Le désastre de la dette nationale dont personne ne parle
Par Brandon Smith − Le 6 Décembre 2023 − Source Alt-Market

Il y a plusieurs années, j’ai prédit que les États-Unis seraient finalement confrontés à l’énigme économique débilitante de la stagflation, que le pays n’avait pas connue depuis les années 1970. Je suggérais que la stagflation redeviendrait un mot familier et que la majorité des préoccupations des Américains tourneraient autour de la hausse des prix couplée à la stagnation des salaires et à la baisse de la production. En 2018, dans mon article intitulé « Crise stagflationniste : L’effondrement en cours des États-Unis, en comprendre la cause« , j’ai noté ce qui suit :
« Il y a des années, il y a eu une bataille assez idiote entre analystes financiers sur ce que serait le résultat final des mesures de relance massives de la Fed. Les uns affirmaient que la déflation serait le résultat et qu’aucune mesure d’impression de la Fed ne pourrait venir à bout du vaste trou noir de la dette engendré par l’implosion des produits dérivés. L’autre camp soutenait que la Fed continuerait à imprimer perpétuellement, recourant au QE4 ou peut-être au « QE infini » et aux taux d’intérêt négatifs pour éviter un krach boursier pendant des décennies (comme au Japon) tout en lançant une vague d’inflation à la Weimar.
Les deux camps se sont trompés parce qu’ils ont refusé de reconnaître la troisième option – la stagflation ».

À quel moment l’activisme radical franchit-il la ligne et devient-il une déclaration de guerre ? C’est une question à laquelle je réfléchis depuis longtemps, ainsi qu’aux implications qu’elle a pour le concept de « démocratie ». Jusqu’à quel point la civilisation et le patrimoine doivent-ils se plier aux désirs de groupes contraires au nom de la liberté ? Si un mouvement a constamment prouvé qu’il était une force destructrice cherchant à saper les fondements de l’Occident, doit-on l’autoriser à rester en Occident ? Est-ce autoritaire de les expulser ? Si c’est le cas, est-ce important ?


Dans mon 

