… Comment le X Club de Huxley a créé le magazine « Nature » et a saboté la science depuis 150 ans
Par Matthew Ehret − Le 13 mai 2020 − Source Strategic Culture
Au milieu de la tempête soulevée par la controverse sur la théorie disant que la COVID-19 est née en laboratoire, prônée par des personnalités telles que le virologue Luc Montagnier, prix Nobel, l’expert en armes biologiques Francis Boyle, le cardinal sri-lankais Malcolm Ranjith et le chef des gardiens de la révolution iraniens, un projet a été élaboré, sous la direction nominale de Nature Magazine, afin de réfuter une fois pour toutes cette théorie dans le rapport «L’origine proximale du virus SRAS-CoV-2».
Ce projet a été dirigé par une équipe de virologues évolutionnistes utilisant un raisonnement selon lequel «une mutation aléatoire peut expliquer n’importe quoi» qui été répété haut et fort, comme par des perroquets, par Fauci, les responsables de l’OMS et Bill Gates afin de mettre fin à toute discussion inconfortable sur l’éventuelle origine en laboratoire de la COVID-19, tout en poussant à une campagne mondiale de vaccination. Le 18 avril, le Dr Fauci – dont les liens étroits avec Bill Gates et Big Pharma ont beaucoup à voir avec le contrôle de centaines de milliards de dollars de recherche – a déclaré :
«Il y a eu, récemment, une étude que nous pouvons mettre à votre disposition, où un groupe de virologues évolutionnistes hautement qualifiés a examiné les séquences de génomes chez les chauves-souris au fur et à mesure de leur évolution. Et les mutations nécessaires pour arriver au point où elles se trouvent maintenant sont totalement compatibles avec le saut d’une espèce animale à un humain.»
Je pense qu’en ce moment, vu la nature spéculative des arguments avancés, de la confusion et des données approximatives, il est utile de s’éloigner du présent et de rechercher des points de référence plus élevés, à partir desquels nous pouvons réévaluer les événements qui se déroulent actuellement sur la scène mondiale.
Pour ce faire, commençons par poser une nouvelle série de questions :
Qu’est-ce que Nature Magazine exactement ? Est-ce vraiment une plate-forme «objective» pour la recherche scientifique pure non contaminée par la pollution des agendas politiques ? Ce porte-étendard de la «méthode correcte», qui peut faire ou défaire la carrière d’un scientifique, est-il vraiment la revue scientifique qu’il prétend être ou y a-t-il quelque chose de plus obscur à découvrir ?
Alors que je présentais une partie de cette histoire dans mon précédent épisode de cette série The Rise of Optical Biophysics and Clash of the Two Sciences, une très vieille bataille a été menée autour des systèmes politiques, mais aussi des paradigmes scientifiques qui façonneront notre avenir.
Un peu de contexte historique
En 1865, un groupe de douze scientifiques, sous la conduite de Thomas Huxley – grand-père de Aldous – Matthew Arnold, Joseph Hooker et Herbert Spencer – fondateur du darwinisme social – a créé le «X Club» avec pour mandat de réformer la stratégie impériale globale britannique.
Au moment de la formation de ce groupe, les armées nordistes de Lincoln étaient sur le point de réprimer la rébellion sécessionniste que l’establishment britannique du renseignement avait préparée et nourrie pendant des décennies, guidée par des agents anglo-américains en Amérique, ainsi que par des opérations au Canada britannique.
S’étant beaucoup trop étendu pendant la guerre de Crimée (1853-1856), puis pendant la 2e guerre de l’opium en Chine (1856-1860), la répression des soulèvements indiens (1857-1858), et enfin le parrainage de la Confédération du Sud aux États-Unis (1861-1865), l’Empire britannique savait qu’il était sur le point de s’effondrer. Le monde s’éveillait rapidement à sa nature perverse, et un nouveau paradigme de coopération gagnant-gagnant était exporté par l’Amérique de Lincoln vers les nations du monde entier – l’Amérique était alors une nation très différente du géant anglo-américain muet que le monde connaît depuis le meurtre de JFK en 1963.
