«...Regardons cela de cette façon : si la panique écologique est le déclencheur primaire de l'effondrement, des guerres et de la mort de la société industrialisée, les élites peuvent échapper à tout blâme. Ce sont elles, après tout, qui essaient de nous sauver de nous-mêmes par l'introduction du contrôle des émissions de carbone, pour ne pas mentionner l'idée de contrôle de la population... Si le changement climatique et la panique écologique deviennent des vérités enracinées au sein de notre cadre social, littéralement toute horreur pourra être justifiée.» Brandon Smith
Par Brandon Smith – Le 16 décembre 2015 – Source alt-market
Note du Saker Francophone
Si vous suivez la série de Dmitry Orlov, vous êtes sans doute en train de préparer votre départ pour la Sibérie. Brandon Smith a une autre vision des experts du climat qui correspond à son analyse du mondialisme. Il y a donc bien deux débats, les impacts écologiques sur notre environnement et l'utilisation de ces impacts supposés, réels ou à venir comme technologies politiques par les élites et là on revient sur la techno-sphère d'Orlov.
La foi en une idéologie basée sur le désir de dominer les autres et le besoin de se sentir personnellement supérieur sans accomplissement légitime est peut-être le plus dangereux état mental qu’un individu ou une société peuvent adopter. Un tel état d’esprit vous renvoie au fanatisme, un élément constituant du sectarisme et une conséquence extrême du côté élitiste de la foi.
Le fanatisme et le sectarisme ne sont pas limités à la sphère du religieux. Le fanatisme est une cachette habile et diabolique dans les boiseries de toute construction politique ou académique, et cela inclut la communauté scientifique quand elle erre loin de la logique et des données empiriques honnêtes dans un monde de pseudo-science et d’ingénierie sociale. Je ne peux pas penser à un meilleur exemple de fanatisme alimentant le sectarisme des scientifiques que les remous autour du changement climatique / réchauffement global largement sous l’influence de la propagande.
Le réchauffement climatique anthropique (dû à l’homme) est rapidement devenu la justification globale pour toute politique vers la centralisation mondiale, ainsi qu’un bouc émissaire pour presque chaque crise majeure : les fusillades de masse, la montée d’ISIS et jusqu’aux changements géopolitiques dans les structures économiques. Le réchauffement climatique a été projeté comme une force magique responsable de tout. Il est présenté par les scientifiques du climat et les militants comme un monstre qui englobe les causes et les effets, et la quasi-totalité de cette pontifiante élite soutient frénétiquement cette idée avec la force de la foi, plutôt que par des données formelles.
La question est aussi celle de la transparence. Sans transparence sur les données expérimentales, les scientifiques du climat et les think-tanks sur le sujet sont immunisés contre tout examen. Cela veut dire que si les scientifiques et les organisations climatiques, dont beaucoup sont financés par l’argent des contribuables, ne sont pas tenus de révéler les données brutes justifiant leurs déclarations sur le réchauffement climatique, alors leurs déclarations ne sont plus une question de faits ou de processus scientifique, mais seulement des affirmations de scientifiques relayant un message venu d’en haut, message provenant de grands prêtres directement connectés avec le dieu de la science, un dieu que personne n’est autorisé à interroger. Leurs mots deviennent des oracles : des empreintes de carbone dans le sable.
Les institutions de recherche sur le climat comme l’Unité de recherche climatique (CRU) de l’Université d’East Anglia, la NASA et la National Oceanic and Atmospheric Administration ont refusé pendant des décennies de rendre publiques les données brutes derrière leurs expériences qui, disent-elles, prouvent l’existence du réchauffement climatique d’origine humaine. Pendant de nombreuses années, le CRU a refusé de livrer toute donnée n’ayant pas d’abord été traitée pour refléter les résultats désirés et refuse toujours de produire des courriels qui pourraient prouver que les scientifiques du climat ont truqué des données dans leurs modèles de réchauffement.
Le Professeur Phil Jones de la CRU, en charge de collationner l’ensemble des données, a dit, et cela s’est su, à un scientifique du climat australien en 2004 :
«Même si la WMO [Organisation mondiale de la météorologie] est d’accord, je ne vais toujours pas transmettre les données. Nous avons investi vingt-cinq années ou plus dans ce travail. Pourquoi devrais-je rendre publiques les données disponibles, alors que votre objectif est d’essayer d’y trouver des incohérences.»
