Démystifier la propagande du lobby LGBTQIAPK+


Par The Saker – Le 12 juillet 2019 – Source thesaker.is via Unz Review

2015-09-15_13h17_31-150x112La première choses à faire : évacuer les évidences

L’homosexualité est un phénomène qui a probablement toujours existé et qui a souvent polarisé la société : ceux qui croient qu’il existe quelque chose de fondamentalement mauvais / erroné/ pathologique / anormal dans l’homosexualité – probablement la plupart, ou toutes, les grandes religions – et ceux qui sont catégoriquement en désaccord. C’est normal. Après tout, la question de l’homosexualité ne concerne pas seulement le sexe en tant que tel, mais également les normes de la société, la reproduction, la question des enfants et de la famille et, plus important encore, l’amour. Quoi de plus mystérieux, de plus fascinant et de plus controversé que l’amour ?

Williams-vs-Sharapova

Laquelle vous semble dopée ?

Je commence cet article avec ces truismes, non pas parce que je les trouve particulièrement intéressants, mais parce que nous vivons à une époque étrange où une seule de ces deux opinions est discutée de manière objective et sereine, tandis que l’autre est immédiatement censurée, dénoncée et condamnée comme une sorte de phobie. Maintenant, le mot «phobie» peut signifier deux choses : aversion / haine ou peur / anxiété.

Est-ce que cela a du sens pour vous ?

Comment se fait-il qu’une opinion, un point de vue, ne peut être que rejeté comme étant en soi pathologique ou irrationnel ?

Permettez-moi de vous poser la question suivante : pouvez-vous imaginer que quelqu’un puisse critiquer l’homosexualité en tant que telle – ou les comportements et pratiques homosexuels – sans souffrir d’aucune sorte de phobie ou sans détester personne ?

Sinon, arrêtez de lire et rallumez votre téléviseur.

Pour tous les autres, je soutiens que ce poncif de la phobie – ainsi que l’étiquette non moins stupide d’«homosexuel coincé dans son déni» – n’est pas propice à une discussion intelligente. Cependant, il sert a mettre un terme à toute analyse critique et attaquer « ad hominem » tous ceux qui osent poser les questions qui fâchent.

Ensuite, je soutiens également qu’il existe des personnes qui ressentent vraiment une aversion, voir une haine, une peur, voire une angoisse, face aux homosexuels. Ce sont ces gens qui sentent leur masculinité considérablement renforcée quand ils ont la chance de tabasser – de préférence en groupe contre un seul – d’humilier ou d’agresser d’une manière ou d’une autre un homosexuel. Dans mon expérience – évidemment entièrement subjective -, il s’agit d’une minorité. Il est vrai que certains homosexuels suscitent un fort sentiment de dégoût chez les hétérosexuels masculins, mais il s’agit généralement de ces homosexuels qui, loin d’être séquestrés dans un «placard» par la société, font le contraire : ils exhibent ostensiblement leur homosexualité avec un maquillage, une tenue vestimentaire et un comportement provocants. Encore une fois, dans mon expérience – toute aussi subjective – il s’agit aussi d’une minorité parmi les homosexuels. Je pense qu’il existe une explication très naturelle à l’aversion que ces homosexuels «exhibitionnistes» déclenchent chez les hétéros masculins, et j’en parlerai plus tard.

Mais pour le moment, je préférerais rester à l’écart de ces phénomènes de minorités propres à certaines circonstances.

Ensuite, définissons le problème

Dans son article sur «l’homosexualité», Wikipedia écrit : «Le consensus de longue date entre les sciences du comportement, les sciences sociales, les professions de la santé et de la santé mentale est que l’homosexualité en soi est une variation normale et positive de l’orientation sexuelle humaine, et donc pas un trouble mental».

Cette phrase mérite d’être analysée très attentivement, d’autant plus qu’elle utilise beaucoup de termes franchement vagues.

Pour commencer, à quoi «le consensus de longue date» fait-il référence ? En 1973, l’US American Psychiatric Association a retiré l’homosexualité du DSM-II. L’US American Psychological Association a emboîté le pas en 1975. Cela m’amène à conclure que, pour Wikipedia, «de longue date» signifie soit 46 ans, soit 44 ans. En termes d’histoire humaine, cette durée ans est proche de l’instantané et sûrement pas « de longue date ». Il y a aussi la question de savoir comment et pourquoi ces deux associations ont décidé de «dé-pathologiser» l’homosexualité. J’y reviendrai plus tard et je me contenterai pour l’instant de déclarer qu’une déclaration de pathologie désormais considérée comme «normale» au moyen d’un vote est peu scientifique.

Ensuite, la déclaration ci-dessus soulève la question de ce qu’est «l’homosexualité en tant que telle» – par opposition à l’homosexualité «pas en tant que telle», je suppose ? L’intention ici est claire : décréter que toute co-morbidité – dépression, suicide, toxicomanie, violence, etc. – pouvant être identifiée dans l’homosexualité sera toujours mise de côté, car elle n’est pas inhérente à l’homosexualité en soi. Il ne s’agit que d’un autre tour de passe-passe grossier pour supprimer toute discussion sur l’homosexualité dans le monde réel – par opposition aux manuels de type DSM.

