Par James Howard Kunstler – Le 31 Décembre 2021 – Source kunstler.com
Si 2021 a été l’année de la corruption maximale, de la décadence politique et de la folie dans l’histoire des États-Unis, 2022 ressemblera à un retour convulsif aux rigueurs déchirantes de la réalité, avec des pertes choquantes, des comptes à rendre, et pas mal de châtiments pour les voyous et les réprouvés qui ont conduit notre pays dans le fossé. Les dilemmes abondent maintenant dans les décombres de l’économie, de la culture et de la politique. Les années où « tout va et rien ne compte » sont terminées – même si vous ne le savez peut-être pas encore, à l’aube du vingt-deuxième siècle. Bienvenue au banquet des conséquences. La soupe est servie !
Le peuple américain s’est fait avoir à l’envers et à l’endroit, à l’intérieur et à l’extérieur, en travers et de tout côté, et de haut en bas ; poussé au bord du suicide national par une combinaison d’ennemis à l’intérieur et à l’extérieur. Si le PCC de la Chine voulait tirer le maximum d’avantages d’une Amérique affaiblie et confuse, il n’aurait pas pu trouver de partenaires plus zélés que le séditieux Parti démocrate et le Dr. Anthony Fauci, les entreprises pharmaceutiques meurtrières, les médias malhonnêtes et imprudents, et une foule démoniaque d’agences fédérales, en particulier la « communauté des renseignements » avec ses trois zélateurs – la CIA (Moe), le DOJ (Larry), le FBI (Curley) – plus les nombreuses chambres d’horreur secrètes du Pentagone. Ajoutez à cela les tyrans de Big Tech, les mandarins marxistes des campus et les narcissiques sataniques d’Hollywood. Oh, et n’oublions pas la principauté maléfique de l’arnaque et de l’escroquerie qu’est Wall Street.
Nous ne savons toujours pas exactement quel rôle le PCC et son Armée de libération du peuple ont joué dans les origines de la Covid-19, et nous ne le savons pas parce que le gouvernement américain ne veut pas que nous le sachions – parce qu’il a joué un rôle dans cette affaire – et les médias d’information ne lèveront pas le petit doigt pour le découvrir non plus, parce qu’ils sont le bras propagandiste du régime au pouvoir. Nous en savons beaucoup sur les opérations du Dr Fauci et de ses collègues qui ont financé le développement du virus à Wuhan dans le but d’introduire une série de « vaccins » extrêmement rentables qui, en fait, ont prolongé et exacerbé la pandémie, et ont blessé ou tué des millions de personnes dans le monde entier.
Nous savons également que ce même groupe d’acteurs de la santé publique et de Big Pharma ont truqué les essais cliniques qui ont précédé les autorisations d’utilisation d’urgence qui ont permis de libérer les « vaccins » sur la population, et qu’il a délibérément entravé et supprimé des traitements éprouvés avec des médicaments bon marché et hors brevet qui auraient sauvé des centaines de milliers de vies s’ils avaient été autorisés dans le cadre des soi-disant normes de pratique qui régissent la médecine de nos jours. La même bande a truqué ses rapports statistiques chaque fois que cela était possible, notamment en ne réparant pas le site web VAERS du CDC, qui ne fonctionne pas bien, pour répertorier les réactions indésirables aux « vaccins », mais aussi en créant des conditions qui rendent impossible de distinguer les décès réels dus à la Covid-19 des décès dus aux « vaccins », et des décès causés par des comorbidités ou des événements extérieurs tels que des accidents de la route ou des meurtres par balle.
En 2021, une montagne de preuves a été accumulée sur tous ces méfaits criminels, couronnée par l’énorme livre de Robert F. Kennedy Jr. sur la carrière impie du Dr Fauci à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), un manuel d’accusation virtuel, méticuleusement annoté, qui sera utilisé dans d’innombrables procès contre le Dr Fauci, ses collègues qui lui survivent, et les nombreuses agences et ONG – et peut-être dans les procès criminels de ces criminels très connus.
Voilà où en sont les choses au tournant de la nouvelle année 2022. Qui ne veut pas savoir ce que ce jeu historique va devenir ? Beaucoup de scénarios changent rapidement. Il est évident que l’administration « Joe Biden » veut faire durer la pandémie au moins une année de plus, notamment pour maintenir en place l’arnaque des bulletins de vote par correspondance « d’urgence » qui a perverti les élections de 2020. Mais plus de la moitié du pays a compris cette escroquerie et je prédis que des règles de vote plus rigoureuses seront mises en place – ou, si ces réformes rencontrent une résistance, une bataille si féroce que les élections pourraient même ne pas avoir lieu à la date prévue.
