Il rend presque impossible toute discussion sérieuse sur la géopolitique et l’histoire russes
Par Charles Bausman – Le 15 janvier 2018 – Source Russia Insider
Introduction
La plupart des gens savent qu’il est strictement interdit de critiquer « les juifs » en tant que groupe dans les médias. Mais peu de gens sont prêts à dénoncer ce tabou. Il est interdit de critiquer un petit sous-ensemble de juifs, un minuscule pourcentage de la population juive, même lorsqu’ils le méritent pleinement.
Voilà un principe étrange pour les médias, dont l’objectif est d’établir la vérité. Par conséquent, je tiens à expliquer que dorénavant, les pages de Russia Insider seront ouvertes à tout article qui traite équitablement et honnêtement de l’influence des élites juives, y compris lorsque celle-ci est malveillante (ce qui est souvent le cas), et qui essaie de la comprendre et de l’expliquer, sans animosité envers quiconque.
Je suis désormais convaincu qu’à moins de lever ce tabou, la catastrophe humaine mondiale qui se prépare est inévitable. Des millions de personnes sont mortes ces trente dernières années. Si nous voulons inverser cette tendance et éviter le cataclysme géopolitique qui approche inexorablement, nous devons être capables de critiquer les responsables en toute liberté. Il est clair pour moi, et je suis loin d’être le seul à le penser, que les responsables sont les groupes de pression juifs, notamment dans les médias.
En tant que rédacteur, je constate que si l’on s’interdit d’aborder cet enjeu crucial, une grande partie de ce qui s’écrit en géopolitique, aussi admirables que soient ces écrits sous d’autres aspects, perd toute pertinence.
Je suis un nouveau venu dans le monde des médias. Il y a trois ans, j’ai été parachuté dans le rôle de propriétaire, éditeur et rédacteur de cette publication assez populaire. Nous recevons environ 10 millions de visiteurs par mois, toutes plateformes confondues. Notre public est particulièrement cultivé, et nous sommes largement suivis par ce qu’on appelle les « faiseurs d’opinions ». Nous nous sommes imposés en peu de temps, et nous l’avons fait en disant ce que les autres refusent de dire. Beaucoup de sujets dont nous avons été les premiers à parler sont désormais diffusés dans les médias mainstream.
Russia Insider est un phénomène populaire ressemblant par moment aussi bien à un mouvement politique qu’à une publication. Nous existons uniquement grâce aux petits dons des lecteurs. Nous n’obtenons aucun financement de la part de gros donateurs, sans parler des gouvernements, des fondations ou autres groupes organisés. Notre don moyen est de 30 $, et notre don le plus important de l’année dernière était de 5 000 $. Nous avons recueilli environ 80 000 $ l’année dernière. Notre indépendance nous permet de publier à peu près tout ce que nous voulons. Peu de publications peuvent en dire autant, même dans l’espace des médias alternatifs, qui sont majoritairement redevables à de gros donateurs.
Notre modeste Russia Insider a beaucoup fait pour éclairer les gens sur la façon dont les médias influencent l’opinion publique par leur traitement biaisé ou leur occultation de certains sujets. Mais nous avons jusqu’à présent relativement respecté le tabou juif. Il est temps maintenant d’y mettre fin.
Les euphémismes
Certains essayent de contourner l’interdit par des euphémismes. On en invente constamment, c’est la nouvelle mode dans les médias alternatifs. On entend beaucoup parler de « sionistes », « élites », « élites cosmopolites », « cosmopolites », « néoconservateurs », « interventionnistes libéraux », « partis de la guerre », « lobby israélien », « État profond », « banquiers », « nouvel ordre mondial » (à vrai dire, je n’ai jamais compris ce que c’était), « Bilderbergers » — on dirait le nom d’un gentil monsieur tout droit sorti d’un conte de fées d’Europe centrale. Mon ami le Saker aime bien « Anglosionistes ».
Mais aucun de ces termes ne fonctionne, n’est-ce pas ? Ils ne font qu’obscurcir la question en renforçant la supercherie inhérente au tabou.
Sionistes ? Vraiment ? Je n’ai jamais entendu qui que ce soit se présenter de cette façon. Personne ne dit jamais : « Connaissez-vous Max ? C’est un sioniste enthousiaste ! » Je n’ai jamais vu ce terme mentionné comme centre d’intérêt dans un profil sur les réseaux sociaux (peut-être que Facebook devrait l’inclure comme émoticône). Peut-être que Rachel Madow est une sioniste, je n’en sais rien. Mais d’après ce que j’ai compris, le sionisme était un mouvement politique qui a perdu de son actualité dès que l’État d’Israël s’est mis en place. Élites ? Eh bien non, je pense que de nombreux juifs sont des élites, mais il y en a beaucoup plus qui ne le sont pas. En outre, un plus grand nombre de non-juifs sont des élites. Alors non, ça ne fonctionne pas. Bref, vous avez compris l’idée. Ces tentatives pour essayer de passer entre les mailles des censeurs ultra-zélés ne servent qu’à entretenir la confusion et la tromperie.