Le système de Lincoln était connu sous le nom de «Système américain d’économie nationale», une appellation proposée par le créateur du Germany Zollverein [Union douanière créée en 1834], Friedrich List, des années plus tôt. Contrairement au libre-échange britannique, ce « système américain » était fondé sur le protectionnisme, les opérations bancaires nationales, les infrastructures à long terme et, surtout, mettait la source de valeur dans la capacité de l’esprit humain à faire des découvertes et des inventions, comme le soulignait le discours de Lincoln de 1858. Dans ce système, le concept constitutionnel du bien-être général n’était pas que de l’encre sur un parchemin, mais plutôt le principe qui guidait la valeur de la monnaie et la politique nationale.
Le conseiller économique en chef de Lincoln et coordinateur de la promotion extérieure du système américain à l’échelle internationale après la guerre civile s’appelait Henry C. Carey. Dès 1851, Carey a écrit son Harmony of Interest qui disait :
«Deux systèmes existent dans le monde. L’un vise à augmenter la proportion de personnes et de capitaux engagés dans le commerce et le transport, et donc à diminuer la proportion engagée dans la production de marchandises avec lesquelles faire du commerce, avec un rendement nécessairement diminué du travail de tous ; tandis que l’autre cherche à augmenter la proportion engagée dans le travail de production, et à diminuer celle engagée dans le commerce et le transport, avec un rendement accru pour tous, donnant à l’ouvrier de bons salaires, et au propriétaire de bons profits en capital… L’un vise le paupérisme, l’ignorance, la dépopulation et la barbarie ; l’autre vise l’augmentation de la richesse, du confort, de l’intelligence, combinaison de l’action et de la civilisation. L’un vise la guerre universelle ; l’autre la paix universelle. L’un est le système anglais ; l’autre est ce que nous pouvons être fiers d’appeler le système américain, car c’est le seul jamais conçu dont le but de progresser tout en unifiant la condition de l’homme dans le monde entier.»
En Allemagne, le système américain inspiré du Zollverein (union douanière) avait non seulement unifié une nation divisée, mais l’avait élevée à un niveau de production et de souveraineté qui avait dépassé le pouvoir monopolistique de la British East India Company. Au Japon, des ingénieurs américains ont aidé à assembler des trains financés par un système bancaire national et des tarifs de protection pendant la restauration de l’ère Meiji.
En Russie, l’adepte du système américain Sergei Witte, ministre des Transports et proche conseiller du tsar Alexandre III, a révolutionné l’économie russe avec les trains de fabrication américaine qui roulaient sur la ligne du transsibérien. Même l’Empire ottoman n’a pas été épargné par l’inspiration pour le progrès, car le chemin de fer de Berlin à Bagdad a été commencé avec l’intention de développer un programme audacieux de modernisation du sud-ouest de l’Asie.
La construction de chemins de fer continentaux et la puissance industrielle des nations sur le plan international ont rapidement fait naître le concept de pont terrestre mondial élaboré par le gouverneur du Colorado, William Gilpin. Pour ceux qui ne le savent pas, Gilpin, qui était également le garde du corps de Lincoln et le plus ardent défenseur du chemin de fer transcontinental américain, a passé des décennies à défendre le système international de coopération gagnant-gagnant qu’il a décrit dans son Cosmopolitan Railroad de 1890 :
«Les armes du massacre mutuel sont bannies ; les passions sanguinaires sont mises en échec, une majorité de la famille humaine accepte les enseignements essentiels du christianisme en pratique, dans les faits… On donne de la place pour la vertu et la puissance industrielle. Les masses civilisées du monde se rencontrent ; elles sont mutuellement éclairées et fraternisent pour mettre les relations humaines en harmonie avec la nature et avec Dieu. Le monde cesse d’être un camp militaire, incubé uniquement par les principes militaires de la force arbitraire et de la soumission abjecte. Un nouvel ordre grandiose dans les affaires humaines s’inaugure avec ces immenses découvertes et événements simultanés.»