À l’heure actuelle, trop d’Américains en ont déjà assez d’être bousculés par des fonctionnaires censés agir pour leur bien. Ils voient clair dans les méfaits du racket de la Covid-19. Ils ont assisté au viol de l’intérêt public. Ils comprennent que les « vaccins » sont une expérience désastreuse menée en toute illégalité. Ils ont été témoins des dommages causés à eux-mêmes et à leurs proches. Ils sont consternés par le détournement de la science par des gens aussi profanes sur le plan scientifique que les nécromanciens, les astrologues et les inquisiteurs d’antan.
Ils ne se soumettront plus à aucun confinement, à aucune tentative d’interférence et de destruction des petites entreprises. Ils en ont assez des manigances raciales et sexistes qui ont désorganisé la société, ruiné des villes déjà en difficulté, travesti le principe de base de la sécurité publique et forcé les gens à faire semblant autour d’une psychopathologie et d’une dépravation évidentes. Ils ne vont plus jouer le jeu. Ils vont résister et se battre – dans les conseils municipaux, dans les commissions scolaires, dans les tribunaux, et sur les champs de bataille, s’il faut en arriver là.
La pandémie du vieil homme
Il a continué à rouler. Le variant Omicron du coronavirus, moins létal mais plus infectieux, qui déchire actuellement les populations mondiales, semble indiquer que la fin de ce mélodrame vicieux est en vue. Prédisons que la phase de maladie proprement dite de la Covid-19 s’éteindra d’elle-même au plus tard au printemps, à moins que les acteurs malveillants ne disposent d’autres monstres cultivés en laboratoire qu’ils peuvent lâcher dans la population générale dès qu’ils en ont envie. Mais les effets néfastes installés par ces démons dans les vaccins continueront à tuer et à handicaper les gens pendant longtemps.
Nous savons que les protéines de pointe ont été observées cliniquement dans le corps humain jusqu’à quinze mois après une injection d’ARNm, et qu’elles provoquent de nombreux dommages aux vaisseaux sanguins, aux organes et au système immunitaire. Nous venons tout juste de célébrer le premier anniversaire des vaccins – sans compter que des millions de personnes ont reçu des injections supplémentaires et des rappels jusqu’à cette semaine – de sorte que ces protéines de pointe nocives continueront à exercer leur influence pendant toute l’année 2022 et au-delà.
Comme l’a récemment averti le médecin thaïlandais et allemand Sucharit Bhakdi, l’affaiblissement du système immunitaire des personnes vaccinées pourrait provoquer une résurgence à grande échelle de maladies mortelles ancestrales, comme la tuberculose, qui sont toujours présentes en petites quantités dans notre organisme et qui sont généralement supprimées. Les populations d’Asie et d’Afrique sont particulièrement vulnérables car l’assainissement public et l’eau potable y sont plus sommaires. Les vaccins provoqueraient également l’expression de cancers latents, notamment chez les personnes en rémission. La mortalité due aux vaccins pourrait finalement être plus importante que les décès dus au virus lui-même.
En arrière-plan de tout cela se cache cette prédiction inquiétante faite par la société d’analyse militaire Deagel il y a plusieurs années, qui estimait que la population des États-Unis s’effondrerait à 99 millions d’habitants en 2025, contre plus de 330 millions actuellement. Deagel n’a jamais expliqué cela, et ils ont retiré leur page web l’année dernière lorsque leurs prévisions alarmantes ont soudainement commencé à sembler plausibles. Je dis ça comme ça.
Quoi qu’il en soit, l’épisode Covid-19 va bouleverser la vie de plusieurs millions de personnes, en particulier dans les nations de la civilisation occidentale, qui ont été les plus durement touchées en termes de politique gouvernementale autodestructrice. La pandémie a accéléré l’effondrement des économies industrielles, un processus que j’appelle la longue urgence, et qui finira par affecter toutes les nations, même si l’Occident est le premier à sombrer. Les sociétés seront propulsées dans une période de désordre, sûrement plus longue et plus difficile dans certains endroits que d’autres, en fonction des ressources locales. La destination de ce voyage est un endroit où le projet humain est mené à une échelle et à un niveau bien inférieurs à ceux auxquels nous nous sommes habitués à notre époque, avec beaucoup moins de confort et de commodités « modernes », et des pertes choquantes en matière de connaissances et de sciences appliquées. Ce ne sera pas la première fois que cela se produit dans l’histoire de l’humanité, mais les dégâts seront beaucoup plus importants.
Économie, finances et argent
Notre économie est liée à nos ressources énergétiques. Le modèle économique qui consiste à fournir des combustibles fossiles à l’économie mondiale est brisé à bien des égards, et par conséquent, le modèle économique d’une économie de production industrielle de haute technologie est également brisé. L’industrie du pétrole de schiste a été lancée à la faveur d’une marée haute de financements à coûts quasi nuls et, depuis dix ans, elle a produit une énorme quantité de pétrole (bien qu’elle ne soit pas de première qualité, manquant de distillats lourds comme le diesel et le fioul domestique). Dans le processus, les producteurs de pétrole de schiste ont prouvé qu’ils ne pouvaient pas gagner de l’argent avec ces opérations très coûteuses, et nous entrons maintenant dans une période de pénurie de capital qui leur rendra plus difficile d’attirer de nouveaux investissements et de continuer à performer. En outre, ils sont en train d’épuiser les « points chauds » pour le forage et la fracturation.