Non, le seul trait commun des gens dont nous voulons parler, c’est leur héritage juif. Certains sont libéraux, d’autres conservateurs. Certains sont religieux, d’autres non. Certains ont un héritage juif mixte, d’autres pas. Certains sont concernés par Israël, d’autres pas. Certains soutiennent Israël, d’autres le critiquent. Ce sont des politiciens, des journalistes, des universitaires, des comédiens, des acteurs ou des hommes d’affaires. Certains viennent de l’Europe de l’Ouest, d’autres de l’Europe de l’Est, et d’autres du Moyen-Orient.
L’hostilité envers la Russie de Poutine est surtout un phénomène juif
La mission de Russia Insider est d’expliquer et de décrire la Russie et son rôle dans le monde. Dès que vous commencez à explorer les rapports historiques entre les autres nations et la Russie, il devient évident que l’hostilité exagérée envers la Russie de Poutine, notamment en provenance des États-Unis et du Royaume Uni, est un phénomène essentiellement juif, et ce, depuis des siècles. Oui, « juif » est bel et bien le mot qui convient le mieux, contrairement aux nombreux euphémismes fréquemment utilisés.
Dans les médias, les journalistes anti-Russes les plus hargneux et les plus obsédés sont surtout juifs. Les publications qui encouragent ces journalistes le plus vigoureusement appartiennent TOUTES à des juifs, et en tant qu’éditeur, je suis bien placé pour savoir qu’ils sont les seuls responsables.
Pour ce qui a trait à la politique, le mouvement néoconservateur, l’ennemi le plus farouche de la Russie, a été conçu par des juifs, est dirigé par des juifs et est composé de juifs. Et leur capacité de nuire va bien au-delà de la Russie (ils sont en effet responsables de la terrible débâcle des États-Unis au Moyen-Orient depuis les vingt dernières années) où leurs crimes ont été contrecarrés par un pays en particulier : la Russie. Récemment, c’est le lobby israélien qui a fait nommer les anti-Russes psychotiques Nikki Haley et Samantha Power au poste d’ambassadrice à l’ONU ; elles ont reçu un mandat indépendant, en d’autres mots, elles ne répondent pas à leur président, mais plutôt à leurs commanditaires juifs.
Au Congrès, les principaux déclamateurs du « Russiagate » sont visiblement juifs — Schiff, Schumer, Cardin, Blumenthal, Franken (mais ils sont moins nombreux au Congrès que dans les médias). Le lobby israélien fait appliquer de routine des lois hostiles à la Russie. Bill Browder, avec ses sanctions Magnitsky, est juif.
Les médias
Mais parlons des médias — car c’est là que se situe le véritable pouvoir. En matière d’influence politique, tous les autres leviers de commande du gouvernement font pâle figure en comparaison.
Les deux journaux les plus influents du pays, le New York Times et le Washington Post, dont les propriétaires, les rédacteurs et les employeurs sont juifs jusqu’au bout des ongles, livrent à la Russie de Poutine un véritable djihad ; ils sont coupables de la plus grotesque malhonnêteté que l’on peut imaginer en pratique journalistique. Ces écrits sont exhaustivement analysés par un des vétérans journalistes les plus admirés et crédibles en Amérique, Robert Parry, récipiendaire entre autres du prix Polk. (Vous pouvez voir ici une archive de son travail critique extraordinaire sur ces deux publications relativement à la Russie). Trump et ses sympathisants s’insurgent contre les mensonges continuellement colportés sur son compte par ces deux quotidiens, aussi bien pendant qu’après son élection. Ils font la même chose pour Poutine et la Russie depuis maintenant plus de 18 ans et ils sont encore plus malhonnêtes sur ce sujet.
La chaîne télévisée PBS, malgré l’image de respectabilité qu’elle se donne avec la diffusion de Masterpiece Theater et autres séries culturelles, dépend totalement des dons de juifs fortunés. À l’instar de ces starlettes goys qui couchent avec Harvey Weinstein pour avoir un rôle, cette chaîne de télévision, qui s’est mise au service de ses donateurs, produit un flot incessant de la plus ridicule propagande anti-Poutine qui soit. Ce serait presque amusant si cette propagande n’était pas aussi efficace auprès des riches Américains grisonnants qui habitent les grandes villes côtières comme New York et Los Angeles. CNN, une entreprise profondément juive, a fait de la promotion du « Russiagate » une véritable religion, au point de nuire considérablement à sa propre image.
