Par Dmitry Orlov – Le 25 juillet 2019 – Source Club Orlov
Certaines personnes, incapables de contester toutes les preuves que les missions Apollo sur la Lune étaient toutes truquées, se rabattent sur l’argument qu’il aurait été trop difficile de les truquer et de garder ce secret. Il est possible de les contrer simplement en leur lançant dans les pattes un petit exercice de logique : qu’est-ce qui est le plus difficile à faire, alunir six fois avec zéro perte, ou simuler le tout en gardant le silence ? Ce dernier choix n’est qu’un exercice de relations publiques, et les relations publiques ne sont pas de la science spatiale.
Une autre approche consiste à être précis. Il n’est pas particulièrement difficile de trouver de l’information sur la façon exacte dont le tout a été truqué, si vous savez où chercher. Les étapes pour simuler l’atterrissage sur la lune étaient les suivantes :
- Corrompre ou intimider le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev et les dirigeants successifs, soviétiques et russes, pour qu’ils acceptent cette infox et qu’ils la gardent secrète.
- Simuler le lancement de fusées Saturn V, dont aucune n’aurait pu se rendre dans l’espace.
- Simuler les communications radio entre le centre des commandes de vol et l’équipage de conduite à l’aide de relais radio.
- Falsifier des roches lunaires prétendument extraites de la Lune.
- Simuler des vidéos et des photos supposées avoir été faites sur la Lune avec l’aide de Stanley Kubrick.
- Détruire beaucoup de preuves pour rendre le faux plus difficile à prouver.
- Faire barrage à tous ceux qui n’ont cessé de poser des questions évidentes pendant cinq décennies d’affilée.
Voici comment cela a été fait.
Wernher von Braun et son équipe de chercheurs nazis n’ont pas réussi à perfectionner les moteurs F-1 de la fusée Saturn V. Les moteurs F-1 développaient beaucoup moins que les 600 tonnes de poussée requises et n’auraient pas pu emporter les 120 tonnes de charge utile requises en orbite terrestre basse. En conséquence, le projet Saturn V a été annulé. Les États-Unis ont poursuivi le développement de la fusée Atlas et ont finalement opté pour des moteurs RD-180, importés, de fabrication russe, qu’ils continuent d’utiliser jusqu’à ce jour. Si les moteurs F-1 avaient fonctionné et donné à la NASA la capacité de placer de grosses charges utiles en orbite, ils auraient été opérationnels jusqu’à ce jour.
Pour simuler des lancements lunaires, la NASA a lancé des fusées Saturn V allégées au maximum sans charge utile et les a laissées s’écraser dans l’Atlantique une fois hors de la vue des observateurs émerveillés de cap Canaveral. A la fin de l’étape 1 – largage du 1er étage -, la vitesse de la fusée était 2,5 fois plus lente que la vitesse nécessaire à la mise en orbite [vitesse de libération 11km/s, NdT]. Il n’y a pas eu d’étape 2. La tâche de l’étape 3 consistait à propulser une boîte de conserve vide qui ressemblait, autant que faire ce peut, au vaisseau spatial Apollo, le plus loin possible, au-dessus de l’Atlantique.
En 1970, après l’amerrissage dans le golfe de Gascogne d’un faux module Apollo 13, un navire de reconnaissance soviétique l’a repêché et l’a transporté à Mourmansk. Là, le gouvernement soviétique l’a secrètement remis aux autorités américaines. Tout cela a été gardé secret par le gouvernement soviétique et l’est encore aujourd’hui par le gouvernement russe. Mais à l’époque, les Soviétiques ont permis aux autorités hongroises d’être témoins du transfert, et les Hongrois l’ont divulgué au public, accompagné de photographies, en 1981.