Lorsque l’opposition est devenue plus intense en réaction à des données fournies par la CRU, l’organisation avait ceci à dire :
«Nous ne sommes pas en mesure de fournir des données pour un pays en particulier non couvert par les accords cités plus haut, car nous n’avons jamais eu les ressources suffisantes pour garder une trace de l’origine exacte de chaque valeur mensuelle individuelle. Depuis les années 1980, nous avons fusionné les données des séries existantes ou commencé avec de nouvelles, de sorte qu’il est impossible de dire si toutes les stations dans un pays donné ou si tous les enregistrements individuels peuvent être librement accessibles.
Les possibilités de stockage des données dans les années 1980 ne nous ont pas permis de garder les multiples sources pour certains sites, mais seulement la série de la station après ajustement pour des problèmes d’homogénéité. Par conséquent, nous ne détenons pas les données brutes d’origine, mais seulement la valeur ajoutée des données (c-a-d celle dont la qualité a été contrôlée et homogénéisée).»
Chaque fois que la question des données devient une affaire publique et que la pression monte, les scientifiques du climat perdent simplement les données brutes originales, et une fois encore, nous sommes invités à les croire sur parole.
Maintenant, pensez à ceci un moment. C’est seulement ces dernières années que les scientifiques du climat ont été poussés à livrer leurs données brutes au public, mais aussi à d’autres scientifiques non affiliés, pour examen. Jusqu’alors, ils avaient bénéficié d’une immunité presque totale sur les contrôles depuis que la farce du réchauffement global a commencé tout en agissant comme des poissons-pilotes, propagandistes des modèles politiques et économiques des organisations internationales comme le GIEC, affilié à l’ONU. Les lois et les impôts futurs qui pourraient affecter l’ensemble du globe sont décidés et mis en place sur la foi de la parole d’une poignée de scientifiques irresponsables qui voient leurs revendications comme sacro-saintes et au-dessus de toute investigation.
Malgré les affirmations de certains fanatiques du réchauffement de la planète, peu de choses ont changé depuis la publication des données et des courriels piratés du «Climategate» ou suite à la pression du public sur les institutions de recherche sur le climat. Ces organisations continuent à rejeter les demandes de données exigées par le Freedom Of Information Act.
Récemment, la NOAA a publié des études qui prétendent commodément réfuter les données satellitaires qui révèlent qu’il n’y a en fait pas eu de réchauffement de la planète depuis au moins dix-neuf ans. Interrogée par les législateurs pour livrer les documents portant sur des expériences qui soutiennent prétendument les affirmations de la NOAA, la NOAA a refusé.
Finalement, les apologistes du cartel climatique sont forcés d’admettre que les données brutes ne sont pas disponibles pour le public. Les scientifiques du climat semblent être les seuls scientifiques dans le monde qui peuvent s’en sortir avec la présentation de théories et de conclusions sans être tenus de conforter ce qu’ils disent avec des données réelles. Au lieu d’admettre que c’est une norme absurde, les apologistes défendent souvent cet acte de secret scientifique, affirmant que la moyenne des gens n’est pas assez intelligente pour interpréter les données, même si elles étaient mises à leur disposition. Nous, les profanes dans le public, sommes trop impurs pour examiner les livres saints des scientifiques du climat ; nous sommes appelés à simplement nous prosterner devant eux et les entités mondialistes comme l’ONU en tant que médiateurs entre nous et les dieux.
Encore une fois, il n’y a pas de données brutes disponibles qui prouvent que le réchauffement climatique ou le changement climatique soit même en cours, et encore moins qu’il est causé par les êtres humains ou le dioxyde de carbone. Il existe des preuves beaucoup plus fortes qui suggèrent que les changements climatiques sont déterminés par le soleil ; vous le savez, cette boule massive de chaleur et de rayonnement au centre de notre système solaire d’une taille de 1,3 millions de fois la Terre. Cela a été décrit habilement dans un documentaire de Channel Four sur le canular du réchauffement global.
