Les idées de la gauche ont échoué et ont échoué de manière spectaculaire, et tout ce qui leur reste, c’est la tricherie. – Elizabeth Nickson
Par James Howard Kunstler – Le 21 Octobre 2024 – Source Clusterfuck Nation
Bien sûr, il n’y a pas de « pandémie » cette fois-ci pour couvrir le voyage que le Parti du Chaos veut imposer au pays, pas d’excuse pour les bavures électorales flagrantes et grossières, pour les jours d’incertitude anxieuse qui suivent une élection. Tout le monde et son oncle s’attendent à une gigantesque crise de colère après le 6 novembre si Trump surmonte d’une manière ou d’une autre la marée de faux votes récoltés, de votes d’étrangers illégaux, de votes fantômes à l’étranger, de votes échangés sur les machines à voter, de votes perdus et retrouvés, de radeaux de votes de dernière minute et d’autres produits de la machine de sabotage électoral de Marc Elias.
Je ne suis pas certain que la crise de colère se matérialisera. Malgré l’orgie d’inversions linguistiques orwelliennes à laquelle vous avez été soumis ces dernières années, et la déformation de la réalité qu’elle a induite, vous reconnaîtrez une véritable insurrection si vous la voyez. Vous connaissez déjà la véritable raison pour laquelle le Parti démocrate est devenu fou : sa série de crimes contre les citoyens de ce pays était si évidente et scandaleuse qu’un millier de bureaucrates de la Beltway deviennent maintenant fous de peur d’être poursuivis. La crise de colère que tout le monde s’attend à ce qu’ils provoquent serait une véritable insurrection et ils risquent de se retrouver dans des problèmes encore plus graves pour y avoir eu recours.
La criminalité est la raison même du désespoir des Démocrates. Il n’y a pas eu de « politique » au cours des quatre dernières années, il n’y a eu que des crimes. L’opération Covid était un meurtre de masse. L’ouverture des frontières n’a pas été un simple événement, comme une période de mauvais temps. Il s’agissait d’une opération de racket colossale. Ils ont travaillé dur. « Joe Biden » a payé des dizaines de représentants d’ONG pour faire entrer systématiquement dans le pays plus de dix millions de clandestins douteux, puis pour les soutenir généreusement en leur versant de l’argent une fois qu’ils étaient arrivés.
Les poursuites politiques engagées par le procureur général Merrick Garland sont grossières et contraires à la loi. La censure omniprésente exercée par le DHS et d’autres agences est un affront à notre constitution. La campagne en faveur des transgenres est une farce malveillante à l’encontre des enfants américains (et de leurs parents). Notre CIA pourrait être impliquée dans la crise du fentanyl. La guerre en Ukraine est une tentative ratée d’accaparement des ressources, incroyablement stupide dès le départ. Le Trésor vide de « Joe Biden » écrit des milliers de milliards de reconnaissances de dettes pour renflouer furtivement les banques et gonfler le marché boursier. Tout dans notre gouvernement est devenu criminel et ceux qui en sont responsables savent qu’ils vont devoir rendre des comptes.
L’armée de rue Antifa des Démocrates sera-t-elle autorisée à terroriser les villes ? Je m’attends à ce que les derniers flics qui n’ont pas été licenciés à Washington, New York, Chicago et Los Angeles ne se retiennent pas cette fois-ci, peu importe ce que les maires Muriel Bowser, Eric Adams, Brandon Johnson et Karen Bass leur diront de faire. Vous verrez plutôt le retour de quelque chose qui a manqué pendant des années : un sens du devoir envers la sécurité publique et le bien commun. N’est-ce pas une surprise ? Et le FBI ne pourra rien y faire. C’est une chose de provoquer une émeute parmi une foule de gens ordinaires d’âge moyen qui se promènent autour du Capitole. C’est une autre chose que d’essayer de subvertir la police dans l’exercice de ses fonctions. De nouveaux héros émergeront et il n’y aura aucune ambiguïté sur ce qui se passera.
Black Lives Matter a déjà été démasqué comme étant une arnaque financière de bas étage. Mais le Parti démocrate ne peut plus compter sur ses anciens hommes de terrain de la « plantation » pour organiser une anarchie essentiellement pacifique et des incendies criminels si les élections se déroulent dans le mauvais sens pour les maîtres. Quarante années passées à faire semblant d’être une culture d’opposition n’ont pas fonctionné. En fin de compte, ce n’était que du folklore remis au goût du jour. Trop d’hommes noirs se lèvent pour s’exprimer en faveur de Donald Trump, d’une seule Amérique et d’un comportement d’homme. Ils semblent fatigués de s’auto-stigmatiser comme des victimes désignées dans le psychodrame Wokiste-Jacobin-DEI. Une nouvelle génération de leaders masculins noirs est en train d’émerger pour remplacer les escrocs embarrassants comme Al Sharpton, Michael Eric Dyson et Ibram X. Kendi. Cela fait longtemps qu’on l’attend.
Saurons-nous un jour comment Kamala Harris a été placée là lors de la convention Démocrate comme on vend une voiture d’occasion ? Comment les délégués de base se sont fait escroquer en la nommant par acclamation sans aucun débat, sans que personne ne se lève pour s’opposer, sans que personne ne se soumette au vote ? Cette fois-ci, il n’y a même pas eu de salle enfumée où les patrons ont marchandé pour savoir qui les représenterait, pas une minute de suspense, pas la moindre procédure. Kamala Harris est sortie d’un chapeau, comme un lapin. Et toutes les personnes impliquées savaient qu’elle était nulle, qu’elle apprenait lentement, qu’elle était inattentive, qu’elle n’était pas bien éduquée, qu’elle était paresseuse, qu’elle était peut-être souvent défoncée, qu’elle s’automédicamentait en raison de son anxiété, de son insécurité et de son manque d’objectif.
Il a fallu quatre ans pour qu’un peu plus de la moitié des Américains comprennent que le destin de notre pays est entre les mains de méchants qui font des ravages. Il semble que leurs déprédations soient presque terminées. Les États-Unis n’ont vraiment pas envie de se jeter dans les égouts de l’histoire. Nous ne sommes pas prêts à nous laisser mourir. Nous nous réveillons d’un coma artificiel et commençons à nous rappeler qui nous sommes. Telle est l’étrange leçon de 2024. Surprise, surprise !
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone