Le rapport dette/PIB des États-Unis atteindra un nouveau record en 2020


Par Chris Hamilton – Le 20 mars 2020 – Source Econimica

Un jubilé de la dette pour lutter contre la crise sanitaire et ...

  • Le coronavirus n’est ni la peste ni la grippe espagnole, mais nous ne sommes pas non plus ce que nous étions autrefois. Le résultat final est donc peut-être le même !
  • Les jeunes (qui représentent l’avenir) ne peuvent pas couvrir la dette qui augmente rapidement… et les politiques visant à éviter de s’occuper de la dette finissent par détruire l’activité économique future.
  • Les États-Unis font faillite entre demi-mesures pour gagner du temps. La dépression mondiale est désormais inévitable et imminente.

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Discussion sur l’Ère de croissance, le Corona-Virus et l’Ère de déclin


Par Chris Hamilton − Le 8 mars 2020 − Source Econimica

Le pot au noir

Je vais suggérer que le coronavirus est plutôt une fenêtre ou un marqueur qui sépare ce qui sera considéré comme la fin d’une ère et le début d’une autre. Le coronavirus est grave, global, et semble causer la mort et des perturbations importantes. Il est probable que la pandémie mondiale durera de 9 à 18 mois, avec un potentiel d’infection élevé et des pertes de vies importantes. Mais après la pandémie, il est plus probable que les choses reviennent à la “normale”. Le coronavirus en lui-même n’est pas le problème (pas plus que la grippe espagnole ne l’était en 1918/1919). Et c’est la discussion sur ce qui est “normal” au cours des sept dernières décennies par rapport à la décennie actuelle et aux décennies à venir que j’espère encourager.

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Le fait démographique mondial contre la sorcellerie des banques centrales


Par Chris Hamilton − Le 27 février 2020 − Source Econimica

Modern Magicians Killed for Practicing Magic | Gnostic Warrior

La croissance annuelle de la population en âge de travailler constitue la base organique de la croissance de la consommation nationale, régionale et mondiale.

Cependant, depuis la Seconde Guerre mondiale, la politique des taux d’intérêt a évolué à l’inverse de la croissance annuelle de la population en âge de travailler, pour inciter à s’endetter toujours plus alors que la croissance de la population en âge de travailler a ralenti pour devenir nulle.

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La folie des politiques budgétaires et monétaires


Dépopulation actée contre pandémie potentielle


Par Chris Hamilton − Le 6 février 2020 − Source Econimica

SCB Global Population Trend Fund (Accumulation) | fund information ...

Le coronavirus actuel et la possibilité d’une pandémie régionale ou mondiale suscitent de grandes inquiétudes (à juste titre). Les pertes de vies humaines et le ralentissement de l’activité économique qui en découle inquiètent beaucoup de gens et les manipulateurs des marchés font des heures supplémentaires pour éviter une “panique” des actifs (c’est-à-dire la découverte des prix sur le marché libre). Toutefois, on ne peut pas savoir à quel point cette situation peut être grave et généralisée et on ne peut que spéculer.

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1919 contre 2019


La dernière fois que la population américaine des moins de 65 ans a diminué, c’était lors d’une pandémie mondiale… Et maintenant ?


Par Chris Hamilton – Le 4 février 2020 – Source Econimica

COVID-19: How did Spanish flu change the world? | World Economic Forum

Ce qui se passe en Chine est vraiment effrayant, tant pour ceux qui sont actuellement à risque que pour le reste d’entre nous en raison du manque de transparence. Que la situation soit contenue ou métastase, cela semble vraiment être dans la balance, à l’heure actuelle. La dernière fois que le monde a été confronté à une pandémie mondiale de proportions épiques a été la grippe espagnole de 1918/1919. Bien qu’elle n’ait pas pris les proportions de la peste noire (qui a anéanti environ un tiers de la population européenne en cinq ans, ainsi qu’une grande partie de l’Eurasie), l’épidémie de grippe espagnole a été horrible. De toute évidence, la population mondiale était beaucoup plus petite à l’époque (moins de 2 milliards) et le monde était beaucoup moins interconnecté par les transports à grande vitesse et les frontières ouvertes, qui existent aujourd’hui. Pourtant, environ 500 millions de personnes ont été infectées par la grippe espagnole (un quart de la population mondiale) et entre 50 et 100 millions ont péri à cause de la maladie (entre 3 et 5 % de la population mondiale).

