Le 30 mars 2015 – Source HaBE
LE VOL GERMANWINGS ABATTU PAR UN FAISCEAU LASER ÉTATS-UNIEN?
Un ami de HaBE a traduit l’article des services secrets russes (SVR) concernant le crash du vol de l’Airbus de Germanwings.
Selon les services secrets russes (SVR), Obama aurait été très en colère en apprenant que le vol Germanwings 4U9525 avait été abattu par l’Otan pendant des exercices militaires.
Il s’agit d’un blog public russe. Le texte proprement dit montre certaines connaissances techniques. Il mentionne également la frégate de la Flotte du Nord, la Severomorsk (désignation russe: gros chasseur de sous-marins), effectivement en patrouille en Méditerranée actuellement.
Des essais de tir laser états-uniens ont provoqué la destruction de l’avion de Germanwings transportant 150 passagers civils innocents
Le 26 mars 2015, le ministère russe de la défense a annoncé que les rapports de la Flotte du Nord indiquent que la chute de l’Airbus de la compagnie aérienne allemande Germanwings (vol 4U9525) serait le résultat direct d’un essai manqué de l’armée de l’air états-unienne avec le système laser HELLADS (High Energy Liquid Laser Area Defense System). Ce test a été effectué lors d’une tentative de lancement de missile balistique intercontinental (ICBM), la cible a été ratée, mais pas les 150 passagers civils qui ont trouvé la mort à bord de l’avion .
Selon le rapport transmis au Ministère de la défense par la Flotte du Nord actuellement en état d’alerte maximum, l’alarme a été déclenchée hier sur la frégate russe Severomorsk, alors en manœuvres en Méditerranée. Alors que tout était normal, des anomalies électriques ont été détectées au-dessus du Sud de la France et de l’Italie, ainsi que dans l’ouest et le sud de la Suisse. Selon le rapport, cela correspond au secteur de mobilisation de la 510e escadrille de l’armée de l’air états-unienne, basée à Aviano, en Italie. La région à partir de laquelle ces anomalies ont été enregistrées était la Mer du Nord.
Curieusement, le rapport relève également que ces anomalies sont apparues dans la zone d’intervention de la 510e escadrille en même temps que les radars civils britanniques étaient aveuglés, ce qui est confirmé par un avis de l’Autorité de sûreté aérienne: «En procédant à des réglages avec Manchester, je vois bien l’A380 passer au-dessus de moi à Barcelone, mais rien sur le radar. Bizarre».
Le rapport du ministère de la défense russe indique que, pendant le décollage et l’atterrissage des bombardiers B1, les systèmes radar des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de l’UE sont souvent aveugles. Précisément comme hier, lorsque l’incident a été consigné à Manchester. Cela correspond vraisemblablement au déploiement d’un bombardier B1, qui est équipé du système HELLADS de l’armée de l’air états-unienne.
Ce rapport mentionne également le fait que les structures militaires des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de l’UE mettent souvent en danger les vols civils sur tout le continent pendant leurs manœuvres militaires. L’année dernière, entre le 5 et le 10 juillet, pas moins d’une cinquantaine d’avions ont disparu par moments des écrans radar en Autriche, en Allemagne, en République tchèque et en Slovaquie.
L’aviation civile slovaque a reconnu cet aveuglement du radar dans un communiqué: «La disparition d’objets des écrans radar a été mise en corrélation avec les manœuvres militaires dans différentes régions d’Europe… dont le but était de couper les fréquences radio. Ces opérations ont provoqué la disparition temporaire de plusieurs objets des écrans radar, et ce bien qu’en même temps, les avions soient restés en contact radio avec les contrôleurs aériens et aient poursuivi leur route normalement.»
Toutefois, le rapport montre bien le danger que présentent ces manœuvres militaires occidentales pour l’aviation civile. En atteste l’incident survenu le 3 mars, signe avant-coureur de l’affreux accident du vol 9525 de la compagnie Germanwings qui s’est produit hier. À cause de l’armée de l’air états-unienne, l’Airbus A321 du vol LH1172 de la compagnie Lufthansa, qui volait à l’altitude normale, a brusquement plongé pendant plusieurs minutes, comme en atteste le diagramme du radar.
