 2020 − Source Oriental Review
Noël annulé
Le changement de mentalité à Downing Street a encore frappé. Avec le Premier ministre britannique Boris Johnson aux commandes, les changements de direction sont compulsifs, naturels et soudains. Le demi-tour est devenu l’attente prosaïque. “On a trop souvent l’impression que ce gouvernement se lèche le doigt et le colle en l’air pour voir dans quel sens souffle le vent”, déplorait en août le député conservateur Charles Walker, vice-président du comité de 1922. “Ce n’est pas une façon durable d’aborder les affaires du gouvernement”.
Loin d’être des tours d’ivoire, les universités ressemblent aujourd’hui de plus en plus à des citadelles délabrées, assiégées par des armées d’Orques. La pandémie de Covid-19 a peut-être donné le coup de grâce à une structure qui était de toute façon en train de tomber.
Il y a quelques semaines, j’ai vu la fin de l’université telle que je la connaissais. C’était quand j’ai vu une file d’étudiants se tenir dans le hall principal de notre département. Tous étaient masqués, tous devaient se tenir sur l’une des marques tracées sur le sol, à exactement un mètre de distance les uns des autres. Un assistant les observait attentivement, pour éviter qu’ils ne s’éloignent de leur position. La seule chose qui manquait était des chaînes, des boulets aux pieds et les élèves chantant la marche du groupe en cadence.