Vient ensuite la notion de «variation normale et positive de l’orientation sexuelle de l’homme», qui pose évidemment la question de savoir ce qui pourrait être qualifié de «variation anormale et négative de la sexualité humaine». Et à ceux qui diraient que je suis stupide dans ce cas, je ferais remarquer que si dans les années 1970 la question était «juste» celle de l’homosexualité, nous vivons aujourd’hui dans la société LGBTQIAPK et que certains ajoutent même un inquiétant signe  + à la fin de cette abréviation, LGBTQIAPK+ pour s’assurer d’être vraiment et totalement «inclusifs».

Et voici l’embrouille évidente : puisque l’homosexualité est une «variation normale et positive de l’orientation sexuelle de l’homme», il doit en être de même pour l’ensemble de la constellation LGBTQIAPK+. Je soutiens que, à moins que votre QI soit bien au-dessous de la température ambiante, vous devez sûrement comprendre que ce dont nous traitons ici est la liberté pour tous ceux dont la variation de la sexualité humaine est déclarée «normale et positive». CQFD – techniquement, ce serait un faux syllogisme, pas une embrouille.

À propos – vous êtes-vous déjà demandé ce que signifiait vraiment ce petit signe «+» à la fin de LGBTQIAPK+ ? La réponse dépend de la personne à laquelle vous demandez, bien sûr, mais si vous demandez à Facebook au Royaume-Uni, ce n’est pas moins que 71 genres, soixante et onze ! – je ne sais pas si FB pense que les utilisateurs britanniques ont besoin de plus d’options que les utilisateurs non britanniques… ? – Il s’avère que ce petit «+» est beaucoup plus important que le reste de l’acronyme officiel. Et, juste pour rire, voici ce à quoi l’acronyme complet – les 10 de l’original et le nouveau 71 – devrait ressembler : AAAAAABBCCCCCCCCCCCCFFFFFFGGGGGGGIIIIKLMMMMMMMMMNNPPPTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTW+. Oui, j’ai toujours ajouté le « + » obligatoire afin que cette liste soit vraiment « inclusive » au cas où cette liste devrait s’allonger à l’avenir – ce qui ne fait aucun doute !

Et quiconque n’adhère pas à cette embrouille est, encore une fois par définition, un « haineux » et, comme vous le savez bien, « le haineux haïra », n’est-ce pas ? Et si ce n’est pas un haineux, c’est à minima un homosexuel refoulé qui se cache.

Jusqu’ici, comment aimez-vous cet environnement intellectuel ?

Pour mon compte pas du tout. En fait, je le déteste, principalement parce que cet environnement est liberticide.

Je vais donc aborder ce sujet sans aucun égard pour la doxa politiquement correcte qui semble avoir envahi tout le monde occidental. Si vous pensez que cela fait de moi un «haineux» ou un homosexuel profondément refoulé, arrêtez maintenant de lire, car tout ce qui suit pourrait être résumé en un seul mot, crimethink, ce qui ferait de moi un criminel de la pensée.

Aparté 

Depuis que j'ai commencé à bloguer, il y a environ une décennie, j'ai vraiment énervé beaucoup de gens qui m'ont accusé d'une liste interminable de «crimes» idéologiques : communiste, antisémite, Juif (ou amoureux des Juifs), musulman, nazi, agent de la CIA, du MI6, du Mossad, de Poutine, du FSB - ils voulaient dire SVR, mais ils n'y connaissent rien - et même (mon préféré !) “Traître à la race blanche”. 

Franchement, mes détracteurs les plus persistants sont les papistes et les nazis, principalement parce que j’ai eu le courage de leur dire que ni la papauté ni le nazisme n’avaient aucune influence en Russie et que la Russie n’interviendrait jamais pour accroître leur popularité ou leur influence. La vérité est que la Russie n'a exactement aucun usage pour tout ce qui ressemble même de loin à l'Alt-Right ou à toute autre théorie raciste - que ce soit la papauté et sa dégénérescence ultime ou qu'il s'agisse de la confession ultramontaine ou du siège papal vacant. Les sionistes ont également essayé de me «conseiller» de changer mon utilisation de l'expression «anglosioniste», mais ils ont rapidement cédé. Comme l'ont fait les papistes. Les nazis se sont plaints et ont gémi au sujet de mon antinazisme - j'étais «injuste» envers Hitler et ses sbires prétendument immensément bons et épris de la Russie ! - mais ils ont fini par abandonner. Le philosophe français Alain Soral a déclaré un jour que (en France) le lobby homo était encore plus puissant que le lobby israélien. Je suppose que cela est encore plus vrai aux États-Unis et je ne me fais aucune illusion quant aux réactions que mon article suscitera. C'est très bien comme ça. Je ne m'en soucie plus vraiment.