Rachel Madow, la plus influente et la plus populaire animatrice d’émission politique libérale de la nation, est juive. À force de diaboliser à outrance la Russie et de faire la promotion du « Russiagate », elle est devenue une figure de dérision. C’est la même chose du côté de la presse écrite. Parmi ceux qui hurlent le plus fort, on trouve surtout des juifs, notamment de sexe féminin — il y a dans cette constatation une importante leçon à tirer —, Masha Gessen, Anne Applebaum et Julia Loffe, pour n’en nommer que quelques-unes.
Les hommes hurlent aussi : David Remnick, David Frum, Bill Kristol, Charles Krauthammer. Même les journaux satiriques détestent la Russie : John Oliver, Jon Stewart, Bill Maher (tous des juifs). Ils font des efforts surhumains pour faire croire aux Américains que la Russie de Poutine est littéralement « hitlérienne » (le terme est régulièrement employé).
Les revues intellectuelles appartenant à des juifs ont aussi mené l’attaque contre Poutine : le New Yorker de Newhouse, le New York Review of Books (la direction de ce vénérable magazine est obsédée par la question). Dans le cadre d’une campagne massive de diabolisation de la Russie et de Poutine, The New Republic, Newsweek, The Atlantic et la revue The Economist, appartenant aux Rothschild, fabriquent à la chaîne toutes sortes d’histoires qui ne sont qu’un tissu de mensonges.
Timothy Snyder, l’historien de Yale, et Michael Weiss, le fougueux néocon dont le site internet, The Interpreter, est financé par l’oligarque juif exilé Mikhail Khodorkovsky, sont deux autres personnages éminents impliqués dans ce phénomène.
The Economist mérite une mention spéciale avec Ed Lucas qui menait l’attaque à un certain moment (il est le petit-neveu de Charles Portal, le chef d’état-major aérien durant la Deuxième Guerre mondiale, prétendument juif. Portal était un promoteur acharné des bombardements incendiaires et est considéré comme responsable de la destruction de la ville de Dresde). Je suppose qu’avoir dans sa famille un criminel de guerre dispense de jamais avoir à s’excuser. Les écrits de Ben Judah et de son père, Tim, sont tout aussi virulents.
Mais attirer l’attention vers tous ces gens, voire chercher s’il n’y a pas dans leur judéité quelque chose qui les rend hostiles à la Russie, est tout simplement verboten [interdit, en allemand, NdSF]. Inévitablement, lorsque je signale ce déséquilibre ethnique, les gens disent : « Que faites-vous du grand nombre de juifs qui critiquent l’hostilité envers la Russie ? » Le très respecté Glenn Greenwald est un exemple notoire, et il y en a beaucoup d’autres. La réponse est que l’exception à une tendance ne la réfute pas, mais peut simplement servir à la masquer.
Une violation de facto de la liberté d’expression
À vrai dire, dans une nation qui se vante d’avoir garanti la liberté d’expression dans son crédo national, et qui du haut de son piédestal fait constamment la morale aux autres, la parole sur ce sujet crucial n’est pas réellement libre. Ce fait représente une situation très dangereuse. Certes, je ne serai pas jeté en prison pour avoir écrit cet article, mais le tabou fonctionne comme une malédiction jetée sur quiconque aborde le sujet, garantissant ainsi de l’exclure de la discussion publique. Pourquoi avoir des lois répressives lorsqu’on peut inciter les gens à se censurer eux-mêmes ? En Allemagne, la puissance dominante de l’Europe, de même que dans d’autres pays européens, cet article pourrait me valoir la prison — une autre pensée choquante, pour le fils de l’Allemagne que je suis.
La domination juive dans le phénomène de la russophobie va bien au-delà de ce que je peux exprimer en quelques courts paragraphes, et si quelqu’un veut bien s’atteler à la tâche de façon plus systématique, je serais très heureux de le publier.
L’interdiction d’examiner honnêtement l’histoire russe
L’un des aspects les plus spectaculaires du tabou est la manière dont il blanchit l’un des événements les plus extraordinaires de l’histoire de l’humanité, la Révolution russe.