Réorganiser ou périr
L’Empire britannique savait que ce nouveau paradigme émergeant rendrait à la fois son contrôle maritime du commerce international aussi obsolète que son programme international d’usure bancaire et de culture commerciale. 1
Il était clair que quelque chose devait changer radicalement, car si l’Empire ne pouvait pas s’adapter en réponse à ce nouveau paradigme, il périrait sûrement bientôt. La tâche de remodeler la politique impériale d’une approche du contrôle par la «force matérielle brute», à une «force mentale» a été confiée à T. H. Huxley et au X Club. Ce groupe a établi les principes scientifiques directeurs de l’Empire qui ont rapidement été mis en pratique par deux nouveaux groupes de réflexion connus sous le nom de Fabian Society et Rhodes Scholar Trust, que j’ai décrits dans ma série Origins of the Deep State in North America.
Huxley, qui est connu sous le nom de « bouledogue de Darwin » pour avoir promu sans relâche la théorie de Darwin de la sélection naturelle – une théorie dont il ne croyait même pas qu’elle avait un mérite scientifique – a rapidement décidé que le groupe devrait créer un magazine pour promouvoir sa propagande.
Fondé en 1869, le magazine s’appelait Nature et présentait des articles de Huxley et de plusieurs membres du X Club. Le but plus profond du X Club et de son magazine, tel que décrit dans un rapport de 2013 intitulé Hideous Revolution: The X Club’s Malthusian Revolution in Science, était orienté vers la redéfinition de toutes les branches de la science autour d’une interprétation statistico-empiriste de l’univers qui nie l’existence de la raison créatrice dans l’humanité ou la nature. La science est passée de la recherche illimitée, et de la perfectibilité de la vérité, à une «science des limites» mathématiquement scellée.
La science des «limites» est devenue le fondement d’une science économique oligarchique pour l’élite et a naturellement dû être cachée aux esprits de la population en général car elle suivait le principe mathématique de croissance démographique de Thomas Malthus. Le «principe» de population de Malthus supposait que des humains irréfléchis se reproduisent géométriquement alors que la générosité de la nature ne croît que de manière arithmétique et que l’effondrement périodique de la population était une loi inévitable de la nature qui pouvait être gérée au mieux par un sacerdoce scientifique oligarchique qui était obligé d’abattre périodiquement le troupeau.
Malthus et les dirigeants du X Club croyaient que la nature accordait à la classe dirigeante certains outils pour accomplir cette tâche importante – à savoir la guerre, la famine et la maladie – et Malthus l’a déclaré tranquillement dans son Essai sur la population de 1799 :
«Nous devons faciliter, au lieu de chercher bêtement et vainement à entraver, les opérations de la nature en provoquant cette mortalité ; et si nous redoutons les visites trop fréquentes de l’horrible forme de la famine, nous devons encourager assidûment les autres formes de destruction, que la nature nous contraint à utiliser. Dans nos villes, nous devons rétrécir les rues, rassembler plus de gens dans les maisons et espérer le retour de la peste.»
Le soutien du X Club à la théorie darwinienne de la sélection naturelle était moins une décision scientifique, à cet égard, que politique, car Darwin a admis plus tard dans son autobiographie que sa propre théorie découlait directement de son étude de Malthus :
«En octobre 1838, quinze mois après avoir commencé mon enquête systématique, il m’est arrivé de lire, pour le plaisir, ce que disait Malthus sur la population, et étant prêt à reconnaître la lutte pour l’existence qui se poursuit partout, à partir d’une observation continue des habitudes des animaux et des plantes, il m’a tout de suite frappé que, dans ces conditions, les variations favorables auraient tendance à être préservées, et celles défavorables à être détruites. Le résultat serait la formation d’une nouvelle espèce. Ici donc, j’avais enfin une théorie sur laquelle travailler.»
En étendant la théorie de Malthus à toutes les créations vivantes, le X Club a obscurci la différence qualitative entre les humains et les singes, ce qui était avantageux pour un empire qui ne peut contrôler les humains que lorsqu’ils adoptent la loi de la jungle comme norme de pratique morale et de formation d’identité plutôt que quoi que ce soit de réellement moral.