Ce qui reste après avoir soustrait le pétrole de schiste, ce sont les champs conventionnels qui étaient en fort déclin en 2008, lorsque la campagne de schiste a commencé. En 2022, la production pétrolière américaine devrait tomber en dessous de 9 millions de barils par jour. Nous consommons un peu moins de 20 millions de barils par jour et importons la différence. Vous auriez toutes les raisons de penser qu’une scène mondiale plus désordonnée pourrait interférer avec nos importations de pétrole en 2022. Il faut s’attendre à ce que la consommation baisse également, à mesure que l’activité économique s’affaiblit. Prévoyons une baisse de la consommation à 15 millions de barils par jour. Les marchés pétroliers seront donc désordonnés, avec une oscillation des prix, car les pénuries et la destruction de la demande se poussent et se tirent mutuellement. Rappelez-vous l’équation de base : un pétrole supérieur à 75 dollars le baril affaiblit les économies ; un pétrole inférieur à 75 dollars le baril écrase les compagnies pétrolières.
L’espoir persiste que nous pouvons faire fonctionner les systèmes complexes de la vie moderne avec des sources d’énergie alternatives, mais ce souhait ne se concrétise pas. La prise de conscience de ce fait se répandra dans la société occidentale en 2022 et créera davantage d’anxiété, de pensées désordonnées, de comportements sectaires et d’effondrement des normes sociales. Pour l’instant, l’arène publique est entièrement occupée par la psychose collective qui a d’abord éclaté autour de Donald Trump, puis s’est déplacée vers la Covid-19. Le stress et la tension de ces dynamiques démoralisantes pourraient conduire en 2022 à l’éclatement d’une violence politique qui rendra encore plus difficile l’obtention d’un consensus sur une façon de sortir de nos dilemmes économiques.
Acceptons de comprimer notre histoire économique récente, puisque je l’ai répétée de nombreuses fois dans les articles hebdomadaires du blog Clusterfuck Nation : Nous avons remplacé nos activités de fabrication de biens sur le terrain par ce que l’on appelle la financiarisation, essentiellement la fabrication de dettes – emprunter à l’avenir pour faire fonctionner nos systèmes complexes aujourd’hui, afin de compenser les pertes accumulées par notre modèle économique énergétique défaillant. Tout cela n’était qu’une escroquerie, car on ne peut pas créer la prospérité par la simple gestion d’instruments censés représenter la richesse s’il n’y a pas de production réelle de richesse matérielle derrière. La dette n’est pas une richesse. Vous pouvez jouer avec elle sur les marchés financiers, l’acheter et la vendre, manipuler les taux d’intérêt et les prix pour donner l’impression que les choses fonctionnent. Mais cela ne va pas plus loin, jusqu’au moment où la réalité dépasse l’artifice, et c’est là où nous en sommes. Substituer la dette à la richesse a introduit des perversités dans l’économie. Désormais, il est impossible de connaître la valeur réelle de quoi que ce soit – la « découverte des prix » est désactivée – et cela se répercute également sur le comportement socio-économique. Aujourd’hui, de nombreuses activités commerciales, y compris les domaines de l’enseignement supérieur et de la médecine, censés être éthiques, sont devenues de redoutables rackets, c’est-à-dire des efforts pour gagner de l’argent de manière malhonnête. Nous ne pouvons plus prétendre que tout cela est correct. Nous nous retrouvons avec un gigantesque édifice de dettes qui ne seront jamais remboursées et tout un tas de mauvais comportements qui corrodent notre humanité.
Après avoir passé deux décennies à masquer notre incapacité à payer pour faire fonctionner notre société, la Réserve fédérale a finalement réussi à générer de l’inflation à l’ancienne – la destruction de l’argent lui-même – et pas seulement le gonflement du prix des actions, sa spécialité depuis tant d’années. Ils ont maintenu l’inflation à distance pendant tout ce temps en l’exportant vers d’autres pays qui nous ont envoyé des biens réels en échange de nos promesses en papier : bons du Trésor, billets de banque, obligations. Les confinements et la destruction des entreprises ont finalement tué cet équilibre, puis le malaise croissant entre les États-Unis et la Chine a commencé à tuer les chaînes d’approvisionnement. Maintenant, la mondialisation est sur la corde raide et avec elle, notre capacité à exporter de la monnaie papier du Trésor américain. Tout l’« argent jeté par hélicoptère » injecté dans le système pendant la crise Covid poursuit maintenant les marchandises qui ont un parcours plus difficile jusqu’à leurs points de vente. Les pièces de machines, les voitures et bien d’autres choses deviennent difficiles à obtenir. Les prix augmentent. Les systèmes tombent en panne et leurs défaillances se répercutent sur d’autres systèmes.