La vérité est que tant que nous continuerons à utiliser les termes imposés par la dictature du politiquement correct et tant que nous laisserons les nombreuses propagandes du lobby LGBTQIAPK+ sans réagir, nous mourrons d’ennui ou, du moins, ne comprendrons jamais la société dans laquelle nous vivons, ni pourquoi elle s’effondre.

Alors, engageons-nous dans un crime de la pensée, bien nécessaire !

Tout d’abord, débarrassons-nous de tous les termes et expressions stupides et ambigus que nous ont imposés les dirigeants de l’Empire. Par exemple, nous pourrions accepter d’abandonner le terme «gay», connoté gai, et le remplacer par le terme «homosexuel», non connoté – eh bien, puisque homosexuel est un terme non connoté, donc sans valeur, les activistes homosexuels l’ont déclaré « offensant » et exigent « gay » seulement, ce qui impose un terme valorisé au lieu de la désignation scientifique correcte. Et si le lobby LGBTQIAPK+ nous condamne, nous pourrions toujours déclarer que désormais, les «homosexuels» seront appelés «tristes», et non plus « gais » – principalement en raison de la pathologie et du dysfonctionnement généralement associés à l’homosexualité : la plupart des psychologues et des psychiatres sont tout à fait conscients de cette comorbidité, mais en parler serait synonyme de fin de carrière pour eux. En fait, essayons une petite expérience de pensée.

Imaginons que nous organisons un débat public, une assemblée municipale si vous préférez, sur le thème de l’homosexualité. Et pour cela, nous établissons les règles suivantes :

1 – Les homosexuels ne doivent être qualifiés que par le mot «triste»
2 – Ceux qui refuseront d’utiliser ce terme seront immédiatement étiquetés «hétérophobes» ou «hétéros coincés dans un déni profond».

Selon vous, combien de personnes accepteraient-elles cela ?

Que ressentiriez-vous si on vous disait que vous devez vous conformer à des exigences aussi scandaleuses ?

Eh bien, alors pourquoi quelqu’un s’attendrait-il à ce que nous acceptions le même non-sens inversé ?

Et pourtant, dans 99,9999% des cas dans le discours médiatique et public occidental, ces entraves idéologiques sont présentes et presque personne n’ose utiliser une terminologie différente.

Aparté 

Les parallèles entre la manière dont le lobby israélien a soigneusement élaboré le discours public sur le sionisme et Israël et la manière dont le lobby LGBTQIAPK+ a réussi à façonner le discours public sur l'homosexualité sont frappants et ne sont pas du tout une coïncidence : pour une foule de raisons, ces deux lobbies se soutiennent fermement et apprennent beaucoup l'un de l'autre.

Pensez-vous que cela “se passe comme ça par hasard” et que cette nouvelle terminologie politiquement correcte est le fruit d’une meilleure compréhension et d’une prise de conscience croissantes du grand public à l’égard de la question ?

Réfléchissez encore.

Il s’avère qu’il y a un complot derrière cela, littéralement. Voyez par vous-même :

https://youtu.be/CVSXiCb-P08

Cette vidéo (en anglais) dure 44 minutes et je vous recommande vivement de la regarder en entier pour deux raisons cruciales :

1 – Elle vous fournira une analyse détaillée de la manière dont le lobby LGBTQIAPK+ a conspiré en utilisant son influence pour façonner la perception du public à propos de l’homosexualité en Occident.

2 – Cela vous donnera un bon aperçu des objections de la Russie à l’idéologie et aux méthodes du lobby LGBTQIAPK+.

Ensuite, démystifier l’un des arguments les plus stupides utilisés par le lobby LGBTQIAPK +

« Je suis né comme ça ! »

Combien de fois avez-vous entendu cet argument totalement dénué de sens ? Des dizaines de fois, non ?

Et, juste pour comparer, combien de fois avez-vous entendu démystifier cet argument insensé ? À mon avis jamais, d’accord ?

Comme la plupart des bobards du lobby LGBTQIAPK+, celui-ci est basé sur une hypothèse trompeuse, prétendant que, peut importe comment vous êtes à votre naissance,  vous êtes né «naturel» et même «bon». Le problème, c’est que le même argument peut être invoqué pour chaque maladie mentale et même pour toute impulsion criminelle. Et sans entrer dans une bataille de chiffres sans fin, je pense que nous pouvons convenir que si environ 1,2% à 2,2% des êtres humains peuvent être nés homosexuels et si les sociopathes représentent 3% à 5% de la population, la sociopathie est à peu près aussi « naturelle » que l’homosexualité. En fait, nous pourrions même déclarer que la sociopathie est une «variation normale et positive de la personnalité». Voudriez-vous vivre dans une société qui proclamerait cela ?