Ce n’est donc pas un hasard si Henry C. Carey a ciblé sans relâche le darwinisme, Malthus et le X Club dans son livre Unity of Law : An Exhibition on the Relations of Physical, Social, Mental and Moral Science (1872). Dans cet ouvrage important, Carey a attaqué tous les systèmes fondés sur des relations maître-esclave en disant :
«C’est ainsi qu’il a donné naissance à la doctrine de la surpopulation, qui est simplement celle de l’esclavage, de l’anarchie et de la ruine sociale, comme condition ultime de l’humanité ; cela aussi, résultant de lois émanant d’un Être tout-sage et tout puissant qui aurait pu, s’il le voulait, instituer des lois en vertu desquelles la liberté, l’ordre, la paix et le bonheur auraient été le lot de l’homme. Que ces dernières lois ont été instituées, que le schéma de création n’est pas un échec et qu’il n’est entaché d’aucune des erreurs supposées par M. Malthus, est prouvé par tous les faits présentés à notre considération par les communautés du monde qui avancent : l’habitude de la paix, entre les individus et les nations, grandit avec la croissance de ceux-ci et augmente leur pouvoir de se diriger eux-mêmes.»
Approches anti-darwiniennes de l’évolution
Bien qu’on nous dise trop souvent aujourd’hui qu’aucun système alternatif n’a jamais existé en dehors de la théorie de l’évolution de Darwin, une étude plus approfondie de l’histoire de la science au XIXe siècle prouve que cela est loin d’être vrai.
Pendant cette période, une révolution scientifique anti-darwinienne s’épanouissait dans les sciences de la vie sous la direction de personnalités telles que James Dwight Dana, Jean-Baptiste Lamarck, Alexander von Humboldt, Georges Cuvier, Karl-Ernst von Baer et Benjamin Silliman. Ces scientifiques ont non seulement commencé à remettre en question la théorie statique de la nature dérivée d’une lecture littérale de la Bible, mais ont fait d’énormes progrès dans la compréhension des mécanismes supérieurs définissant le flux de l’évolution. Ce processus a été décrit dans une conférence de 2010 donnée par l’auteur de cet article, intitulée The Matter Over Darwin’s Missing Mind.
Contrairement à beaucoup de nos scientifiques modernes, les malthusiens n’ont jamais cru à la dichotomie séparant la science de la religion, car la «science» était comprise comme rien de moins que l’investigation et la participation à l’œuvre de Dieu, et en tant que telle, la biosphère et toutes les «unités» en son sein étaient implicitement définies comme plus que la somme de leurs parties, et plus que toutes les théories de l’évolution, conçues avec une approche trop rapide, et motivées par l’intention, l’harmonie et la directivité.
Cette perspective a été brillamment mise en évidence par le grand naturaliste et embryologiste Karl Ernst von Baer qui a écrit dans son livre On the Purpose of Nature (1876) :
«Les interconnexions réciproques des organismes entre eux et leur relation avec les matériaux universels qui leur offrent les moyens de soutenir la vie, c’est ce qu’on a appelé l’harmonie de la nature, c’est-à-dire une relation de régulation mutuelle. De même que les tons ne donnent lieu à une harmonie que lorsqu’ils sont liés entre eux conformément à certaines règles, les processus individuels dans l’intégralité de la nature ne peuvent exister et perdurer que s’ils se trouvent dans certaines relations les uns avec les autres. Le hasard est incapable de créer quoi que ce soit de durable, il est plutôt seulement capable de destruction.»
Huxley et les Darwiniens, d’autre part, ont promu une interprétation opposée de l’évolution, «de bas en haut» en commençant par les «mutations aléatoires» imaginées dans l’incommensurablement petit qui s’ajoutaient à l’ensemble de toutes les espèces de la biosphère. Cette biosphère a donc été définie comme un peu plus que la somme de ses parties.
L’école impériale du X Club de Huxley a nié non seulement l’existence de la créativité de ce point de vue métaphysique supérieur, mais a également nié le fait que l’humanité puisse diriger le fruit de ses découvertes créatives vers de nouvelles formes de progrès scientifique et technologique qui auraient pour effet d’augmenter la capacité de notre espèce à transcender les «limites de croissance», ce que les néo-malthusiens modernes ont appelé notre «capacité de charge».
