Le régime chinois, Sun Tzu et l’art de la guerre


Cet article porte sur la dictature chinoise et ses agents, et non sur le peuple chinois.


Par Jon Rappoport – Le 14 avril 2020 – Source No More Fake News

Sun Tzu | Pensées motivation, Sun tzu et Citation

Mes lecteurs réguliers connaissent ma position sur la pandémie : l’affirmation non prouvée d’avoir découvert un nouveau virus ; des tests de diagnostic qui ne valent rien, mais qui ouvrent la porte à une fausse escalade du nombre de cas ; le regroupement et la corrélation de personnes atteintes de DIFFÉRENTES maladies traditionnelles (et peut-être de quelques nouvelles affections non virales) sous le terme générique dénué de sens de « COVID-19 » ; le projet d’introduire un vaccin toxique comme « solution ».


Je suis tout à fait conscient que le régime chinois pourrait jouer plusieurs rôles dans cette crise mondiale. Et par crise, j’entends confinement et dévastation économique. J’expose ici un rôle possible.

Pour commencer : Le modèle de contrôle absolu du régime chinois sur sa population est tout à fait conforme au modèle de contrôle des globalistes de type Rockefeller pour toute la Terre.

Mais le régime de Pékin préfère étendre son propre et formidable Empire. Il coopérera avec les élites globalistes sur certaines opérations, mais uniquement parce que les bénéfices reviennent à la Chine.

Dans le cas de cette illusion de pandémie, le gouvernement chinois serait heureux de contribuer à ce que les nations enferment leurs populations et ferment leurs activités économiques. Pourquoi ? Parce qu’il en résulterait un affaiblissement significatif des nations que le régime chinois considère comme des opposants ou des satellites potentiels.

L’affaiblissement des nations est aussi l’ambition des élites globalistes, c’est certain. Les pays en difficulté sont plus faciles à piloter, plus faciles à convertir en une nouvelle technocratie, un Meilleur des Mondes.

Mais le leadership chinois n’est pas un toutou de Rockefeller. Les patrons chinois bossent pour la Chine.

Si, en jouant le jeu des globalistes dans cette contrefaçon pandémique, la nation chinoise absorbe les pertes économiques et les décès de ses propres citoyens, le régime est plus que disposé à les passer par pertes et profits, sous forme de sacrifices nécessaires. Temporaire. « Nous rebondissons rapidement. D’autres nations n’ont pas cette chance. Elles n’ont pas notre niveau de pouvoir sur leurs citoyens. Ils n’ont pas 1,4 milliard de personnes sous leur coupe. »

La prochaine idée du régime chinois : « Nous pourrions essayer de libérer un virus tueur, modifié en laboratoire, sur l’ensemble de la Terre, mais c’est ridicule pour de nombreuses raisons, parmi lesquelles, l’effet de rebond sur nous-mêmes est imprévisible, et ce n’est que dans les films de science-fiction qu’il existe un antidote magique. Pire encore, tous les virus sont instables et mutent très rapidement, de sorte que nous n’avons aucune idée de ce qui pourrait arriver. Une centaine de morts, dix mille morts avant que le virus ne mute en une variété inoffensive. Il manque à cette stratégie ce que nous voulons tout le temps, dans toutes les situations : le contrôle ».

L’idée suivante : « Mais supposons que nous puissions lancer l’illusion d’une pandémie. Cela nous servirait bien. En ce qui concerne nos objectifs, ce serait un succès : la destruction économique s’abattrait sur nos ennemis. En prime, nous achèterions des gouvernements démunis, plus d’entreprises étrangères et plus de terres étrangères à des prix de base avantageux ».

L’idée suivante : « Nous pourrions préparer un « appât tentant » pour les chasseurs de virus obsédés de l’Organisation mondiale de la santé et du CDC. Les aider à aller là où ils veulent déjà aller… »

À cet égard, revenons au début, là où tout a commencé : Wuhan.