De nombreux Russes blancs fuyant la révolution estimaient qu’il s’agissait essentiellement d’un coup d’État juif, financé par de riches banquiers de New York et de Londres qui étaient des ennemis jurés du tsarisme chrétien. Il y a tout lieu de penser qu’ils avaient raison. Selon cette version des choses, la terreur qui s’est abattue sur la Russie durant la guerre civile et qui s’est prolongée jusqu’au milieu des années Staline, puisque celui-ci ne pouvait pas non plus la contrôler, était une terreur juive. Cela est confirmé par le simple fait qu’une large proportion de chefs bolchéviques étaient juifs, notamment Trotski. De nombreuses autres personnalités d’une monstrueuse perversité, surtout dans la police secrète qui a tant terrorisé le peuple russe, étaient également juives.
Henry Ford était fortement influencé par cette version de l’histoire, qu’il a entendue de la bouche des immigrants russes, et cela n’a fait qu’aggraver son antisémitisme. Les historiens libéraux traditionnels ont en outre démontré sans équivoque que l’antisémitisme du mouvement national-socialiste allemand s’est radicalisé sous l’influence de ce point de vue historique, véhiculé par un afflux de Russes blancs réfugiés en Europe. Mais on n’entend jamais cette version des choses dans les articles d’histoires publiés dans les médias généralistes, même pas pour le démentir, sous prétexte que cela pourrait froisser certaines susceptibilités.
Tout ceci a des répercussions jusqu’à ce jour. L’antisémitisme virulent et enraciné de l’Ukraine d’aujourd’hui est l’héritier direct de cette mémoire des Russes blancs. Cela s’explique par le fait que les nazis avaient depuis longtemps des programmes de subversion que leurs alliés du mouvement russe-blanc avaient kis en place en Ukraine et dans les pays baltes, des régions fortement peuplées par des ethnies allemandes. Les famines des années 1930 ont aggravé ce sentiment. Or, lorsque Hitler a envahi la Russie, ce travail de sape a porté ses fruits ; l’Ukraine de l’Ouest qui l’a accueilli à bras ouverts s’est battue avec ses armées, tout comme beaucoup de pays baltes. Après la guerre, les services secrets allemands, en échange de clémence, ont livré ce réseau à la CIA, qui a continué le programme de déstabilisation de la Russie. Ces programmes, qui bénéficiaient d’un soutien financier et institutionnel important, ont continué durant toute la guerre froide jusqu’à ce jour.
Ce qui est arrivé en Ukraine en 2014 puise ses origines un siècle en arrière. Ces événements sont inextricablement liés à l’origine juive présumée de la Révolution russe. Pourtant, alors les événements de 2014 ont fait couler beaucoup d’encre, leur toile de fond est presque totalement occultée, y compris dans les médias alternatifs (et je suis bien placé pour le savoir). Tel est l’envergure et l’effet dévastateur du tabou juif.
L’énormité de cette omission dépasse l’entendement. La souffrance du peuple russe durant les décennies qui ont suivi la révolution était terrible, et sur ce point, le consensus est loin d’être établi. Les révisionnistes modernes affirment que la révolution et ses retombées ont fait peut-être deux millions de morts, d’autres disent que les victimes se chiffrent par dizaines de millions de morts. Et il ne s’agit pas uniquement des chiffres, mais de la manière employée : familles déchirées, pères enlevés en plein milieu de la nuit, églises dynamitées, prêtres torturés et soumis à des meurtres rituels, innocents roués de coups pour obtenir de fausses confessions, exécutions sommaires sans procès, institution d’une culture de délation, des millions de personnes envoyées dans des camps de travail ; bref, une nation maintenue dans la terreur durant des décennies, traumatisée jusqu’à ce jour. S’il y a matière à soupçonner que tout cela était essentiellement un pogrom juif contre les Russes ethniques, cela mérite tout de même un débat public.
Mais non, il semble que les gens estiment plus important de respecter le tabou.
Nous essayons à Russia Insider de donner de la visibilité à cette version des choses, qui mérite d’après moi d’être entendue. Je ne suis pas suffisamment expert pour garantir qu’elle est correcte, car le tabou est tellement efficace qu’on trouve peu d’informations de qualité. Mais il existe sur ce sujet un corpus substantiel de documents en russe, la plupart écrits depuis la chute du communisme — contrairement à l’Occident, en Russie, le sujet est largement discuté. Le gros du travail a donc déjà été fait, il a tout simplement besoin d’être traduit.
Les meilleurs journalistes des médias alternatifs sont neutralisés
Une des choses que nous faisons à Russia Insider est de chercher dans les médias alternatifs ce que nous pensons être les meilleurs articles sur la Russie, et nous les republions en mettant un lien vers l’original. Nous gardons aussi un œil sur ce que nous pensons être les articles les plus malhonnêtes, et nous les critiquons. C’est cette vue panoramique des auteurs et des publications qui me permet de détecter le caractère essentiellement juif de l’hostilité à la Russie. Cette hostilité qui peut sembler anecdotique au lecteur moyen est, je vous l’assure, beaucoup plus prononcée que les gens ne le pensent. Cela saute aux yeux, lorsque vous lisez, répertoriez et critiquez cette rivière de pensée huit heures par jour.
