Le califat se profile à l’horizon ; il est inévitable, et le chemin qui mène à ses portes est pavé des crânes d’enfants anglais. − Peachy Keenan
Par James Howard Kunstler – Le 2 juin 2025 – Source Clusterfuck Nation

Entendez-vous les sonnettes d’alarme retentir ? On dirait que le mois de juin est en train d’exploser, comme le dit la vieille chanson de Broadway. Le chaos règne, et il y en a pour tous les goûts. Faites votre choix : une guerre civile éclate en France et au Royaume-Uni, peut-être même en Allemagne, si elle parvient à se sortir de sa torpeur psychotique. La troisième guerre mondiale plane sur le continent comme une prière exaucée qui s’apprête à atterrir. Et ici, aux États-Unis, une véritable insurrection mûrit avec les pêches de l’été.

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Les dirigeants russes sont en « conclave » 
L’un des mystères autour de la fin de partie en Ukraine est que le président Donald Trump n’ait pas publié, le 20 janvier, un décret retirant tout soutien à l’Ukraine. Cela aurait été le moyen le plus simple de mettre fin à la guerre.
Dans la frénésie médiatique actuelle entourant le conflit entre la Russie et l’Ukraine, un double standard flagrant continue de déformer la perception du public : la nature et l’impact de la guerre des drones. Les médias occidentaux, les politiciens et les ONG s’empressent de se jeter sur la Russie en demandant des actions de représailles, tout en restant étrangement silencieux sur la campagne de drones et d’escalade de l’Ukraine. Cette indignation sélective n’a pas seulement miné un dialogue sérieux pour la paix ; elle protège l’Ukraine de toute responsabilité alors qu’elle mène ce qui ne peut être décrit que comme une campagne de terreur contre les civils russes.