Aparté pour les chrétiens 

Cet argument est encore plus ridicule lorsqu'il s'agit de personnes qui essaient de se faire passer pour des chrétiens - par exemple, comme celles-ci. La vérité est que la théologie dogmatique patristique dit très clairement que la chute de l'homme n'a pas seulement corrompu la nature originelle de l'homme, parfaite et donnée par Dieu, mais a véritablement corrompu toute la création : «C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde et que la mort s'ensuivit ; ainsi la mort a été transmise à tous les hommes, car tous ceux-là ont péché» Romains 5:12. Le problème est que Saint Augustin d’Hippone s’écartait du modèle de consensus sur cette question et proposait à la place sa propre interprétation, malavisée, du dogme du péché originel. Plus tard, Anslem de Canterbury et, plus encore, Thomas d’Aquin ont encore corrompu le dogme du péché originel et, en conséquence, la compréhension patristique originelle de ce dogme a été perdue - en général, la scolastique a été le poison qui a tué le christianisme occidental et en a fait l’abomination que nous voyons tous aujourd’hui. Par manque de place, je ne peux pas vous donner une discussion complète de ce dogme ici, mais je vais vous diriger vers cet excellent article sur ce sujet - ou, mieux encore, les écrits originaux de Saint Maximos le Confesseur et de Saint Grégoire Palamas. Le point ici est que le christianisme enseigne sans ambiguïté que chaque être humain - y compris le Christ lui-même ! - est né non pas avec la culpabilité personnelle du péché d'Adam et Eve, mais avec les conséquences de leur péché : une nature pathologique, spirituelle, psychologique et même physique, dans laquelle la pathologie de la maladie, et même la mort sont toujours présentes, affectant chaque être humain, et pas seulement les homosexuels. D'un point de vue véritablement chrétien, la notion selon laquelle nous serions nés, par axiome, bon et naturel est une pure folie. Au contraire, l'hypothèse est que l'inverse est vrai ou, plus exactement, que la seule façon pour un être humain de retrouver sa nature vraie, parfaite et originale est de se réunir avec l'Église de Dieu et avec Dieu lui-même selon un processus appelé “theosis” - pour une superbe discussion de ce terme, voir ici -, qui commence par le processus de repentance et de renoncement à la volonté propre. 

Les soi-disant «chrétiens» en Occident semblent avoir complètement occulté les paroles suivantes de saint Paul : «Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront pas du royaume de Dieu ? Ne vous-y trompez pas : ni les fornicateurs, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni ceux qui maltraitent leur humanité» (1 Corinthien 6, 9). 

Ou alors ces chrétiens souscrivent à l'idée absolument stupide que le Christ lui-même était une sorte de hippie bien intentionné, tandis que le diabolique homophobe et haineux Saint "Paul" [ (sic), ces gens-là n'appellent jamais les saints «saints»] a perverti le message original du Christ, et créé une sorte de "religion paulinienne" à la place. Les faits que, d'un part, Saint Paul était à l'origine un vicieux persécuteur des chrétiens et que, d'autre part, il était entouré de personnes qui connaissaient personnellement le Christ - y compris les 12 et les 70 - et que Ses enseignements (du Christ) ne permettaient pas aux gens simples de réaliser que ces chrétiens connaissaient personnellement le Christ. Ces chrétiens ne laisseraient jamais un ancien persécuteur de chrétiens modifier les enseignements du Christ. Si Saint Paul avait essayé d'introduire une hérésie, il aurait été immédiatement condamné comme tous les autres hérétiques au cours des siècles. Malheureusement, nous ne vivons plus dans une société chrétienne, mais dans une société post-pseudo-chrétienne dans laquelle même les principes fondamentaux du christianisme ont été oubliés, pervertis ou les deux.

L’argument selon lequel «je suis né comme ça» est à la fois infiniment égoïste et infiniment malhonnête. Mais c’est aussi une illustration puissante de la façon dont le lobby LGBTQIAPK+ cherche non seulement à être accepté, mais aussi à utiliser l’argument que l’homosexualité «normale» est  comme une sorte de « passerelle » pour forcer une liste beaucoup plus longue de déviations sexuelles (paraphilias) dans les sociétés occidentales, y compris la pédophilie – par le biais de l’hébéphilie et de l’éphébophilie. Ce n’est pas nécessairement le cas, mais c’est ainsi que le lobby LGBTQIAPK+ utilise cet argument. Il est donc légitime de le signaler également et de le démystifier aussi – et c’est ce que des monstres comme celui-ci utiliseront pour exiger l’acceptation, l’approbation et même une protection spéciale !