Avec une inflation qui tourne officiellement autour de 8 %, et officieusement plutôt autour de 15 %, le taux d’intérêt réel d’un bon du Trésor à dix ans est le taux nominal de 1,49 % moins la différence entre 8 et 15 %, un chiffre profondément négatif. Posséder ce papier est une perte sèche. Si le taux d’inflation continue à suivre le rythme de 2021 en 2022, la perte s’accentuera. Si l’inflation se poursuit à un rythme supérieur à celui de 2021, le papier du Trésor sera comme autant de couvertures contre la variole sur le marché obligataire mondial et l’Amérique frôlera l’inflation galopante à la Weimar. Nous ne pourrons plus offrir d’obligations en échange de marchandises. La Fed devra les manger. Nous importerons l’inflation, les prix des biens continueront d’augmenter. L’Amérique est dans un trou qu’elle a elle-même creusé. Que peut-on faire ?
La Fed a deux choix, tous deux peu prometteurs. 1) « Resserrement ». Par incréments mesurés, la Fed abandonne le QE (assouplissement quantitatif, achat d’obligations, alias « monétisation de la dette »), non seulement par l’achat de papiers du Trésor américain, mais aussi les obligations d’entreprises et les titres adossés à des créances hypothécaires. Il s’agit d’augmenter les taux d’intérêt pour qu’ils soient supérieurs aux taux d’inflation réels afin de redonner aux gens l’ancienne motivation réelle pour acheter des obligations, à savoir un flux d’intérêt fiable supérieur à l’inflation. La dernière fois que l’inflation a menacé l’Amérique, en 1981, le président de la Fed, Paul Volker, a fait grimper les taux des fonds fédéraux (à court terme) jusqu’à 20 %, ce qui a mis un terme aux emprunts pendant un certain temps, provoqué une récession, mais a permis d’y arriver. L’ennui, c’est que la dette nationale et le bilan de la Fed étaient minuscules à l’époque, comparés aux inimaginables milliers de milliards sur les bilans aujourd’hui. Et il restait encore beaucoup d’industries productives dans le pays.
La fin de l’assouplissement quantitatif, combinée à la hausse des taux d’intérêt, ramènerait les marchés à l’équilibre – ce qui revient à dire qu’ils s’effondreraient, car la fin des taux d’intérêt quasi nuls signifierait qu’il ne serait plus possible d’utiliser l’effet de levier (l’argent emprunté) pour acheter des actions, qui sont largement surévaluées après des années et des années de ces manigances. L’offre sur les actions prendrait fin. Pas assez d’acheteurs pour satisfaire les vendeurs. Les marchés baissent. Cela provoque plus de ventes… une ruée vers la sortie… attention à la suite…
Le resserrement des conditions de financement ferait également chuter la valeur des obligations, car la valeur des obligations est inversement proportionnelle aux taux d’intérêt : lorsque ceux-ci augmentent, le prix des obligations diminue. Les détenteurs d’obligations prendraient donc le bouillon. Le resserrement fait en fait disparaître l’argent – phhhtttt ! – car il provoque des défauts de paiement (les gens ne remboursent pas leurs dettes). Dans notre système, l’argent est prêté pour exister et les prêts non remboursés font disparaître l’argent. Les gens et les entreprises font faillite. Des taux d’intérêt plus élevés pousseront également les entreprises à ne pas pouvoir rembourser leurs obligations. Sans accès à plus de dettes, de nombreuses grandes entreprises pourraient être obligées de fermer, de faire faillite, peut-être pour toujours. Le gouvernement, croulant sous les dettes, s’étoufferait sous les paiements d’intérêts plus élevés. À mesure que l’argent disparaît, le capital se raréfie et les petites entreprises, qui dépendent désespérément du crédit renouvelable, font faillite. L’effet net de tous ces dommages sur les marchés financiers est une profonde dépression économique, dans ce cas, le cas d’urgence à long terme, probablement une dépression qui devient permanente puisque la base de cette économie particulière à haute énergie, l’industrie pétrolière, s’effondre avec tout le reste.
Le choix numéro 2) de la Réserve Fédérale est : Ne pas resserrer. Au contraire, continuez à imprimer de l’argent comme un fou, peut-être même plus qu’avant, et continuez à essayer de maintenir les taux d’intérêt bas. Continuer à acheter des obligations, des billets, n’importe quel papier de dette que le système vomit. Ce n’est qu’un vieux stratagème appelé « botter en touche ». Le problème est que nous sommes au bout de la route. L’inflation à l’ancienne a déjà commencé en 2021, suite à deux décennies d’assouplissement quantitatif, qui a ensuite été considérablement aggravée par les dépenses publiques massives pour atténuer la crise Covid. Il n’est plus question de jouer avec les achats d’obligations et les taux d’intérêt, de jouer à cache-cache avec les réserves bancaires, de planquer de l’argent dans des « véhicules à usage spécial » et autres cachettes bancaires qui permettront de maintenir la stabilité et le bonheur. À partir de maintenant, imprimer de l’argent comme un fou ne fait que détruire la valeur de notre argent. Vous aurez beaucoup d’argent, mais il perdra de plus en plus de valeur chaque jour – ce qui n’est qu’une autre façon de faire faillite.