Jusqu’à ce que les scientifiques du climat soient prêts à présenter leurs résultats, y compris toutes les données brutes d’une manière légitime et transparente pour un examen indépendant, RIEN de qu’ils ont à dire sur le réchauffement climatique n’est pertinent. Point final. Ils ne sont pas des grands prêtres. Ils ne sont pas infaillibles. Ils ne sont même pas particulièrement honnêtes. Chaque tableau que vous voyez dans les médias dominants démontrant un réchauffement correspondant à la production de dioxyde de carbone humain est basé sur du ouï-dire à partir de ces pseudo-scientifiques, pas sur des preuves tangibles. Ainsi, toutes les lois et les réglementations actuelles et futures sur la base des dits ouï-dires sont finalement erronées et dangereuses.
Malheureusement, la corruption au sein de la recherche climatique n’est pas prête à disparaître. Il y a des gens dans les couloirs du pouvoir qui voient l’idéologie du changement climatique comme le véhicule idéal pour promouvoir un nouveau type d’ordre social, un ordre dans lequel le collectivisme et la gouvernance centralisée sont scientifiquement nécessaires.
Le Club de Rome, un think tank mondialiste ayant des liens étroits avec l’agenda du changement climatique a énoncé à la page 75 de sa publication «La première révolution mondiale» en 1990 :
«Dans la recherche d’un ennemi commun contre lequel nous pouvons nous unir, nous sommes arrivés avec l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres du même genre cadrerait avec le projet …. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine … Le véritable ennemi, alors, est l’humanité elle-même …»
Le passage apparaît avec le sous-titre «L’ennemi commun de l’humanité est l’homme.»
C’est particulièrement génial cette stratégie d’unifier de fait l’humanité contre elle-même. Nous avons entendu les arguments des politiciens dans les médias dominants sur les menaces infinies causées par le réchauffement climatique. Nous avons entendu de nombreux responsables politiques du monde entier exiger la centralisation sous la supervision de l’ONU pour endiguer lesdites menaces. De Barack Obama à Vladimir Poutine, il y a un consensus géopolitique considérable sur l’idée que le changement climatique est réel (oui, Poutine dans son dernier discours à l’ONU exigeait une action sur le changement climatique et plus de pouvoir à l’ONU, ce qui prouve encore une fois qu’il n’est pas anti-mondialiste).
Le Secrétaire d’État John Kerry, entre autres, a même suggéré qu’ISIS a été causé par le changement climatique. Cette rhétorique politique est conçue pour les masses qui consomment quinze minutes ou moins de nouvelles par jour à partir des pires sources d’informations traditionnelles possibles.
Il y a, cependant, de plus habiles vendeurs de pétrole à la langue fourchue pour écrire ce que je qualifierais de propagande raffinée. Ce sont les analystes de think tanks qui tournent ces mensonges en un traité semblant très raisonnable, construit sur des sophismes complexes mais toujours rebouclant sur eux-mêmes. Si vous voulez savoir comment les futurs textes historiques seront écrits si les mondialistes obtiennent tout ce qu’ils veulent, il suffit de lire les journaux et les livres des agents de ces think tanks aujourd’hui.
Il y a des années, j’ai écrit à propos de l’un de ces analystes élitistes dans Le mensonge Linchpin : Comment l’effondrement mondial sera vendu aux masses. L’article se concentrait sur un membre de la Rand Corporation nommé John Casti et son mécanisme de propagande appelé «La théorie Linchpin». Casti y présentait l’idée fausse que la sur-complexité était la principale cause de la crise mondiale, conduisant à des incidents mineurs s’enchaînant en cascade comme des dominos générant des catastrophes dans le monde entier [effet papillon, NdT]. La solution de Casti était, bien sûr, la simplification (Traduction : la mondialisation et la centralisation sous un système pour un monde simplifié). Cet argument offre idéalement une passe gratuite pour la criminalité organisée des élites internationales, comme si ces hommes et leurs catastrophes fabriquées n’existaient pas ou n’avaient jamais compté, où toute la dureté budgétaire et cette guerre sans fin dont nous souffrons n’était simplement que le produit d’un chaos aléatoire.
J’ai aussi relevé un autre think tank élitiste trafiquant un mécanisme de propagande similaire appelé «La panique écologique». Timothy Snyder est un membre du CFR, le Council on Foreign Relations et l’auteur de «La planète noire : L’Holocauste comme histoire et avertissement». Je suggère fortement aux lecteurs d’écouter cette interview de Snyder sur Reuters pour avoir une idée de ce que je veux dire par propagande.