Je suis néanmoins tout aussi souvent agréablement surpris par les écrits de qualité sur la Russie, dans les médias alternatifs de gauche, de droite ou du centre, produits par des personnes remarquables, principalement sur la géopolitique. La stature intellectuelle et l’érudition de ces auteurs sont impressionnantes. En puisant dans cette richesse, nous publions sur des sujets liés à la Russie une analyse plus profonde et plus complète que celle des organisations de presse ayant 20 fois notre budget.
Certains de ces hommes sont de véritables héros, ils disent la vérité aux puissants, se battent contre un système ayant horriblement mal tourné, ils sont courageux et désintéressés, ils sacrifient souvent à leur cause leur carrière et leur bien-être. Mais il y a une ligne rouge qu’ils ne traversent jamais : le tabou juif.
La majeure partie de ce qui s’écrit sur la Russie est mensongère
Hélas, une grande partie de ce qu’ils écrivent est dénué de sens et équivaut presque à une faute professionnelle, car la volonté juive de pousser à une confrontation avec la Russie est de loin le facteur le plus significatif. Exclure le facteur juif d’une discussion sur la géopolitique équivaut à ignorer l’éléphant dans la pièce — non pas celui dans le coin, mais celui qui danse une Mazurka au beau milieu de la pièce. N’oublions pas qu’une omission volontaire est une sorte de mensonge, reconnue comme telle par les tribunaux.
L’omission est trompeuse et une source de confusion sans fin, parce qu’elle incite les auteurs à porter le blâme au mauvais endroit. La liste des coupables est interminable : si ce ne sont pas les démocrates, ce sont les libéraux, parfois c’est « l’Amérique » ou « les Américains », ou c’est Trump, ou Obama, ou Hillary, ou Rex Tillerson, ou John McCain, ou le complexe militaro-industriel, l’État profond, les services secrets, et ainsi de suite. Oui, ces individus sont complices (sauf l’Amérique, car il est ridicule de croire que nous, les 350 millions d’âmes de ce pays, sommes d’accord sur quoi que ce soit), mais leur lâche trahison n’est pas le facteur le plus important. Non, ce sont plutôt les juifs tout-puissants dans la politique américaine et les médias qui les tiennent par le bout du nez.
Une leçon de pertinence de la part de la droite alternative
La droite alternative produit beaucoup de bons textes sur les relations avec la Russie et les russes ; ces écrits sont en général parfaitement exacts. Nous suivons ces médias alternatifs et republions occasionnellement leurs articles. Ils sont invariablement populaires sur Russia Insider, parce qu’ils offrent un point de vue inédit et parlent d’enjeux extrêmement importants que les autres médias refusent d’aborder.
La droite alternative est un mouvement de jeunes. Ses dirigeants ont pour la plupart la trentaine et la base, qui est estimée en dizaines de millions, semble surtout composée de gens ayant entre 15 ans et 25 ans. Une grande partie de la droite alternative a complètement abandonné ce tabou et prend plaisir à l’enfreindre, voire à le fouler aux pieds, comme c’est en général la coutume chez les jeunes lorsqu’il s’agit des conventions les plus fastidieuses et absurdes de notre époque.
Par principe, je pense que les jeunes ont un rôle positif lorsqu’ils questionnent ce que disent les vieux. Ils font un peu bouger les choses en les forçant à remettre en question leurs certitudes. Ce n’est pas un hasard si dans le conte pour enfants Les Habits neufs de l’Empereur, c’est un enfant qui voit que le roi est nu, ce que les adultes refusent de voir pour ne pas nuire à leur confort matériel. Signaler les effets pernicieux de l’influence de certaines élites juives sur de nombreux aspects de la société et de la politique américaines et européennes, comme le fait la droite alternative, aide beaucoup à comprendre comment fonctionne vraiment la politique.
Si vous avez des doutes, je vous recommande d’écouter quelques épisodes des podcasts les plus populaires de la droite alternative, comme Fash the Nation ou celui de Richard Spencer avec Alt-Right Politics, tous les deux facilement accessibles avec un smartphone. Les animateurs de Fash the Nation, deux mordus de la politique d’environ trente ans et habitant au centre de Washington, parlent de politique chaque semaine pendant quelques heures. Dans leurs analyses, lorsqu’elles sont pertinentes et non-exagérées, ils signalent lorsque des intérêts juifs sont en jeu, lorsque les politiciens, journalistes, lobbyistes, éditeurs, publications, fondations ou leurs donateurs, alliés, époux et commanditaires, sont juifs. La bande de Alt-Right Politics fait la même chose. Grâce à eux, il est devenu clair que l’occultation de ce fait nuit à toute discussion sérieuse.
