Par Rosa Llorens – Le 9 septembre 2015
«Sorrentino est vulgaire, il est arrogant» : ces critiques (qui sont celles par exemple de J. Mandelbaum, dans Le Monde), Sorrentino s’en moque en les faisant répéter par son héros porte-parole, le chef d’orchestre retraité, mais au faîte de sa gloire, Fred Ballinger. Et quand bien même elles seraient justifiées, qu’est-ce que ça peut faire?