Puis, comme le dollar achète de moins en moins de choses, les dollars détenus à l’étranger sont jetés en échange de tout ce qui est offert : minerais, céréales, produits finis, immobilier américain, métaux précieux, autres monnaies moins endommagées, et ainsi de suite. Mieux vaut posséder des objets de valeur réelle que des dollars qui perdent rapidement leur pouvoir d’achat. Les étrangers se débarrassent également des bons du Trésor américain, car l’inflation détruit leur valeur. Lorsque les étrangers font cela, les dollars retournent aux États-Unis, ce qui provoque encore plus d’inflation. Rapidement, l’Amérique est inondée de dollars et à court de biens que vous pouvez acheter avec ces dollars. Vous êtes riche en dollars mais en même temps fauché.
Le résultat est sensiblement le même dans les deux cas : le niveau de vie en Amérique baisse considérablement. Ce que je prédis pour 2022, c’est que la Réserve fédérale se lancera dans un programme de resserrement tant annoncé, puis l’abandonnera au premier signe de difficulté, l’inévitable baisse du marché boursier. La Réserve fédérale recommencera alors à acheter nos propres titres de créance et tentera de faire baisser les taux d’intérêt, si elle le peut, ce qui ne sera peut-être plus possible. La Fed perdra bientôt tout contrôle sur la monnaie américaine. Elle pourrait essayer de retirer les « vieux » dollars et de les remplacer par de « nouveaux » dollars garantis par quelque chose, l’or et l’argent étant les candidats évidents. Cela conduira à une forte réévaluation à la hausse des deux métaux. Prévoyons que l’or atteindra 5 000 dollars et l’argent 200 dollars d’ici la fin 2022.
Il se peut qu’il y ait une tentative timide d’établir une sorte de monnaie numérique américaine officielle (la rumeur court depuis des années). Les Américains résisteront à l’idée d’être parqués dans ce corral où chacune de leurs transactions financières est traçable, imposable et punissable. Ils auront appris leur leçon à ce sujet des tyrannies Covid-19. Ils en ont assez d’être bousculés. Ils ne font plus confiance aux autorités en matière d’argent, de gouvernement, de médecine, ou de quoi que ce soit d’autre. Quoi qu’il en soit, d’un point de vue pratique, trop d’Américains opèrent déjà en marge du système et dépendent de l’argent liquide pour faire toutes leurs affaires. Beaucoup d’entre eux sont ce qu’on appelle « non bancarisés ». Ils ne peuvent pas participer aux systèmes de paiement informatisés. Ils resteront en dehors de la boucle numérique et feront des affaires avec de l’argent, de l’or ou d’autres objets. Ils fonctionneront comme les Vénitiens du 14ème siècle.
Je doute que le bitcoin et ses imitateurs survivent encore longtemps après que le système financier a été forcé de se réajuster à la réalité. Ils ont prospéré uniquement en tant que cibles spéculatives. La chaîne de blocs est très intelligente, mais en fin de compte, le bitcoin et ses semblables ne représentent… rien… rien du tout. Ils ont attiré beaucoup d’argent qui circulait dans le système pendant les années de pseudo-prospérité artificielle, et c’est fini. Quoi qu’il en soit, ils dépendent totalement de la stabilité d’Internet et du réseau électrique pour fonctionner et vous seriez surpris de la fragilité de ces deux systèmes. Le début de l’année 2022 pourrait être votre dernière chance de sortir du bitcoin avec quelque chose à montrer pour témoigner de cette aventure.
Politique et société
La psychose collective décrite par Mattias Desmet de l’Université de Gand est à l’origine d’une grande partie de ce que nous observons dans la politique américaine depuis quelques années maintenant. Elle a apparemment été déclenchée par l’élection de Donald Trump. Mais il me semble que ce syndrome était préparé et cultivé par l’appareil de sécurité, de surveillance et de renseignement de l’« État profond » américain depuis des décennies. Les libéraux Démocrates n’ont pas eu besoin de Trump pour devenir fous à lier. Ils ont plutôt été manipulés par les agents de l’État profond dans les grands médias, en commençant par l’absurde psy-op de la collusion du RussiaGate et en poursuivant pendant quatre ans des plans infâmes pour désactiver et évincer M. Trump. Bien qu’il ait été présenté comme l’ennemi juré des animaux domestiques et des projets de la gauche – marxisme identitaire, ouverture des frontières – en tant que président, M. Trump était en réalité bien plus une menace pour l’État profond lui-même, et pour sa matrice de richesse, de pouvoir et de privilèges, et ils ont tout mis en œuvre, à l’exception de l’assassinat, pour l’écarter du plateau de jeu.
