Par Beau Albrecht – Le 26 octobre 2021 – Source Counter-Currents
Certains éminents notables ont affirmé que la guerre civile américaine avait des racines substantielles dans la littérature. Mark Twain, par exemple, a dit de Sir Walter Scott qu’il était “dans une large mesure responsable de la guerre”. Cette proposition est bien sûr discutable. Cet argument s’articule autour de la question de savoir dans quelle mesure l’influence considérable de sa prose romanesque et chevaleresque a soutenu la posture fougueuse du Sud – en d’autres termes, l’agressivité et la vigueur – qui a contribué à la sécession et, peu après, à une guerre qui a mal tourné. Le contre-argument est que d’autres facteurs ont créé un syndrome de la forteresse assiégée qui a inspiré ces actions désespérées et tragiques.