(Pour Fash the Nation, je recommande les épisodes avec Marcus Halberstram, comme celui-ci et pour Alt-Right Politics, la revue de l’année était très bonne. Les animateurs de Flash the Nation sont vulgaires, ce qui hélas nuit à leur crédibilité, mais ne vous laissez pas décourager par cet aspect, mettez cela sur le compte de l’enthousiasme débordant de la jeunesse, ils méritent d’être écoutés.)
En brisant ce tabou, la droite alternative se fait pertinente, tandis que ceux qui s’y accrochent deviennent de moins en moins pertinents. Un tabou ne fonctionne que si tout le monde le respecte. Si un nombre assez important de gens l’ignore, tous les autres se décrédibilisent. Les libéraux (gauchistes) sont très embarrassés par la droite alternative. En refusant de discuter ouvertement et équitablement de l’influence juive, ils leur donnent un avantage compétitif important.
La droite alternative rend un grand service à la société en traitant d’un enjeu qui nécessite de la lumière, et en fournissant un écosystème de sites internet et de podcasts où les auteurs peuvent être publiés et critiqués et où les points de vue peuvent être argumentés de long en large. Le gros de la discussion sur l’influence juive dans la droite alternative est très académique, équitable et équilibré, citons par exemple le travail de Kevin MacDonald et de son site The Occidental Oberver ou de Michael Hoffman.
Je crois que la droite alternative continuera à gagner de l’influence, tout simplement parce qu’elle discute intelligemment de deux vaches sacrées — la question juive, et, étroitement liée à ce sujet, la question du multiculturalisme. Tant qu’ils se focalisent sur ces deux sujets cruciaux, ils continueront de prendre de l’importance.
Sans animosité envers quiconque
Un autre effet pernicieux des tabous est qu’ils peuvent déclencher des explosions de colère. Lorsque des problèmes ne sont pas abordés, ils tendent à s’envenimer et à se détériorer, au point de devenir intolérables et de déclencher une réaction soudaine et violente. On peut observer cette dynamique lorsqu’on discute publiquement de l‘influence malfaisante des élites juives. Certains, lorsqu’ils s’aperçoivent enfin de son envergure et des dommages occasionnés, après avoir été trompés par des gens qu’ils admiraient et en qui ils avaient confiance, explosent sous l’emprise de la colère — une réaction fréquente lorsqu’on s’aperçoit qu’on a été dupé sur quelque chose d’essentiel. Je pense que ceci est une autre raison pour se débarrasser de ce tabou aussi tôt que possible : il ne fait qu’aggraver le problème.
De toute évidence, il faut s’efforcer d’avoir cette discussion sans ressentir de haine ou de colère envers les juifs en général. Les juifs responsables, ceux qui sont au pinacle du pouvoir politique et médiatique, sont de fait un petit groupe. Toute personne ayant grandi avec des juifs et les connaissant, comme moi, sait qu’ils sont fondamentalement respectables, comme tout le monde. Ce sont leurs élites qui sont, pour une raison ou pour une autre, manifestement malveillantes, et cela doit être traité publiquement, notamment par les juifs eux-mêmes. Je demande que l’on critique les élites qui ont donné à leur nation une si mauvaise réputation, et qu’on essaye de comprendre pourquoi ce schème se répète au cours de l’histoire.
Le problème s’étend à tous les secteurs de la vie publique
Les scandales sexuels qui font actuellement les manchettes semblent souligner le phénomène. Partout, de Hollywood à la télévision en passant par les médias généralistes et Washington, les pauvres bougres décriés par la foule en furie ont tendance à faire partie d’une certaine ethnie, sans parler des acteurs principaux du monde du spectacle. Or, malgré tout ce qui peut se dire sur ce drame, personne, en dehors de la droite alternative, ne mentionne ce fait évident, car c’est impoli.