Pour chaque mission Apollo, à T moins 3 heures, les astronautes entraient cérémonieusement dans l’ascenseur qui était censé les faire monter à bord du vaisseau spatial. Au lieu de cela, ils ont été gardés cachés, puis transférés dans un endroit secret d’où ils communiquaient avec le centre de contrôle de vol via des relais radio. Pour compléter l’infox, quelques jours avant la mission, un petit retransmetteur a été lancé en secret lors d’une mission sans retour vers le site d’atterrissage désigné sur la surface lunaire. Plus ou moins en même temps que le lancement de Saturn V, deux autres retransmetteurs ont été secrètement lancés dans l’espace. L’un d’eux a été envoyé en orbite terrestre et y est resté. L’autre a décollé vers l’orbite lunaire, a orbité autour de la Lune aussi longtemps que nécessaire, puis s’est redirigé vers la Terre et l’a survolée, ou s’est consumé dans l’atmosphère. La fonction de ces retransmetteurs était de donner l’impression que les communications avec l’équipage d’Apollo, resté à terre, provenaient d’endroits en orbite terrestre, de points entre la Terre et la Lune, d’orbite lunaire et de la surface lunaire.
Il se peut fort bien que des scientifiques et des ingénieurs soviétiques aient, par inadvertance, donné des instructions à la NASA sur la façon d’effectuer des missions simulées sur la Lune. Le 2 mars 1968, l’URSS a lancé sa sonde Zond-4 sur une orbite élevée qui a presque atteint la Lune. Pendant six jours, les cosmonautes soviétiques Pavel Popovich et Vitaly Sevastianov ont simulé une mission habitée sur la lune en communiquant avec le centre de contrôle de vol par des signaux radio retransmis par la sonde. En écoutant ces communications, les gens de la NASA ont complètement paniqué parce qu’ils pensaient que les cosmonautes étaient déjà en route vers la Lune. Ainsi, un tel système pouvait être utilisé pour tromper même les spécialistes, sans parler des nombreux opérateurs de radio-amateurs du monde entier qui pensaient écouter des émissions provenant de l’espace plutôt que de la Terre.
Pour produire des vidéos convaincantes à bord du vaisseau spatial Apollo, un module Apollo factice a été chargé dans un avion. Lorsqu’il fallait simuler l’apesanteur, l’avion était envoyé en plongée, tout comme la « vomit comet« utilisée par la NASA pour l’entraînement des astronautes. Les résultats ont été très convaincants. Alors que les communications radio et vidéo durant le voyage fictif étaient en direct, celles qui étaient censées avoir lieu à la surface de la Lune étaient préenregistrées dans un studio. Si elles avaient été faites en direct, il y aurait eu un risque d’incidents et de difficultés techniques, ce qui n’a pas été le cas lors de toutes les missions Apollo. C’était parce qu’il était possible de faire plusieurs prises de chaque séquence pour obtenir le bon résultat. Pendant chaque séquence, les cosmonautes communiquaient avec le centre de contrôle de vol, fournissant ainsi une voix hors champ en direct.
Pour simuler la séquence d’atterrissage, les astronautes ont dû monter dans le module de rentrée, qui a ensuite été largué d’un avion au-dessus de l’océan Pacifique et immédiatement récupéré par hélicoptère dès qu’il s’est écrasé. Les astronautes en ont sauté frais comme des pâquerettes et pas du tout comme s’ils avaient survécu plusieurs jours en apesanteur, suivis par l’infernale et harassante rentrée dans une atmosphère à forte accélération gravitationnelle.
Les détails de la simulation étaient connus d’une très petite équipe de base qui comprenait quelques centaines de conspirateurs hautement qualifiés et bien placés – incluant évidemment les astronautes eux-mêmes – tandis que la grande majorité des 200 000 membres du personnel de la NASA employés dans le programme lunaire, sans parler du reste du public, n’avaient aucune raison évidente de douter que ce dont ils étaient témoins était de véritables missions avec équipage vers la surface lunaire. L’establishment soviétique de l’espace savait bien sûr que tout cela était truqué, mais un accord secret avec l’URSS pour qu’elle reconnaisse le faux programme Apollo lui a donné de la crédibilité.
Les roches lunaires et le sol lunaire, dont 280 kg auraient été prélevés sur la Lune au cours des missions Apollo, ont été obtenus d’autres sources terrestres. Ici, les Américains ont commis un grand nombre d’erreurs, mais elles n’étaient évidentes que pour les spécialistes. Comme les sondes spatiales automatisées soviétiques ont réussi à récupérer de vrais échantillons de sol lunaire, les spécialistes soviétiques ont pu les comparer aux échantillons fournis par les États-Unis. Il s’est avéré que dans les échantillons de la NASA, les traces des particules alpha étaient plus courtes et la concentration de mercure était nulle.