Voici le récit du reporter présent à bord sur cette brusque perte d’altitude du vol Lufthansa LH1172 survenue il y a deux semaines dans le Sud de la France, paru sous le titre Catching a Lufthansa Airbus A321’s Rapid Descent Live (la brusque perte d’altitude d’un Airbus A321 de la Lufthansa en direct) :
«Par moments, j’ai pensé assister à une avarie en temps réel à des milliers de kilomètres de l’avion. Heureusement, les pilotes ont réagi rapidement et se sont dirigés vers l’aéroport le plus proche.»
Sur AirlineReporter.com, la Lufthansa a confirmé que le vol LH1172 transportait 151 passagers, et que le capitaine a décidé d’atterrir à Nantes «à cause d’un problème médical» (passager malade). «Elle confirme que rien d’exceptionnel ne s’est produit et que l’avion s’est posé en toute sécurité »
À la différence du vol Lufthansa LH1172 dont il est question ici, le vol 9525 de Germanwings n’a pas été en mesure de corriger la perte brutale d’altitude… et l’avion et ses passagers ont été littéralement pulvérisés et disséminés sur les flancs d’une montage du Sud de la France.
Qu’est-ce qui a pu causer une destruction aussi complète de l’avion Germanwings 9525? Comme nous le constatons dans ce rapport et comme on l’a vu la première fois le 3 février, l’armée de l’air états-unienne a testé son système HELLADS sur des satellites météo réformés. Ce procédé consiste à faire augmenter la température intérieure des satellites et à les faire ainsi exploser dans l’espace.
Cependant, les spécialistes russes de la défense indiquent dans ce rapport que les systèmes laser chimiques (tels que les HELLADS de l’armée de l’air états-unienne qui ont frappé l’avion de Germanwings du vol 9525 et failli toucher le vol Lufthansa LH1172) sont connus pour le manque de précision de leur système de visée sur de grandes distances. En effet, l’atmosphère tend généralement à éparpiller leur rayonnement, lequel peut alors atteindre d’autres objets dans le voisinage.
Quant au scénario exact qui a conduit à la destruction du vol 9525, il s’agissait d’une opération de défense occidentale sous forme de test dans les couches denses de l’atmosphère simulant l’attaque de missiles nucléaires russes.
Le test dans les couches denses de l’atmosphère proprement dit? Il a échoué. Le test a été annoncé le soir précédant le lancement d’un missile intercontinental (ICBM), le lundi matin en Californie, par l’armée de l’air états-unienne. Il a été annoncé par le régime d’Obama comme «message au monde sur les capacités nucléaires de Washington».
Contrairement à ce qui était dit, ce message au monde était en réalité adressé à la Fédération de Russie, en représailles contre la destruction [virtuelle] du porte-avion états-unien Theodore Roosevelt, au moyen de la technologie margrav lors de jeux de guerre quelques semaines plus tôt, destruction [virtuelle] qui était le pendant de la mise hors d’état du navire US Donald Cook l’année dernière en mer Noire.
Malheureusement, ce rapport furieux indique que 37 avions de l’Otan participaient hier à ce test de tir de missile étatsunien et qu’un seul transpondeur aérien militaire italien était actif, celui qui a signalé la chute du vol Germanwings 9525 par le code d’alarme 7700.
Le fait que de nombreux pilotes allemands refusent aujourd’hui de voler est à imputer à ces manœuvres militaires des États-Unis dirigées contre la Russie, selon le rapport. La probabilité pour que l’Occident dise la vérité sur ce qui est arrivé au vol 9525 de Germanwings est aussi mince que pour ce qui a été dit sur la chute du vol MH117 de Malaysian Airlines. Les relevés satellitaires indiquent qu’il a été abattu par un chasseur ukrainien. Cette probabilité peut donc être considérée comme nulle.
Des témoins de la chute de l’avion ont déclaré aux représentants d’Air France avoir entendu une explosion et vu de la fumée de l’A320 de Germanwings «peu avant qu’il ne s’écrase dans les montagnes près de Digne», confirmant indirectement la version exposée ici. Un pilote d’hélicoptère a également déclaré que des débris de l’avion ont été trouvés plus haut dans la montagne que le site du crash, ce qui, selon ses dires, confirme qu’une partie du fuselage s’est «rompue avant que l’avion ne s’écrase».
Traduit par Gilles Chertier pour le Saker Francophone
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Article original en russe