Le problème semble survenir lorsque des juifs se retrouvent dans des positions influentes, c’est-à-dire lorsqu’ils se joignent aux redoutables « élites ». Pour une raison ou une autre, quelles que soient leurs allégeances politiques ou autres particularités, ils commencent à faire des bêtises, et quelque chose dérape sérieusement. Peut-être que les institutions juives puissantes — les médias, les banques, les studios de cinéma, l’industrie de la musique, etc. — sont entre les mains de dégénérés qui exigent comme prix d’entrée à leurs postulants qu’ils se conduisent mal, et que leur mauvaise conduite empire une fois qu’ils sont entrés. Je ne sais vraiment pas, mais de toute évidence, la question demande à être examinée. Les faits suggèrent en effet qu’une grande partie des entreprises humaines dominées et façonnées par les juifs sont des puits sans fond de problèmes avec un penchant particulier pour la tromperie et le cynisme, l’hostilité envers la chrétienté et les valeurs chrétiennes, et en géopolitique, la soif de sang sans retenue.
Hollywood et les téléfilms ? Une industrie complètement dominée par les juifs, et une spirale sans âme de décadence et de cynisme qui ne fait qu’empirer d’année en année. Les marchés financiers ? Idem : regardez les films Le Casse du siècle, ou Le Loup de Wall Street, pour voir une illustration particulièrement éclatante. La musique pop et le cauchemar du rap ? Idem. L’État d’Israël et son traitement des Palestiniens ? La même chose. La politique étrangère américaine ? Un véritable désastre qui s’est traduit au cours des trente dernières années par des millions d’ « assassinats » et le gaspillage de trillions de dollars.
Et je pense que le mot « assassinat » est le mot juste : si vous demandiez aux familles des quelques deux millions d’Irakiens, de Libyens, de Syriens, de Yéménites, d’Ukrainiens de l’Est ou de Serbes qui sont morts dans les guerres de la politique étrangère états-unienne, largement dictée par les juifs ces dernières décennies, elles seraient tous d’accord avec moi à ce propos.
Dans chacun de ces cas, on voit une tendance vers la malhonnêteté. D’ailleurs, tout le phénomène des « Fake News » est fondamentalement juif. Ce sont les médias Américains et Européens appartenant aux juifs qui publient à la chaîne une quantité stupéfiante de ce qu’on ne peut qualifier que de mensonges.
Nous avons besoin de recherches et d’analyses sérieuses
De fait, 1900 ans après que les tribus hébraïques furent dispersées aux quatre vents par les Romains exaspérés, la « question juive » constitue toujours un problème important, compliqué et non résolu. Et, de nos jours, elle se manifeste par une nouvelle crise. Je peux en parler en connaissance de cause : il s’agit de la politique étrangère de l’Occident envers la Russie. Or, l’influence juive sur cette question fait peser une funeste menace pour la planète entière. Je suis sûr que les experts de la politique du Moyen-Orient approuveraient dans les grandes lignes.
Des études et des recherches approfondies sont nécessaires pour faire la lumière sur cette tragédie, qui touche aussi bien les juifs que les gentils. Quelques auteurs ont fait des percées importantes, comme Kevin MacDonald, mais on doit en faire beaucoup plus pour comprendre le problème.
Dans son livre, Judaism’s Strange Gods (Les Dieux étranges du judaïsme), Michael Hoffman, un auteur fort crédible, prétend que c’est le judaïsme moderne qui pose problème. Celui-ci aurait été détourné de son véritable sens par différentes sectes juives, comme les pharisiens de l’ère du Nouveau Testament, et inspirerait parmi les élites un comportement misanthrope. J’ignore si c’est vrai, mais ce genre d’enquête est nécessaire si nous voulons comprendre ce bordel, comme dirait notre président.
Peu d’espoir dans les médias alternatifs existants
Je sais qu’un grand nombre d’auteurs et de rédacteurs des médias alternatifs et du mouvement alternatif « modéré » (Alt-Right), sont d’accord en principe avec ce que j’ai écrit dans cet article, mais nous ne devrions pas nous attendre à ce que beaucoup d’entre eux lèvent le tabou. Ils peinent à joindre les deux bouts et travaillent souvent pour trois fois rien ; tout changement de cet ordre dans leur politique éditoriale leur ferait perdre une partie de leur financement (sans parler de leurs meilleurs auteurs), ce qui rendrait leur situation financière intenable. Certains sont redevables à des fondations ou à des gouvernements qui arrêteraient de les soutenir. Le travail intellectuel requis sera réalisé sur les quelques plateformes qui peuvent compter sur leur base de soutien — il s’agit essentiellement de la droite alternative (Alt-Right) ou des publications ayant les reins assez solides comme Russia Insider.