Des scientifiques français ont déterminé que si la polarisation de la lumière dans les échantillons soviétiques correspondait à celle de la surface lunaire, dans les échantillons de la NASA, elle était très différente. Les Japonais ont été surpris d’apprendre que le ratio des isotopes de l’azote dans les échantillons de la NASA correspondait à celui trouvé sur Terre, et non sur la Lune. Les Hollandais ont été les plus surpris de tous lorsque la pierre lunaire supposée offerte en cadeau à leur reine s’est avérée être un morceau de bois fossilisé.
Pour mettre fin à cette folie, les États-Unis ont adopté une loi rendant illégale la propriété privée d’échantillons lunaires, puis ont annoncé que 300 kg d’échantillons lunaires avaient disparu. Bien que de fausses roches lunaires soient encore exposées sous verre dans divers musées à travers le monde, il est interdit de les analyser.
La situation est encore pire en ce qui concerne les photos et les vidéos qui étaient censées avoir été faites sur la Lune. La NASA a embauché le meilleur réalisateur disponible, Stanley Kubrick, et bien qu’il n’y ait pas eu pénurie de bouffons très bien placés et très bien rémunérés pour participer à la production, ils ont tous tiré dans des directions différentes et il n’y avait personne pour s’occuper de tous les détails. Donc, Kubrick, toujours perfectionniste, a tourné une quantité incroyable d’images qui n’étaient que de la merde et qui ont dû être cachées et finalement détruites. La situation était encore pire avec les photos fixes, où non seulement les spécialistes mais aussi les amateurs déterminés peuvent facilement constater, avec un haut degré de certitude, qu’elles sont fausses.
Tous ces trucages sont facilement niés par divers toiletteurs de chiens, ingénieurs en propreté sanitaire, grattes-papiers bureaucratiques et hamsters spécialisés dans la vente et le marketing, mais ceux qui ont été assez malchanceux pour obtenir des diplômes en physique ou en ingénierie ne peuvent pas s’empêcher de ressentir beaucoup de dissonance cognitive quand on leur demande d’étouffer leur incrédulité, inévitable, dans cette histoire très peu probable racontant que les Américains avaient foulé le sol de la lune. Au cours des cinq dernières décennies, la NASA a réagi en bloquant toute tentative de clarification et en exigeant que les sceptiques prouvent leurs allégations tout en retenant ou en détruisant les informations qui permettraient une telle preuve.
Mais on peut encore le prouver en ne posant qu’une seule question : où est le moteur de la fusée qui aurait rendu les missions Apollo possibles ? Si les États-Unis disposaient d’un tel moteur, il serait considéré comme un atout majeur de classe mondiale, il existerait toujours et serait encore en service aujourd’hui. Mais au lieu de cela, les États-Unis continuent de devoir acheter le moteur de fusée russe RD-180. Si les États-Unis ont eu un jour les moyens de mettre leurs astronautes en orbite de façon fiable, ils pourraient encore le faire aujourd’hui. Mais au lieu de cela, ils n’avaient que des navettes spatiales peu fiables. Deux d’entre elles ont explosé et le programme a été annulé. Ainsi, les États-Unis en sont réduits à payer la Russie pour envoyer leurs astronautes dans l’espace à bord du Soyouz.
Il y a beaucoup plus à dire sur les raisons pour lesquelles les dirigeants soviétiques ont participé à la supercherie lunaire américaine et à son camouflage subséquent, mais un résumé en une phrase est le suivant : la même stupidité, la corruption et peut-être même la trahison qui a rendu possible le camouflage a également permis l’effondrement de l’URSS quelque deux décennies plus tard. Le camouflage restera probablement en place jusqu’à ce que les États-Unis achètent le dernier RD-180 et que le dernier astronaute américain revienne de son dernier voyage dans l’espace. Mais nous pouvons être sûrs qu’à la fin, l’histoire du programme Apollo sera racontée et racontée encore comme l’histoire du mensonge le plus effronté et le plus méprisable de l’Histoire.
Dmitry Orlov
Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.
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Source : Le Monde
Traduit par Hervé, vérifié par jj pour le Saker Francophone