Ensuite, réfuter le bobard que l’homosexualité et la pédophilie sont des phénomènes totalement différents

C’est un autre argument de base trompeur du lobby LGBTQIAPK+. Je n’entrerai pas dans une longue discussion historique sur la façon dont les termes pédéraste et pédérastie ont été universellement utilisés dans le passé. Je soulignerai simplement que le premier lien ci-dessus indique qu’un pédéraste est «un homme qui désire, ou se livre à, des activités sexuelles avec un garçon», tandis que le second définit la pédérastie comme «relation sexuelle entre deux hommes, en particulier lorsqu’un eux est mineur»(soulignement ajouté par moi) ! Voyez-vous à quel point tout cela devient «flou» ? Pas convaincu, alors ajoutez simplement éphebophilie, hébéphilie et pédophilie au mélange et voyez le gâchis inextricable dans lequel vous vous retrouvez !

Je suis chanceux de parler six langues et d’en comprendre assez bien trois autres  et je peux attester que dans de nombreuses autres langues, le mot politiquement incorrect utilisé pour désigner pédophile et homosexuel est identique – ex: russe: педераст, пидарас, пидор; français : pédale, pédé -, ce qui a du sens puisque le mot grec paiderastes signifie, littéralement, amoureux des garçons.

Maintenant, je ne dis pas, et je le répète, que tous les homosexuels sont aussi des pédophiles. Ce que je dis, c’est que, contrairement à la propagande du lobby LGBTQIAPK+, la frontière entre ces deux catégories est floue et ambiguë et qu’elle n’est certainement pas aussi nette que la propagande LGBTQIAPK+ le prétend.

Maintenant que nous avons désamorcé quelques bobards du lobby LGBTQIAPK+ (pas tous !), voyons ce qui se passe réellement.

La vérité ? On nous bourre le crâne

Choqué par mon utilisation du terme «bourrage de crâne» ? Bien. Utilisez conditionnéformaté ou le terme que vous préférez, dans la mesure où il reflète ce qui suit : un effort puissant, organisé, et bien financé est déployé pour vous convaincre d’un certain nombre de choses très controversées et douteuses. Ce n’est pas une invention de ma part, et si la vidéo que j’ai affichée ci-dessus n’est pas suffisante pour vous convaincre, pourquoi ne pas visiter rapidement ce site Web, un organe de propagande typique du lobby LGBTQIAPK+ et cliquer sur «About». Là, vous lirez vous-même que le but de cette organisation est de «Diriger la conversation. Façonner la narration médiatique. Changer la culture. C’est GLAAD au travail ». Bien sûr, GLAAD n’est qu’une étoile dans une galaxie beaucoup plus grande et nous pouvons voir cette galaxie à l’œuvre pratiquement partout. Voici un excellent exemple de Google :

Google-ad

Google vend-il des smartphone ou promeut-il un agenda ?

Maintenant, s’il s’agit du nouveau consensus en Occident et si les gens ici aiment ça, je n’ai personnellement aucune objection. À chacun ses goûts. Mais lorsque cette idéologie est non seulement déversée sur le peuple russe, mais également utilisée dans des campagnes politiques pour discréditer la Russie, cela me pose un problème : non seulement je m’oppose à ce cas particulier de lavage de cerveau idéologique, mais à la notion même que les Occidentaux ont le droit d’imposer leurs soi-disant «valeurs» à d’autres personnes. En ce qui me concerne, les différents partisans de la fluidité entre les sexes sont invités à ajouter «Z» (pour zoophilie) ou «C» (pour coprophagie) à leur acronyme préféré, mais ils ne sont pas les bienvenus pour l’imposer aux autres ou exiger que le reste de la planète l’accepte comme une «variation normale et positive» de la sexualité humaine ou de la gastronomie.

YT-homopropaganda

Un autre exemple de parrainage de propagande homosexuelle par les entreprises

Pour finir, les politiciens occidentaux tentent tous de se dépasser en tant que partisans enthousiastes de l’homosexualité. Ceci est juste un exemple parmi beaucoup d’autres :

À tout le moins, je trouve la réaction russe à ce genre de lavage de cerveau plutôt rafraîchissante. Voyez vous-même :

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De gauche à droite, les dames de l’UE, des USA et de la Russie

Je trouve également réconfortant de constater qu’il y a encore des occidentaux qui comprennent que cette campagne de propagande fait partie d’une véritable «guerre contre les hommes» menée depuis plusieurs décennies déjà. Voici l’exemple d’une dame qui fait de la viande hachée de toutes les «folies transgenres» :

Et puis il y a Paul Craig Roberts, vraiment un homme sans peur qui appelle un chat un chat.

En fait, je parierais que la plupart des Occidentaux ont au moins le sentiment que quelque chose pue vraiment ici, mais qu’ils gardent le silence pour ne pas être accusés d’homophobie ou, plus précisément, de «phobie LGBTQIAPK+».