Sa persévérance et sa résilience face à tout cela furent remarquables. Mais au bout du compte, ses ennemis ont organisé des élections marquées par divers types de fraude et ont réussi à se débarrasser du Golem d’or de la grandeur. La façon dont « Joe Biden », l’enveloppe vide d’un politicien grincheux, a pu être désigné par le parti Démocrate est l’un des plus grands mystères des temps modernes. Sa victoire lors de la primaire du Super Tuesday, qui lui a valu l’investiture, a certainement été truquée par le DNC. Sa campagne, du début à la fin, a été un simulacre public. Si les électeurs avaient pu voir les documents sur son fils, Hunter, et la trace de pots-de-vin enregistrée dans des centaines d’e-mails, de contrats et d’autres documents sur l’« ordinateur portable de l’enfer », « Joe Biden » serait en prison fédérale plutôt qu’à la Maison-Blanche. Mais Facebook, Twitter et Google ont conspiré pour censurer toute mention de cela, et les gens n’ont jamais eu l’information. Alors, et maintenant ?
Eh bien, en ce début d’hiver 2022, les Américains découvrent à quel point ils se sont fait avoir sur la Covid-19, et à quel point « Joe Biden » & Co. ont mal géré les questions économiques et d’autres choses, comme l’invasion quotidienne à travers la frontière mexicaine, et à quel point « JB » & Co. ont mal géré nos relations étrangères – le fiasco du retrait afghan, etc – et généralement quelle figure pathétique « JB » présente au monde… et tout cela ressemble à la danse des fantômes du parti Démocrate. Prédisons que le parti ne survivra pas intact aux élections de mi-mandat de 2022 en tant que faction politique cohérente.
Je donne 70 / 30 chances que « Joe Biden » se retire « pour des raisons de santé » bien avant les élections de mi-mandat. Il est en train de s’effondrer sous nos yeux. Il peut à peine prononcer une phrase compréhensible. Il se ridiculise et ridiculise le pays tous les jours. Ses sondages sont au plus bas…. Donc, ok, il fait un plongeon et se retire de la scène. Kamala Harris prête serment. La présidente Harris nomme Barack Obama comme vice-président. Dites, quoi… !
M. Obama est de retour aux commandes – comme s’il n’avait jamais été aux commandes depuis le 20 janvier 2021, vraiment ? – allant jusqu’à occuper effrontément le Bureau ovale en tant que VIP pour les affaires courantes – reléguant Mme Harris dans un placard à balais. Les Démocrates réclament la démission de Mme Harris et la remise officielle des rênes à M. Obama. (Les présidents sont limités à deux mandats électifs, mais la constitution ne stipule pas une telle nomination circonstancielle au poste). Kamala s’efface gracieusement. Au nom de l’« unité » et de l’équilibre des sexes, M. Obama nomme Liz Cheney comme nouvelle vice-présidente. C’est un scénario possible. Réécrivez cette pièce avec Hillary Clinton à la place de Barack Obama. Les Démocrates vont devoir tenter un geste désespéré pour conserver le pouvoir.
Même ainsi, il est difficile d’imaginer des circonstances dans lesquelles le parti Démocrate conserverait le contrôle effectif du gouvernement. Si les élections de mi-mandat ont lieu, les Républicains reprendront le contrôle de la majorité de la Chambre et du Sénat, avec de nombreux nouveaux visages MAGA parmi eux. Les espoirs et les rêves des Démocrates pour un changement transformateur seront jetés aux toilettes. Le gouvernement au niveau national devient impuissant, inefficace, incapable de s’acquitter de ses fonctions ou de gérer quoi que ce soit – tout cela a été prédit explicitement, soit dit en passant, dans mon livre The Long Emergency (Grove-Atlantic, 2005). Nos adversaires étrangers profiteront-ils de la situation ? Les cinquante États pourront-ils gérer leurs affaires sans les subventions de Washington DC ? Les gouverneurs ont intérêt à se préparer à des temps étranges.
La droite politique s’est montrée prudente et circonspecte depuis la débâcle de la marche du 6 janvier 2021 sur le Capitole. Les pauvres boobs cajolés par les usines du FBI pour s’être introduit dans le bâtiment ont été traités de manière abominable par leur gouvernement, et probablement de manière extra-légale. Mais surtout, le coup du 6 janvier a mis un frein à toute nouvelle action de rue de la droite pendant l’année de mandat de « Joe Biden ». Cela pourrait changer en 2022. L’humeur des personnes politiquement motivées de part et d’autre du spectre doit être aggravée par l’effondrement de l’économie. Et au fur et à mesure que l’année avance, ce ne seront que des Américains affamés, en colère et de toutes sortes qui vont ouvrir les portes de l’enfer parce qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre.