Le gouvernement chinois aurait pu dire aux chasseurs de virus du CDC et de l’OMS :

Oui, nous avons une petite épidémie à Wuhan. Rien de grave, rien d’inhabituel. Des gens arrivent à l’hôpital avec une grippe et une pneumonie. Environ 300 000 personnes meurent de pneumonie chaque année en Chine, pour toutes sortes de raisons. À Wuhan, les personnes âgées ont un problème de santé majeur en raison de la qualité de l’air – la pneumonie. Nous avons travaillé très dur pour y remédier. À un moment donné, nous allions construire un incinérateur pour brûler les déchets à Wuhan, mais nous avons découvert que cette technologie aurait créé plus de pollution, alors nous avons abandonné l’idée. Nous voulons trouver une meilleure installation, et nous le ferons. Nous sommes sensibles aux besoins de notre peuple…

Oui, le régime chinois aurait pu dire cela, mais il ne l’a pas fait.

Envisagez un autre scénario : Le régime chinois a décidé de dire aux chasseurs de virus CDC/OMS de type Rockefeller ce qu’ils voulaient entendre : un nouveau coronavirus qui n’avait jamais infecté les humains auparavant était en liberté. Et alors – et c’est la clé – le régime a soudainement fermé trois grandes villes et mis en quarantaine 50 millions de personnes pendant la nuit.

Boum ! C’est l’événement qui a déclenché le mouvement mondial. Aucune quarantaine d’une telle ampleur n’avait jamais été tentée auparavant. En peu de temps, les protestations de Hong Kong ont disparu, celles du continent contre la pollution de l’air dans les grandes villes chinoises se sont éteintes.

Les globalistes du CDC et de l’OMS ont bavé de joie, ont appuyé sur quelques boutons, et tout leur appareil de relations publiques sur l’épidémie s’est mis en marche.

Celui-ci est le bon. Regardez ce que les chinois viennent de faire. Ils ont enfermé 50 millions de personnes. Alors c’est parti, on peut le faire aussi dans de nombreuses nations.

Depuis lors, l’économie chinoise a été fortement touchée. Le pays a été accusé, dans certains milieux, de propager un virus mortel dans le monde entier. Ce à quoi, bien sûr, le régime chinois répond : « Quoi ? Nous, les Chinois, avons nous-mêmes été fortement affaiblis par l’épidémie… »

Avance rapide de quelques mois. Qui en prend un coup maintenant ? Les États-Unis, l’Italie et de nombreux autres pays. Les États-Unis ont fermé tout ce qui bouge. La bourse américaine et les marchés commerciaux du monde entier s’effondrent. Dans le monde entier, des centaines de millions de personnes ont été mises au chômage et un nombre incalculable de propriétaires de petites entreprises ont été acculés à la faillite.

C’est de la magie.

En « accédant humblement » à l’autorité et au désir du CDC et de l’OMS – qui disent toujours avoir trouvé « un nouveau virus mortel » – le gouvernement chinois a contribué à l’élaboration, dans le pays le plus libre, le plus fou et le plus puissant du monde, les États-Unis, d’un confinement massif similaire à celui qui se termine actuellement en Chine.

À qui tout cela vous fait-il penser ? Cela me rappelle l’ancien général et philosophe chinois, Sun Tzu (6e siècle avant J.-C.), qui a écrit le traité érudit et très populaire, L’Art de la guerre.

Voici un aperçu des observations et des conseils de Sun Tzu. A lire attentivement.

 

Toute guerre est basée sur la tromperie. Ainsi, lorsque nous sommes capables d’attaquer, nous devons paraître incapables ; lorsque nous utilisons nos forces, nous devons paraître inactifs…

Si votre adversaire est capricieux, cherchez à l’irriter. Faites semblant d’être faible, pour qu’il devienne arrogant. S’il prend ses aise, ne lui donnez pas de repos. Si ses forces sont unies, séparez-les. Attaquez-le là où il n’est pas préparé, apparaissez là où on ne vous attend pas.

Tenir des appâts pour attirer l’ennemi. Feindre le désordre, et l’écraser.

Prétendre à l’infériorité et encourager son arrogance.