À propos, il y a aussi beaucoup à gagner avec le transgenre. Les recherches de Jennifer Bilek ont ​​révélé que :

«Extrêmement riches, des hommes blancs dotés d'une influence culturelle énorme financent le lobby des transgenres et diverses organisations transgenres. Ceux-ci incluent mais ne sont pas limités à Jennifer Pritzker - un homme qui s'identifie comme transgenre ; George Soros; Martine Rothblatt - un homme qui s'identifie comme transgenre et transhumaniste ; Tim Gill - un homme gay ; Drummond Pike ; Warren et Peter Buffett ; Jon Stryker - un homme gay ; Mark Bonham - un homme gay ; et Ric Weiland - un homosexuel décédé dont la philanthropie est toujours orientée vers les LGBT. La plupart de ces milliardaires financent le lobby et les organisations transgenres par le biais de leurs propres organisations, y compris des entreprises».

Elle souligne également que les montants impliqués dans la propagande homosexuelle et transgenre sont énormes :

Ces hommes et d’autres, notamment des sociétés pharmaceutiques et le gouvernement américain, envoient des millions de dollars à des causes liées aux LGBT. Dans l’ensemble, les dépenses mondiales en LGBT rapportées sont maintenant estimées à 424 millions de dollars. De 2003 à 2013, les financements signalés pour les questions transgenres ont été multipliés par plus de huit, soit trois fois plus que les fonds alloués aux personnes LGBTQ, qui ont quadruplé de 2003 à 2012. Cette augmentation considérable du financement a eu lieu au moment même où le transgenrisme a commencé à gagner du terrain dans la culture américaine.

Je ne peux pas garantir ses chiffres, mais je pense qu’il est évident, au-delà de tout doute raisonnable, que le lobby LGBTQIAPK+ dispose d’immenses sommes d’argent pour faire avancer son programme. Je sais pertinemment que de nombreuses ambassades américaines à l’étranger versent des fonds pour promouvoir les «droits des homosexuels» dans de nombreux pays – la plupart ? – de notre pauvre planète .

C’est d’ailleurs exactement le même cas en Europe : être handicapé mental est le nouveau « cool » apparemment…

Williams-vs-Sharapova

Quand les Anglosionistes ont eu le culot d’accuser la Russie de doper ses athlètes, la blogosphère russe a immédiatement réagi avec ce genre de démotivateur 

Les hommes russes – et les femmes russes –  ne veulent rien avoir à faire avec cette idéologie toxique. C’est pourquoi le terme informel le plus utilisé pour «hétérosexuel» en Russie est «натурал», qui signifie «naturel» par opposition au concept de «гeй» (gay) – terme politiquement correct – ou l’un des termes moins politiquement correct utilisés en Russie pour les homosexuels.

Pour une réaction typique de la Russie traditionnelle face à la propagande du lobby LGBTQIAPK+, je vous renvoie à Ruslan Ostashko – pour une propagande typiquement tchétchène, voyez ce que Ramzan Kadyrov a à dire.

En revanche, dans l’Ukraine euro-compatible sous occupation nazie, la réalité est évidemment très différente :

Honnêtement, je suis désolé pour la pauvre Euro-Ukraine…

Alors que se passe-t-il réellement en Russie ? Y a-t-il des goulags pour les gays ? Les Tchétchènes ne torturent-ils pas les gays ?

En fait non.

La démystification des mensonges du lobby LGBTQIAPK+ concernant la Russie.

Dire que les homosexuels sont persécutés par l’État russe est un mensonge que toute personne honnête qui est déjà allée en Russie peut démystifier. Cependant, ce qui est vrai, c’est que l’État russe et une majorité de citoyens russes n’acceptent pas la notion selon laquelle l’homosexualité «ressemble» à l’amour hétérosexuel. Vous êtes peut-être en désaccord véhément avec cette idée, mais êtes-vous d’accord pour dire que l’État russe et la majorité de son peuple ne sont pas obligés de souscrire à vos valeurs, pas plus que vous n’êtes obligés de souscrire aux leurs ? Ensuite, l’État russe et la majorité de la population russe estiment également que les enfants doivent avoir deux parents différenciés par le sexe : une mère et un père. Encore une fois, vous pourriez être catégoriquement en désaccord avec cette idée, mais êtes-vous d’accord pour dire que l’État russe et la majorité de son peuple ne sont pas obligés de souscrire à vos valeurs, pas plus que vous n’êtes obligés de souscrire à leurs valeurs ? Enfin, l’État russe et une majorité de Russes estiment que les enfants russes ne devraient être exposés à aucune propagande sur l’homosexualité. Encore une fois, vous pourriez être violemment en désaccord avec cette idée, mais êtes-vous d’accord pour dire que l’État russe et la majorité du peuple russe n’ont aucune obligation d’accepter vos valeurs, pas plus que vous n’avez l’obligation d’accepter les leurs ?

Russian-parenting

Le rôle parental en Russie résumé dans une image

Quoi qu’il en soit, les lois en Russie soutiennent actuellement ce point de vue majoritairement russe. Par conséquent, la propagande homosexuelle dirigée contre les mineurs est illégale et les couples homosexuels ne sont pas libres d’adopter des enfants. Enfin et surtout, la soi-disant «Gay Pride» a été interdite dans de nombreuses villes russes, y compris pour les cent prochaines années à Moscou – ce que j’appuie avec enthousiasme pour les raisons que j’ai exposées dans cet article.