Snyder évoque un vaste éventail de désinformation dans cette seule interview, mais j’ai été particulièrement intrigué par l’idée de panique écologique qui, je crois, est la phase suivante (ou une phase plus soigneusement définie) dans l’agenda du changement climatique. Voici un résumé:
Snyder présente la théorie fondamentale selon laquelle les crises, plus précisément, les holocaustes, sont le produit de la rareté des ressources et des idées irréalistes sur des normes de vie adéquates. Il blâme ces normes irréalistes à partir de ses propres conceptions du libre marché qui encourage les sociétés à exiger plus d’accès aux ressources que ce qui est gérable (garder à l’esprit que les élites veulent être les gens qui auraient le pouvoir de déterminer ce qui est gérable et ce qui ne l’est pas). Snyder va jusqu’à l’idée que Hitler lui-même, d’une manière qui n’est pas exactement bien claire, était promoteur d’une forme de cupidité liée au marché libre, ce qui a attiré les Allemands sans méfiance vers une mentalité de guerre et de génocide pour leur profit.
À chaque développement, Snyder et les enquêteurs de Reuters cherchent à lier la philosophie et les actions d’Hitler aux principes actuels qui sont les piliers originaux de la culture occidentale. Snyder suggère que le darwinisme social d’Hitler est lié à la mentalité de mise en concurrence du marché libre, dont il semble penser que cela signifie la concurrence à tout prix. Il fait valoir que l’idéal allemand d’avoir un niveau de vie élevé est dérivé de leur volonté de se mesurer eux-mêmes aux normes américaines. L’interview se surpasse dans une comparaison entre l’obsession allemande pour des normes de vie élevées, le début du fascisme et la conception américaine des normes sociales élevées d’aujourd’hui.
Ostensiblement, ce qui se cache derrière cette rhétorique est que les niveaux de vie élevés mènent au totalitarisme et aux holocaustes.
Le coup de massue final de la discussion tourne autour de l’idée majeure que les conquêtes de l’État pour les ressources, ainsi que le réchauffement climatique, sont les tremplins d’aujourd’hui pour de nouvelles guerres, des immigrations de masse et des génocides. Snyder relie directement la philosophie génocidaire d’Hitler à la conquête des ressources et à son refus de prendre en compte la science comme un avertissement ou une solution. Snyder relie cela à la panique écologique, l’affirmation selon laquelle un manque de gestion des ressources conduit, en pratique, à des processus de pensée amoraux et génocidaires. Il suggère que le réchauffement climatique est un nouveau catalyseur pour une panique écologique et que les États-Unis et une grande partie du monde y plongent à corps perdu dans le même schéma que l’Allemagne nazie, par appât du gain autour des ressources et un refus de reconnaître la sagesse de la science climatique.
Donc, si vous vous demandez où se trouve la source originelle de l’argument selon lequel les climato-sceptiques sont des négationnistes, ce genre de pensée vient de là.
Snyder construit un récit de relativisme moral dans lequel les gens ne peuvent pas être sauvés par une illumination ou une boussole morale parce que, selon lui (et je paraphrase), la crise des ressources supprime toute morale de situation et transforme les gens en monstres, automatiquement. Ceci est encore une autre tentative élitiste pour réduire à néant le facteur de la conscience innée de l’individu et pour justifier le contrôle collectiviste de l’environnement pour façonner la société [en centralisant dans les mains des élites la gestion et l’allocation des ressources, NdT].
Pour quelqu’un qui prétend que comprendre l’histoire exige de «déconstruire les choses que nous pensons savoir, implantées dans nos esprits par une lecture nationaliste de l’histoire», Snyder assène une régurgitation abstraite plutôt ridicule des mythes grand public avec beaucoup de vent dans ses informations.
Tout d’abord, comme indiqué ci-dessus, la thèse principale de Snyder tombe en morceaux si l’idéologie du réchauffement climatique d’origine humaine est un mensonge, un mensonge généré par de fausses données fournies par les scientifiques du climat qui gardent les données brutes et réelles pour eux-mêmes comme une sorte de connaissance occulte.