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Que signifie la plus faible croissance démographique de l’histoire des États-Unis pour l’emploi ?


Par Chris Hamilton – Le 31 janvier 2020 – Source Econimica

american-worker-usa-1 ⋆ BYT // Brightest Young Things

En 2019, la croissance démographique américaine a atteint son plus faible pourcentage dans l’histoire des États-Unis, mis à part les années de pandémie de 1918/1919 (lorsque la grippe espagnole a coûté la vie à près de 700 000 Américains). La croissance annuelle de 0,5 % signifie que la population américaine a augmenté d’environ 1,55 million de personnes en 2019.

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Que signifie la plus faible croissance démographique de l’histoire des États-Unis pour le logement ?


Par Chris Hamilton – Le 27 janvier 2020 – Source Econimica

En 2019, la croissance démographique américaine a atteint son plus faible pourcentage dans l’histoire des États-Unis, mis à part les années de pandémie de 1918/1919 (lorsque la grippe espagnole a coûté la vie à près de 700 000 Américains). La croissance annuelle de 0,5 % signifie que la population américaine a augmenté d’environ 1,55 million de personnes en 2019.

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La financiarisation et la banque centrale ont cimenté la baisse des taux de fertilité, des naissances et finalement de la dépopulation


Par Chris Hamilton – Le 24 janvier 2020 – Source Econimica

Les pays qui représentent 56 % du PIB mondial ont des naissances et des populations en âge de procréer en baisse, les pays qui représentent 35 % du PIB ont des naissances en baisse mais des populations en âge de procréer en hausse, les pays qui représentent moins de 9 % du PIB mondial ont des naissances et des populations en âge de procréer en hausse.

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L’effondrement de la population suit les taux d’intérêt, l’endettement et l’explosion du prix des actifs


Par Chris Hamilton – Le 17 janvier 2020 – Source Econimica

Cela ne surprendra peut-être pas beaucoup de mâles, mais les femelles humaines ne ressemblent pas au reste des animaux sur terre. Les femelles humaines ont un facteur unique et totalement différencié de presque toutes les autres formes de vie animale ; leur corps cesse d’être capable de gestation à peu près au milieu de leur cycle de vie. Ce passage naturel à la stérilité (ménopause) ne se produit pas dans le règne animal (ni chez les mâles humains) essentiellement tant qu’ils vivent. En fait il peut y avoir un couple de baleines et de marsouins qui peuvent aussi passer par la ménopause… mais je m’écarte du sujet. Les animaux et les hommes mâles sont encore capables de se reproduire presque jusqu’à la fin. Mais pas les femelles humaines. Même avant que la ménopause ne prenne complètement le dessus, généralement vers 50 ans, le taux de fertilité chute radicalement après 40 ans et les fausses couches se multiplient chez celles qui sont capables de tomber enceintes. À 45 ans, les grossesses cessent pour l’essentiel.

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Naissances mondiales et population de mères potentielles…


en baisse, en baisse, en baisse


Chris Hamilton – Le 12 janvier 2020 – Source Econimica

Policy solutions for demographic change, growing government ...
Aujourd’hui, plutôt que de faire de l’économie anecdotique et des récits sur la surpopulation, je propose une vision du monde qui part de la base. Sur la base des données démographiques de l’ONU pour 2019, je propose une fenêtre de quatre-vingt-dix ans pour les naissances annuelles et le nombre de femmes en âge de procréer au niveau mondial, régional et pour certains pays sélectionnés. Jauger la taille et la nature changeante de la “tarte” est une question que les chefs d’entreprise, les économistes et même les présidents devraient connaître. Combien de clients / consommateurs / travailleurs potentiels existe-t-il actuellement et comment cela va-t-il évoluer à l’avenir ? Sur cette base, les entreprises et les nations pourraient prendre des décisions éclairées en matière de dépenses, d’endettement et de croissance. Ainsi, sans gaspiller davantage d’encre numérique, je montrerai que les naissances annuelles ont atteint un pic dans chaque région du monde (sauf en Afrique), et ensuite quand la population féminine en âge de procréer a atteint ou atteindra aussi son maximum.

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