« La déclaration finale de Joe Biden est l’équivalent politique de l’écran bleu de la mort. Ce n’est qu’un long pépin gelé ». – Sean Davis, The Federalist
Par James Howard Kunstler – Le 28 juin 2024 – Source Clusterfuck Nation
Peut-être quatre-vingt-dix secondes après le début du débat tant attendu d’hier soir, le consensus a dû se faire parmi les mavens des médias woke et brisés que leur champion, « Joe Biden », n’était pas tout à fait à la hauteur sur le podium. Les modérateurs de CNN, Jake Tapper et Dana Bash, ont agi comme les témoins d’un sacrifice rituel. Et après coup, le panel de CNN chargé de l’autopsie a semblé sincèrement choqué que des mois de simulacre aient dérapé vers une fin aussi ignominieuse.
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Selon votre position politique, vous allez considérer la poussée de la droite populiste au Parlement européen comme une grave menace pour la démocratie, ou comme une victoire éclatante de celle-ci – et un grand pas en avant dans la « reprise en main » de l’oligarchie bruxelloise. Mais les deux positions sont erronées. En réalité, malgré l’hystérie d’hier, aggravée par la décision de Macron de dissoudre le Parlement et de convoquer des élections anticipés, l’impact de celle-ci ne sera pas aussi important que les gens le craignent ou l’espèrent.
Le président américain Joe Biden a chargé son conseiller à la sécurité nationale, Jake Sullivan, de se rendre à New Delhi dès que le premier ministre Narendra Modi aura formé son nouveau gouvernement. Cela peut nous rappeler d’une certaine manière la mission effectuée en 1990 à New Delhi par Robert Gates, alors conseiller adjoint à la sécurité nationale sous la présidence de George HW Bush, dans l’ombre d’une prétendue apocalypse nucléaire imminente dans le sous-continent.