Si votre adversaire est de tempérament colérique, cherchez à l’irriter.

Maîtriser l’ennemi sans combattre est le summum de l’habileté.

… allez rapidement là où il [l’ennemi] ne vous attend pas.

La vitesse est l’essence de la guerre. Profitez de l’impréparation de l’ennemi ; empruntez des itinéraires inattendus et frappez-le là où il n’a pris aucune précaution.

Vous voyez le topo ? Ca fait tilt ?

Le régime chinois : « Oui, Dr. CDC et Dr. OMS, il semble bien, comme vous le dites, qu’ici en Chine nous ayons un nouveau virus. Vous êtes les experts. [Bulle de pensée : « Vous êtes toujours prêts à simuler la découverte de nouveaux virus. »] Nous nous inclinons devant votre sagesse. Il est certain que nous devons contenir le virus. Si nous avons fait un faux pas, nous nous en excusons. Vous êtes les leaders dans ce domaine. Faites ce que vous pensez le mieux. Si des alertes aux gouvernements nationaux sont en ordre, émettez-les. Nous vous aiderons. Pensez-vous que la propagation va s’intensifier ? »

En attendant, le CDC et l’OMS n’ont pas fait, et ne feront jamais, les procédures nécessaires pour prouver qu’ils ont effectivement trouvé un nouveau virus (comme je l’ai décrit dans d’autres articles).

Le gouvernement chinois voit la propagande épidémique commencer à se développer et, soudain, comme je viens de le dire, il enferme 50 millions de personnes sans raison médicale rationnelle, donnant ainsi au CDC et à l’OMS, qui sont des organismes globalistes, le précédent choquant d’un super travail d’escroquerie, d’une super histoire, d’un super scénario, d’un conte de fées sur une pandémie, une excuse pour mettre en place leurs propres mesures de confinement, sur toute la planète.

Ensuite, un leader, qui se trouve être engagé dans une bataille commerciale avec la Chine -Trump – est coincé. Habituellement arrogant, de tempérament colérique, comme Sun Tzu caractérise certains dirigeants, Trump doit maintenant revoir son attitude et faire avec. Il croit qu’il ne peut pas se défaire des autorités médicales. Il croit qu’il ne peut pas faire son coup de poing habituel à l’instinct et crier à la Fake News. Il ne peut pas retourner le marché boursier en invoquant des victoires économiques. Il ne peut pas parler de gagner une guerre commerciale contre le gouvernement chinois. Il est étouffé. Dégonflé, il doit aller à la télévision et lire dans le script les mesures qu’il prend pour « arrêter la propagation du virus », alors qu’il renonce à plus de milliards de dollars que le gouvernement n’a pas.

Bien sûr, beaucoup de gens refusent de croire qu’il existe une chose appelée subtilité dans la stratégie, dans la guerre secrète. « Le gouvernement chinois ne pourrait pas être aussi intelligent. » Vraiment ? Que diriez-vous d’un régime qui a quelques milliers d’années de tradition derrière lui, basé sur l’art des opérations secrètes ? L’actuelle dictature chinoise de type « frappe-et-prend » montre un visage, mais ce n’est pas le seul.

La dictature a donné au CDC et à l’OMS ce qu’ils voulaient ardemment : une raison de se lancer dans un dîner de con.

« Bon appétit ».

Il y avait un petit quelque chose en plus dans la nourriture. Ce n’est pas un virus. A la place, des épices Sun Tzu.

Comme je l’ai écrit au début de cet article, je présente une description possible d’une voie que le régime chinois pourrait emprunter.

C’est possible. Imaginez un petit groupe de professionnels de l’élite du gouvernement chinois regardant des rapports :

Avec cette fausse opération de lutte contre la pandémie, nous avons de nombreux ennemis que nous voulons maîtriser. Pour un instant, n’en regardons qu’un seul. Trump. On ne peut pas le laisser rejeter les confinements. S’il le fait, d’autres nations pourraient les rejeter aussi. Il croit qu’il gagne une guerre commerciale contre nous. Il est efficace sur certains fronts intérieurs. Il sait comment rallier ses partisans. Il a une grande énergie. Il peut susciter l’enthousiasme de ses troupes. Il promeut un type de nationalisme qui touche profondément de nombreux Américains et qui pourrait être dangereux pour nous.