Mais pour le reste, la Russie n’a pas de lois américaines sur la sodomie. La Russie ne dit à personne ce qu’elle peut / ne peut pas / ne devrait pas faire dans l’intimité de sa chambre et, en fait, les homosexuels ont leurs propres clubs, bars, sites Web, organisations, magazines et à peu près tout ce dont tous les Russes, « naturel » ou pas, profitent.

Voici ce qui se passe réellement ici : les homosexuels militants sont loin de se contenter d’une «inclusion», d’une «non-discrimination» ou de tout autre élément louable qu’ils revendiquent. Non, ce qu’ils veulent, c’est une séquence en deux étapes :

1 – Déclarer comme axiomatique et évident que l’homosexualité «est comme» l’hétérosexualité.

2 -Déclarer que l’homosexualité est donc désormais une norme acceptée.

C’est aussi simple, mais aussi important : la Russie refuse catégoriquement de placer un signe «égal» entre les concepts d’homosexualité et d’hétérosexualité.

En fait, la culture russe – laïque, orthodoxe ou islamique – aime faire valoir et souligner les différences entre les sexes et accorde une importance primordiale à la masculinité chez les hommes et à la féminité chez les femmes. En d’autres termes, les Russes rejettent non seulement les hommes machistes de type Neandertal, mais aussi ce qu’on appelle les «soy boys» 1 en Occident. De même, les Russes rejettent les féministes haïssant les hommes autant que les bimbos sans cervelle style cheerleaders. Si j’étais vraiment cruel, je vous suggérerais de comparer l’allure et les cerveaux des porte-parole russes à leurs homologues de la Maison Blanche ou du Département d’État US : tout est dit.

Il y a une autre chose que j’ai mentionnée plus haut et que je veux aborder rapidement : l’hostilité masculine envers les homosexuels.

Mis à part le genre de voyous dégénérés qui ressentent le besoin de frapper quelqu’un de plus faible, je suis convaincu que l’homosexualité en tant que concept et le sexe homosexuel en tant qu’activité sont naturellement répugnants pour beaucoup, peut-être la plupart des hommes. Je ne veux pas dire que la plupart des hommes sont des malfrats dégénérés qui frapperont tous ceux qui sont plus faibles qu’eux, mais j’ai observé toute ma vie que la plupart des hommes semblaient avoir au moins un certain degré de répulsion envers l’homosexualité. Je pourrais continuer et prétendre que ces hommes «n’y sont pour rien» et qu’ils sont «nés comme ça», mais ce serait trop facile. Je vais tenter une explication à la place.

Je crois que la répulsion envers l’homosexualité est une variation normale et positive de la psyché masculine en bonne santé, développée pour renforcer le potentiel de reproduction de toute population. Oui, il n’est pas populaire de le dire, et les homosexuels s’efforcent de dissimuler cela – par le biais de l’adoption et de la propagande, principalement – mais l’homosexualité est totalement stérile. Il doit donc exister une puissante pression naturelle sélective, non seulement pour que les hommes ne s’engagent pas dans un comportement homosexuel, mais aussi pour que les hommes réalisent instinctivement que «quelque chose ne va vraiment pas» avec l’homosexualité. Ce sentiment instinctif ne doit pas servir de justification à la violence, pas plus que l’attirance sexuelle ne peut justifier le viol, ni l’irritation permettre le meurtre, mais il explique la prévalence de la répulsion hétérosexuelle pour tout ce qui est «homo», du moins chez les hommes ; beaucoup,  la plupart, des femmes semblent également être repoussées par l’homosexualité, masculine et féminine, mais le sentiment semble être moins fort que celui des hommes et il ne conduit pas à l’agression.

La vraie question est que faisons-nous avec ce genre de répulsion ?

La réponse dépend de votre culture, de votre religion et de votre vision du monde.

Même dans l’Occident postchrétien, la plupart des gens connaissent le dicton «aime le pécheur, déteste le péché» ou une de ses variantes. Ce point de vue a une base scripturaire très solide. Soit dit en passant, cette approche est sensée, que l’homosexualité ait ses racines dans la nature ou dans l’éducation. En fait, d’un point de vue strictement chrétien, le comportement homosexuel n’est pas pire que toute autre immoralité sexuelle. Cela a du sens, car le mot «péché» signifie à l’origine «déplaire» ou, plus vaguement, «faire un faux pas». Des tentatives dans l’histoire ont voulu classer et ordonner les péchés en fonction de leur gravité. Ceci, encore une fois, est une attitude typiquement scolastique. Les Pères de l’église, au contraire, ont cherché à développer une anthropologie dogmatique complète qui comprenne véritablement la lutte de chaque être humain pour atteindre son plein potentiel (theosis) et met en garde contre les conséquences de ne pas le faire. Ainsi, «pécher» n’est pas conchier un vieil homme barbu assis sur un nuage entouré d’anges grassouillets jouant de la harpe, mais l’incapacité de réaliser son plein potentiel. Dans un tel contexte, «haïr le pécheur» n’a aucun sens, alors que «haïr le péché» est tout à fait logique. D’autant plus que les Pères croyaient que l’Église du Christ est un «hôpital pour les pécheurs» dans lequel tous les pécheurs sont bienvenus et où ils obtiennent les médications spirituelles nécessaires pour atteindre leur plein potentiel en tant qu’êtres humains.

D’un point de vue laïque, il n’y a en réalité que trois options que j’ai décrites dans le passé :

1 – Déclarer qu’une seule forme spécifique de sexualité est «normale»

2 – Établir une discrimination arbitraire entre diverses formes de sexualité sans aucun fondement logique.

3 – Déclarer que toute forme de sexualité est «normale».

La plupart des pays développés ont opté pour la deuxième option, en dressant une liste complètement arbitraire, illogique et absurde de comportements sexuels «normaux» et «non pathologiques». En passant, la même approche idiote a été utilisée pour traiter les pratiques sexuelles entre adultes consentants – les soi-disant «lois de la sodomie» – ou la codification d’un âge légal du consentement sexuel. Même un regard superficiel sur ces lois montre clairement qu’elles ne sont fondées que sur l’opportunité politique : elles n’ont absolument aucun sens logique.

La plupart des religions et des sociétés traditionnelles ont choisi la première option. Les laïcs modernes se sont d’abord penchés vers la seconde, mais ils cèdent peu à peu au fardeau du lobby des LGBTQIAPK+ pour accepter la troisième.

Conclusion : cette discussion est loin d’être terminée et elle ne sera pas interdite non plus.

Comme je l’ai dit au tout début, le sujet de l’homosexualité est controversé. Il est également fascinant à plusieurs niveaux – biologique, psychologique, éthique, moral, religieux, médical, sociétal, etc. Au cours des siècles, les principales religions ont développé leurs « réponses » à ce phénomène, mais la majeure partie de notre planète vit aujourd’hui dans un environnement laïc, parfois même athée, dans lequel les religions ont beaucoup perdu de leur attrait, en particulier dans les sociétés corrompues par des siècles d’impérialisme occidental, aggravé par la phobie bizarre – oui, la phobie – des chrétiens latins pour tout et n’importe quoi de sexuel – d’où leurs prêtres efféminés et bien rasés, portant de la dentelle – du moins les «traditionalistes», chantant d’une voix efféminée de castrat et pensant que cela représente la vraie tradition chrétienne ! Vous voulez voir à quoi ressemblaient les premiers chrétiens ? Regardez n’importe quelle icône orthodoxe traditionnelle et vous verrez vous-même. Ou visitez un vrai monastère orthodoxe. Vous verrez immédiatement la différence, je vous l’assure !

Pour la plupart des gens – religieux ou non – ce sujet devrait être librement discuté dans un environnement intellectuel et idéologique qui ne place pas immédiatement l’étiquette de «haineux» sur toute personne osant se dissocier du dogme officiellement imposé. Les recherches scientifiques réelles, par opposition aux votes idéologiques d’associations professionnelles, devraient être encouragées et revues régulièrement.

En termes politiques, le sujet de l’homosexualité n’est qu’un sujet parmi tant d’autres qui ont reçu un récit unique et officiel politiquement correct de la part des dirigeants anglo-sionistes de l’Empire. Parmi les autres récits officiellement «dogmatisés», citons la vérité sur le 11 septembre, la vérité sur le soi-disant «holocauste», la vérité sur le sionisme et Israël ou la vérité sur le christianisme latin – il y en a beaucoup d’autres, bien sûr [l’assassinat de John Kennedy, NdT]. Ce sont tous des sujets sur lesquels la dissidence est totalement taboue et les dissidents rejetés avec tout ou partie de leurs arguments.

Si nous voulons vraiment défendre la liberté dans son essence la plus fondamentale, nous ne pouvons pas accepter d’être enfermés dans les cages intellectuelles du discours politique «autorisé». Tous les lobbies qui s’efforcent sans cesse de faire taire la dissidence et d’imposer leurs points de vue et leur ordre du jour doivent être clairement identifiés et dénoncés comme un danger pour l’humanité tout entière. Je ne vois aucune raison de faire une exception pour le lobby AAAAAABBCCCCCCCCCCCCFFFFFFGGGGGGGHIIIIIKLMMMMMMMMNNPPPQTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTW+ peu importe le nombre de lettres qui seront ajoutées à cet acronyme dans l’avenir.

The Saker

Traduit par jj, relu par Hervé pour le Saker Francophone

  1. Terme d’argot utilisé pour décrire les hommes qui manquent complètement de toutes les qualités masculines nécessaires. Cet état pathétique est généralement atteint par une indulgence excessive aux produits  et / ou aux idéologies émasculants
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