Demande d’articles et de soutien
Certains de mes collègues, du personnel et des chroniqueurs de Russia Insider se sont vivement opposés aux idées qui sont exprimées ici. J’en ai discuté de façon exhaustive avec un grand nombre d’entre eux. Certains des meilleurs auteurs de ce site, de même que certains des critiques les plus éloquents de la politique absurde des Américains envers la Russie, sont juifs. Certains sont d’accord avec moi en privé, mais refusent de s’exprimer sur cette question en public par peur de nuire à leur carrière. D’autres sont en désaccord. Russia Insider dépend beaucoup des contributions de ses lecteurs, et je suppose que cet article va refroidir les ardeurs de certains d’entre eux, mais si vous êtes d’accord avec moi, le moment est idéal pour faire un don.
Notre sujet principal étant la Russie, Russia Insider ne mettra pas exclusivement l’accent sur la discussion du problème juif (et « problème » est le mot juste), mais je suis prêt à donner de l’espace à ce sujet, et pas seulement en rapport avec la Russie. J’invite tous les auteurs, y compris de la droite alternative, à me contacter directement sur charles@russia-insider.com avec des idées d’articles, de propositions ou tout ce que vous voulez. Et, oui, nous publierons des articles utilisant des (((parenthèses))) [code adopté pour signaler la judéité d’une personne ou d’une organisation, NdT].
À mon plus grand regret, nous ne pouvons pas payer les auteurs pour des articles. Si un lecteur de cet article est en mesure de nous aider financièrement pour payer les auteurs de ce sujet important, cela nous aiderait, parce que la rémunération augmente immédiatement la qualité et la profondeur des écrits. Si vous êtes intéressé, veuillez me contacter directement.
Au bout du compte, il m’importe peu que d’autres personnes soient d’accord ou non avec moi à ce propos, que je perde ou que je gagne des auteurs ou des dons, de la fréquentation ou de l’influence, ou que les grandes plateformes de médias en ligne essayent de nous étouffer (ils le font déjà). J’ai lancé ce site à l’automne 2014 afin de dénoncer un crime terrible, un énorme mensonge sur le conflit en Ukraine, mensonge ardemment véhiculé par les médias, surtout par des juifs et dans des publications appartenant à des juifs (Andrew Kramer et le comité de rédaction du New York Times en sont un parfait exemple). Je ne l’identifiais pas encore comme étant un problème juif, mais je savais, sans équivoque, que ce qui était dit était faux. À cette époque, je connaissais relativement peu de chose sur l’influence juive. Mais après trois ans d’immersion dans les analyses politiques et la critique médiatique, elle m’apparaît évidente.
Russia Insider a gagné le respect de ses lecteurs en faisant son possible pour dire la vérité, et en dénonçant la malhonnêteté flagrante dans les médias. Et nous ne sommes pas près d’arrêter.
Avis important (8 mars 2018)
Depuis sa publication, cet article a suscité un véritable tollé. Il a été republié des dizaines de fois aussi bien en russe et en espagnol qu’en anglais, rassemble plus de 350 000 vues, et on a écrit sur son compte plusieurs articles, à la fois favorables et défavorables, dans des proportions à peu près égales. Il continue d’être lu activement. Les quelque 2 000 commentaires qu’il a suscités sont extraordinaires par leur longueur ; ils font des centaines de pages de texte, soit 20 à 30 fois la longueur de l’article en soi. Ils sont par ailleurs favorables à 90 %.
Depuis l’annonce de notre politique éditoriale, nous avons publié environ 40 articles sous notre nouvelle rubrique : La question juive. Cette rubrique a encore une fois généré des centaines de milliers de vues et des milliers de commentaires. Nous avons un important arriéré d’articles que nous publierons au cours des prochains mois — nous avons un stock énorme de matériel de toute première qualité, une quantité bien au-delà de ce que nous pouvons publier.
J’ai été inondé de lettres d’encouragement, de soutien, de dons et de beaucoup de propositions. Merci à tous ! Je suis ravi de constater que tant de gens sont d’accord avec ma décision.
Si vous voulez nous aider : veuillez inscrire votre courriel dans le formulaire ci-dessous. C’est le seul moyen fiable de vous joindre, car nous subissons des attaques de Google, Twitter, Facebook et YouTube. Dans les mois à venir, je ferai appel à nos sympathisants pour recueillir des fonds et de l’aide afin de produire davantage de journalisme de qualité sur la question juive.
Si l’intimidation vous laisse froid, et si vous pensez comme moi qu’il est temps de parler ouvertement de cette question essentielle, alors je vous en prie, inscrivez-vous.
Charles Bausman, auteur de cet article, est rédacteur en chef du site Russia Insider, créé en 2014 pour contrebalancer la propagande américaine russophobe. Cet article, qui inaugure une tribune consacrée à la question juive, a suscité plus de 2000 commentaires et a été repris et traduit sur d’autres sites, cumulant 350 000 vues.
Traduit par Laurent Guyénot
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