Ses critiques et ses adversaires sont, dans l’ensemble, inefficaces. Ce sont des amateurs ennuyeux. La confiance en soi de Trump, son arrogance, sa tendance à s’irriter et à s’emporter… voilà sur quoi nous devons nous concentrer. Ce sont des forces qui peuvent aussi être des faiblesses. Il ne verra pas les attaques venant de sources et de directions inattendues. Il pense qu’il voit toute la carte des menaces qui pèsent sur sa présidence. À cet égard, il a une perspective limitée. Il considère ses ennemis potentiels comme des agresseurs brutaux – parce que lui-même est brutal. Il voit la guerre comme un affrontement ouvert, comme un moyen de pression direct. C’est là que nous avons notre chance.

Nous avons besoin d’une opération subtile qui, au début, ressemble à un problème ou une crise périphérique. Mais lorsque l’étau se refermera rapidement, il sera trop tard. Non seulement Trump, mais toute l’Amérique sera prise dans le jeu de cet étau. Bien sûr, dans le processus, nous nous infligerons des dommages économiques. « Nous sommes aussi des victimes », dira-t-on. Ce sera notre couverture…

« Oh, » répondent encore les gens, « c’est impossible. Le régime chinois ne peut pas être aussi sournois. Ce plan comporte trop d’étapes. Où est la puissance de feu ? Où sont les armes laser qui clignotent dans l’espace, vous savez, comme on le voit dans les films ? Sans cela, il n’y a pas de guerre. »

Eh bien, quand les gens insistent pour que le jeu ressemble à un tic-tac-toe avec des missiles, mais que l’adversaire joue en réalité aux échecs ou au Go… Iron Man n’est pas la meilleure option.

2019. Le leadership chinois : « Permettons à nos « amis » globalistes de créer une fausse pandémie et d’enterrer les nations. Nous n’aurons besoin que de quelques coups sur l’échiquier, et ils feront le reste. Je suggère que nous appelions l’opération virus Sun Tzu. »

Bien sûr, le régime chinois se permet d’exercer des ajustements occasionnels, pour créer les leviers nécessaires et aider les événements à se dérouler. À cet égard, quelques questions clés : Quel pays a un accord financier énorme et déséquilibré avec le régime chinois ? Quel pays a vu les Chinois verser des sommes gigantesques dans les caisses de son gouvernement et racheter ses entreprises ? Quel pays travaille sous l’influence indue de la Chine ? Quel gouvernement de pays pourrait donc prendre une mesure énorme et désastreuse sous les ordres plus ou moins directs de Pékin ? Quel chef de gouvernement de quel pays a, du jour au lendemain et sans prévenir tous ses gouverneurs, enfermé la moitié de la nation ? Quel pays a donc créé une nouvelle tête de pont pour les fermetures ? Si vous cherchez un pays qui répond à TOUTES les questions, son nom c’est l’Italie. Autrefois, elle a été le centre de la plus grande renaissance depuis l’Athènes antique. Aujourd’hui elle est masquée et mise en quarantaine. Et la nouvelle tête de pont, c’est l’Europe et l’Occident.

Une des raisons pour lesquelles j’ai écrit cet article ? Étant donné l’existence de certaines structures dans ce monde, je vous fais part de la facilité avec laquelle on peut enfermer quelques milliards de personnes dans un œuf de la réalité.

La liberté consiste à casser la coquille et à sortir de l’œuf.

Jon Rappoport

Note du Saker Francophone

Ce scénario ne manque pas de sel et convoquer Sun Tzu est toujours un gage d'intérêt. Si c'est avéré, ce n'est pas simplement Trump qui est la cible mais les globalistes eux-mêmes. Les Chinois sont parfaitement conscient de ce qu'ils pourraient faire à la Chine si celle-ci devait à nouveau fléchir comme au 19ème siècle.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

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