Toute l’anxiété qui alimente la psychose collective, qui s’est d’abord concentrée sur Trump, puis sur la Covid-19 (et les non-vaccinés), pourrait enfin déplacer son énergie vers la source réelle de nos malheurs et de nos chagrins : l’establishment de Washington. Le déclin et la chute de la Covid-19 vont laisser un grand trou dans l’âme anxieuse et perdue de la nation, et il faudra bien le remplir avec quelque chose. Nous sommes propulsés dans une scène qui ressemble à une guerre civile, mais il devient de plus en plus difficile de déterminer qui est de quel côté, ou même quels sont les côtés – ou comme Mick Jagger l’a célèbrement hurlé à Altamont en 69, « Who’s foit-ing an’ whut faw ? » C’est de la pure folie. La loi de Murphy rencontrera Zombieland pendant sept jours en mai.
Géopolitique
Bon sang, qui sait… ? Les Russes sont furieux parce qu’il y a trente ans, après l’effondrement du système soviétique et la tentative de Vlad Poutine de recoller une sorte de nation fonctionnelle à partir des débris, nous leur avions promis en termes clairs de ne pas étendre l’OTAN, puis, année après année, nous avons ajouté de nouveaux pays à l’OTAN, y compris d’anciennes républiques soviétiques s’étendant jusqu’aux frontières de la Russie. Ensuite, les États-Unis, sous la direction de M. Obama, ont mené la « révolution de couleur » en Ukraine, en essayant de forcer cet État pathétique, véritable punching-ball, à se ranger de notre côté… et, cela fait, nous menaçons maintenant de l’intégrer à l’OTAN, ce qui signifie que nous aimerions stationner des fusées, voire des troupes et toutes sortes d’autres équipements militaires sur ce qui a été le paillasson de toutes les tentatives d’invasion de la Russie dans l’histoire moderne. Êtes-vous surpris que la Russie ait tracé une ligne dans le sable à cet endroit ?
On ne peut pas faire confiance au département d’État d’Anthony Blinken ou à l’armée transsexuelle du général Milley pour croire que le fait de mettre la Russie au pied du mur pourrait être bénéfique pour les États-Unis. Si l’on considère à quel point nous sommes économiquement faibles, à quel point nous sommes tragiquement désunis, à quel point nous sommes devenus minces et mous, peut-être que déclencher une guerre pour l’Ukraine n’est pas une si bonne idée. On ne peut qu’espérer.
De l’autre côté, il y a la Chine, l’Empire du Milieu renaissant de l’oncle Xi, avec ses gratte-ciel étincelants, ses nouveaux aéroports et autoroutes éblouissants, son fabuleux système de crédit social pour contrôler son énorme population à la Orwell. La Chine a beaucoup d’atouts, mais ce qui lui nuit n’est pas si évident, à commencer par le fait qu’elle a du mal à s’approvisionner en combustibles fossiles à long terme. La Chine n’a tout simplement pas beaucoup de pétrole ou de gaz naturel, et elle utilise un charbon de qualité de plus en plus médiocre pour faire tourner son industrie. Ses importations de pétrole doivent passer par deux goulots d’étranglement mondiaux, le détroit d’Ormuz et le détroit de Malacca. En bref, malgré les grands progrès réalisés par la Chine pour passer du XIIe siècle à une modernité éblouissante, elle risque de se heurter au dilemme énergétique, comme toutes les autres nations « avancées ».
Ce n’est un secret pour personne que, sous la direction de l’ambitieux empereur marxiste Xi Jinping, la Chine veut occuper le rôle d’hégémon mondial que l’Amérique s’efforce de ne pas abandonner. Le rôle d’hégémon nécessite généralement une expansion géographique. Nous sommes certainement inquiets d’une prise de contrôle de Taïwan, qui est, en fait, l’installation de microprocesseurs offshore de l’Amérique. Il est concevable que la Chine puisse prendre le contrôle de Taïwan par mille petits pas sans tirer un coup de feu – le PCC ayant infiltré la politique, les médias et l’éducation aux États-Unis – ou par la force, ne serait-ce que pour marquer un point théâtral, mais pourquoi risquer un échange nucléaire ?
La Chine s’aventure dans de nombreuses régions reculées du monde depuis des années sans attirer l’attention de la communauté internationale, achetant des terres agricoles et des sites miniers dans toute l’Afrique de l’Est, et maintenant elle lorgne sur des ouvertures dans plusieurs nations sud-américaines riches en ressources qui ont récemment élu des présidents socialistes sympathiques. La Chine a obtenu des contrats pour exploiter les ports aux deux extrémités du canal de Panama, stratégiquement important, il y a plus de vingt ans, et le Panama a signé un protocole d’accord pour rejoindre l’initiative Belt-and-Road de la Chine en 2017. Cela a attiré l’attention de l’administration Trump, qui répondait à l’expansionnisme de la Chine par des tarifs douaniers et des sanctions. M. Trump a fait suspendre plusieurs projets d’infrastructure chinois concernant des ponts, des trains à grande vitesse et des améliorations portuaires dans la zone du canal. « Joe Biden », un important client chinois, regarde maintenant de l’autre côté.
La Chine peut-elle réellement contrôler les terres indisciplinées d’Asie centrale, vitales pour ses ambitions de Nouvelles routes de la soie. Par exemple, l’Afghanistan, où la Chine cherche à établir de gigantesques opérations minières, mais doit encore se frotter aux fougueux talibans. Prévoyons que la Chine de 2022 sera bloquée dans son expansion et paralysée par ses problèmes énergétiques. Ajoutons à cela les problèmes sur ses marchés d’exportation, les États-Unis et l’Europe, qui commencent à imploser financièrement et dont la demande de produits manufacturés chinois diminue.
Ensuite, il y a le marasme bancaire de la Chine, des milliards de prêts irrécouvrables, des entreprises géantes qui vacillent et des garanties sous la forme d’un millier de gratte-ciel construits avec un ciment de si mauvaise qualité que c’est un miracle que les bâtiments tiennent encore debout. Comment le fragile système bancaire chinois pourra-t-il faire face à la contagion des problèmes financiers des États-Unis et de l’Europe ? Prédisons que la Chine se trouve dans une situation économique suffisamment difficile pour que des troubles intérieurs éclatent, que le gouvernement réagisse de manière excessive et qu’elle soit trop paralysée par ses problèmes politiques internes pour faire des dégâts au-delà de ses frontières pour le moment.
Enfin, l’Europe. Oh, la belle Europe, le parc à thème touristique de ma vie avec ses belles villes, ses paysages soignés, ses cafés, ses cathédrales, ses filles à moto, sa fabuleuse culture profonde. On dirait que tout cela est en train de s’écrouler, avec des signes d’un retour aux bouleversements politiques du 20e siècle. D’une manière ou d’une autre, la Covid-19 a poussé l’Autriche et l’Allemagne à revenir à un comportement qui ressemble un peu à ce qui s’est passé pendant les années Hitler. Difficile à croire, je sais, mais regardez-les ! Des tactiques d’état policier ! Vaccinations forcées ! Confinements ! Des punitions sévères pour ceux qui résistent. C’est écœurant, et on dirait que c’est en train de s’installer.
L’économie de l’Euroland est un désastre. Ses problèmes énergétiques sont pires que ceux de la Chine. À l’exception de la Norvège, dont les gisements de pétrole de la mer du Nord s’épuisent, et de quelques mines de charbon épuisées, l’Europe n’a pratiquement rien pour les combustibles fossiles. Le projet « vert » de l’Allemagne en matière d’énergie éolienne et solaire n’a pas fonctionné. Elle est de plus en plus dépendante du pétrole et du gaz russes, et la position de l’Allemagne au sein de l’OTAN la soumet aux machinations des États-Unis contre la Russie, ce qui a entravé l’ouverture du gazoduc russe Nord Stream 2 passant par la mer Baltique. Ils pourraient finir par geler cet hiver et mourir de faim l’hiver suivant. Le système bancaire européen est une fraude risible, car l’UE n’a aucun contrôle sur les décisions fiscales prises par les gouvernements membres qui émettent des obligations de plus en plus sans valeur. L’année s’annonce difficile, avec des gouvernements qui se succèdent et qui trébuchent. La France aura peut-être un peu de chance. Le journaliste franc-tireur Éric Zemmour remporte l’élection présidentielle et fait renaître l’esprit national français. Il est toujours coincé par la pourriture des finances, mais au moins il remonte le moral du pays. Et contrairement aux Allemands, la France n’a pas choisi de fermer son industrie nucléaire, donc les lumières resteront allumées.
Et voilà, habitants de la Clusterfuck Nation. Je ne peux pas faire plus avec ça. Je vous souhaite à tous de la force dans les douze mois à venir, du courage, de la gentillesse et toutes les bonnes choses dont nous sommes capables. Nous en aurons besoin. Il y a encore beaucoup de choses à chérir dans ce pays qui est le nôtre, ces bons vieux États-Unis, et je crois que nous allons les redécouvrir lors de cette « Double-deuce » [Double 2, 22 soit 2022, NdT], ainsi qu’une certaine capacité à nous dire la vérité sur les choses qui comptent et à agir en conséquence ! Excelsior, braves cœurs !
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
Ping : L’effondrement du faux état Kazakh sur fond d’énième confinement chinois et de code QR en Russie (cf. Laurence) et la révolte de nos lecteurs-commentateurs contre les pions antisystèmes virtuels (Orlov, Escobar, Saker, etc.) ; un long et prof