Deuxièmement, le véritable marché libre n’existait pas en Allemagne pendant la Grande Dépression ou la Seconde Guerre mondiale ; et il n’existe certainement pas dans l’Amérique d’aujourd’hui. Je suis un peu fatigué des socialistes et des mondialistes blâmant constamment le marchés libre pour les problèmes qu’il aurait créés.
Troisièmement, Snyder, comme Casti de la Rand Corporation, bat largement des records historiques quand il en vient aux influences des internationalistes dans la création de catastrophes ou de gouvernements totalitaires comme le Troisième Reich. Je vous suggère fortement ainsi qu’à toute personne intéressée par l’histoire réelle du parti nazi de lire les œuvres bien documentées d’Antony Sutton, y compris «Wall Street et la montée de Hitler».
Tout en essayant toujours de connecter les fantaisies d’Hitler et ses tendances génocidaires à son admiration pour l’histoire américaine, Snyder ignore complètement le fait que les idées d’Hitler sur le génocide ont été directement influencées par la philosophie de l’eugénisme, une philosophie qui a été lancée par les élites mondialistes, comme les Rockefeller aux États-Unis, dans les années 1900, ces mêmes élites qui ont financé plus tard, l’infrastructure nazie. La course aux ressources et la panique écologique avaient peu ou pas à voir avec l’eugénisme en arrière-plan de la pensée d’Hitler.
Il est documenté que le succès d’ISIS en Syrie et en Irak est du à l’appui ouvertement admis des agences gouvernementales secrètes, y compris les agences américaines, attachées aux intérêts internationalistes, et n’est pas dû au réchauffement climatique, ce qui est peut-être la plus folle théorie de mise en parallèle historique dont j’ai jamais entendu parler.
Ce que nous avons ici dans cette pièce montée du CFR est une rationalisation soigneusement conçue par les mondialistes. Regardons cela de cette façon : si la panique écologique est le déclencheur primaire de l’effondrement, des guerres et de la mort de la société industrialisée, les élites peuvent échapper à tout blâme. Ce sont eux, après tout, qui essaient de nous sauver de nous-mêmes par l’introduction du contrôle des émissions de carbone, pour ne pas mentionner l’idée de contrôle de la population.
Le réchauffement climatique devient un épouvantail fourre-tout , une monstruosité de type Frankenstein créée par l’humanité et se retournant contre elle. Ceux qui nient l’existence du réchauffement climatique ou qui remettent en question la légitimité de ses grands prêtres (les scientifiques du climat) n’exercent pas leur droit au scepticisme ; ils contribuent au génocide inévitable. Par conséquent, le déni climatique devrait être puni par les gouvernements, comme les scientifiques du climat l’ont laissé entendre publiquement.
Le changement climatique et le monde de Snyder avec sa panique écologique devraient naturellement faciliter le développement du contrôle des populations et un eugénisme institutionnalisé. Je ne sais pas si Snyder est conscient de l’ironie de son idéologie qui est en fait plus étroitement liée à l’idéologie de Hitler que le marché libre ne le sera jamais. Étant membre du CFR, je soupçonne qu’il en est conscient.
Si vous voulez savoir pourquoi les internationalistes et les collectivistes sont à l’origine de l’agenda autour du changement climatique dans le monde, malgré une opposition considérable et les incidences très médiatisées des fraudes exposées par les scientifiques du climat, il faut considérer l’enjeu de la partie. Si le changement climatique et la panique écologique deviennent des vérités enracinées au sein de notre cadre social, littéralement toute horreur pourra être justifiée.
Enfermés dans cette panique écologique, les êtres humains devront appliquer le darwinisme social pour survivre. Les rationalisations amorales devront prévaloir. Les pseudo-scientifiques et les élites deviendront les pourvoyeurs de vie et de mort, de la prospérité et de la pauvreté. Cette classe élitiste aura toute liberté, donnée par la puissance de la foi aveugle plutôt que par des données réelles, pour leur permettre de décider de tous les aspects de votre existence, de l’allocation des ressources, de la production, du travail, de ce qui concerne la naissance et l’éducation des enfants, la durée de vie d’une personne et l’accès aux soins. Le mondialisme, s’il peut se développer au nom de la défense du climat, deviendra le culte le plus omniprésent et le plus puissant de l’histoire.
Brandon Smith
Traduit par Hervé, édité par jj, relu par Literato pour le Saker Francophone