… de la Communauté du renseignement et de la police locale !
Par Dr. Steve R. Pieczenik – Le 30 octobre 2016 – Source stevepieczenik.com via Chroniques de la Vieille République
L’Amérique remercie les braves agents spéciaux du FBI qui ont forcé son directeur, James Comey, à réouvrir le dossier de corruption concernant HRC [Hillary Rodham Clinton] !
À présent, le monde est dans tous ses états au sujet de James Comey ré-ouvrant la scandaleuse affaire des courriels de l’ignoble HRC. Comme d’habitude, les médias ont laissé entendre tous les types de raisons pour lesquelles Comey venait de trouver de nouvelles preuves concernant HRC, sur l’ordinateur personnel de Huma Abedin. Oui, le même ordinateur que son mari, l’ex-membre du Congrès Anthony Weiner, avait utilisé pour parler de sexe à une jeune fille de quinze ans de Caroline du Nord 1. Pourtant, la presse et l’équipe pas si brillante de HRC a manqué l’entière dynamique permettant de comprendre cette situation inhabituelle.
Récemment, j’avais en effet fait remarquer que nos braves hommes et femmes de la Communauté du renseignement (CR [Intelligence Community – IC]), en particulier au sein du FBI et de certains services de police hautement qualifiés, avaient forcé James Comey de réouvrir ses investigations sur HRC.
Mes sources m’informent qu’il y a en fait très peu de nouvelles preuves. Qui donc avait besoin de nouvelles preuves, alors qu’il y avait d’ores et déjà une masse de preuves criminelles qui ont été «glissées sous le tapis» ? Il semble bien que quelques honnêtes agents spéciaux du FBI mécontents aient finalement refusé d’accepter les avertissements de Loretta Lynch, pas plus que la capitulation initiale de Comey face aux intimidations de HRC. [Au contraire,] ces agents ont mis en garde à la fois Lynch et Comey qu’ils rendraient publiques toutes les informations qu’ils avaient sur HRC. Y compris les éléments de preuve qui furent délibérément cachés par le ministère de la Justice [DOJ – Department of Justice] sur ordre de Valerie Jarrett et d’Obama.
Ces agents du FBI ont donc été prêts à prendre un risque majeur pour leur carrière et pour leurs vies, en sachant très bien que Comey et Lynch [DOJ] avaient couvert les actions criminelles de Hillary, Bill, Huma Abedin, et du reste de leur équipe hétéroclite. Ces guerriers citoyens resteront anonymes, car ils devront continuer d’opérer au sein du Bureau [fédéral – FBI], afin de s’assurer qu’un travestissement aussi important de la justice, commis par Hillary et ses cohortes, ne puisse jamais se produire à nouveau.
Notre pays est reconnaissant pour le patriotisme de notre CR, du FBI et de la police locale, parce que sans ces rares instances, nous autres Américains, aurions eu à nous battre encore plus durement pour débarrasser notre corps politique des détritus de ces trente dernières années.
Winston Churchill avait traduit cette idée au mieux, lorsqu’il a exprimé la gratitude de l’Angleterre pour ces quelques braves pilotes de chasse britanniques et polonais volant au-dessus de Londres, assurant la protection des citoyens britanniques contre les chasseurs et bombardiers nazis dévastant la ville pendant la Seconde Guerre mondiale : «Jamais tant d’hommes n’auront dû autant à si peu d’entre eux»…
Je vous remercie, agents du FBI, de la CR et de la Police locale ! Les citoyens américains sont reconnaissants pour votre courage contre la tyrannie.
Traduit par Jean-Maxime Corneille
Notes:
- NdT : référence à «Anthony Weiner sent sexually explicit messages to 15-year-old, report says» (Guardian, 22 septembre 2016). «Une proche de Hillary Clinton rattrapée par un scandale» (Le Figaro, 29 août 2016) ↩