Nature Magazine fait prospérer son sinistre héritage
Tout au long du XXe siècle, Nature Magazine a acquis une affreuse réputation en appliquant des modèles de pensée déductifs / inductifs qui ont détruit la carrière et la vie de nombreux scientifiques créatifs.
L’un de ces scientifiques était l’éminent immunologiste Jacques Benveniste (1935-2004) qui a subi une chasse aux sorcières pendant quinze ans dirigée par Nature Magazine en punition de ses découvertes sur «la mémoire et la vie de l’eau» – c’est-à-dire comment les molécules organiques configurent la géométrie des molécules H2O et impriment ainsi leurs «informations» dans ladite eau.
Cette campagne de diffamation a commencé en 1988 lorsque Nature Magazine a mené une tentative «officielle» de reproduire les résultats des découvertes de Benveniste sur le pouvoir, attribué à l’eau, de conserver les informations sur les substances allergènes au sein de sa structure, qui ont continué à provoquer des réactions allergiques sur les tissus et organes vivants longtemps après que toutes les traces des substances ont été filtrées dans diverses solutions.
Comme indiqué dans le documentaire Water Memory de 2014, Nature Magazine est même allé jusqu’à embaucher un magicien de scène nommé James Randy pour codiriger une équipe d’enquêteurs qui a intentionnellement bâclé les résultats de Benveniste, menti sur les données et condamné Benveniste comme fraudeur. Cette opération a ruiné la réputation du scientifique, asséché son financement et gardé la biologie enfermée dans sa cage matérialiste pendant encore trois décennies. Les campagnes de calomnie de Nature Magazine ont été décrites par Benveniste comme une «mascarade» qui a utilisé des «méthodes de type McCarthy et des campagnes de diffamation publique» pour l’écraser.
Le combat d’aujourd’hui pour une science des causes
Que COVID-19 soit apparu naturellement comme l’atteste Nature Magazine ou qu’elle soit apparue dans un laboratoire comme le croit le Dr Luc Montagnier, ce qui est certain, c’est que la science peut être temporairement retardée, mais son évolution ne peut pas être retardée indéfiniment.
Aujourd’hui, l’héritage d’Alexander von Humboldt, Karl Erst von Baer et Cuvier, Dana, Vernadsky et Benveniste est bel et bien vivant avec le Dr Montagnier et des équipes de chercheurs internationaux qui ont porté les travaux théoriques, expérimentaux et cliniques sur la mémoire de l’eau à un nouveau niveau révolutionnaire avec l’ouverture d’une école d’optique quantique de biophysique comme je l’ai décrit dans mon récent article Big Pharma Beware : Dr. Montagnier Shines New Light on COVID-19 and The Future of Medicine.
Décrivant les prochaines révolutions en biologie, Montagnier a déclaré :
Le jour où nous admettrons que les signaux peuvent avoir des effets tangibles, nous les utiliserons. À partir de ce moment, nous pourrons traiter les patients avec des ondes. C’est donc un nouveau domaine de la médecine que les gens craignent bien sûr. Surtout l’industrie pharmaceutique… un jour nous pourrons traiter les cancers avec des ondes.
Avec l’appel audacieux de Montagnier pour un programme scientifique international massif dans la thérapie des ondes pour traiter COVID-19, et avec le nouvel alignement des systèmes nationaux au sein de l’alliance multipolaire dirigée par la Russie et la Chine, il y a de fortes chances pour que le nouveau paradigme de coopération gagnant-gagnant défendu par Henry C. Carey, Lincoln et d’autres patriotes internationaux dans le sillage de la guerre civile américaine, puisse vraiment fleurir une fois de plus.
Matthew Ehret
Traduit par jj, relu par Marcel pour le Saker Francophone
Note du Saker Francophone De même que Big Pharma verrouille toute recherche, hors de la chimie, qui pourrait nuire à ses intérêts, Big Oil agit de même pour empêcher les études sérieuses sur la fusion nucléaire.
Poutine défie les malthusiens : la fusion nucléaire devient une priorité nationale pour la Russie
- À Saint-Hélène, Napoléon aurait dit à son médecin : «L’Angleterre est une nation de boutiquiers.» ↩
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