Par Zénon − Janvier 2017
L’abracadabrante appartenance d’énarques autistes et analphabètes à l’alliance atlantiste aurait attaqué l’occidental à la racine de son âme humaniste.
Bon… L’abominable barbu en babouches à la base du bordel débordant les barbouzes et autres bidasses abâtardies semble le bon coupable de l’ignoble kabbale babylonienne.
Commune est l’inaccessible compréhension des causes et des conséquences. C’est pour cela qu’ici, nous ciblons celles et ceux conscients de la succession de calamités en cascades qui nous occupe.
Dans l’idéal décadent et condamné de dictacratie qui domine, l’ordre doit sa demeure à sa détermination à détruire d’emblée toute obédience défavorable au délire.
Et en effet, l’éminent expert enrégimenté par l’empire à défaire l’émergence du rêve à l’éveil ne peut énumérer les nœuds d’énergie qui l’enserrent.
De festins en feux de joie, de festivals en foutoirs, les firmes en flottaison, faisant fi des fables affirmant l’infini à la fin du film, s’affublent des fripes d’enfants affamés dans l’effort d’effacer l’effluve de leurs forfaits.
Elles s’égosillent à dégobiller l’ingérable gabegie des guerres d’egos qui se gargarisent, des gérontophiles, des ogres de gare au gigantisme agissant sur l’agglomérat des groupuscules et de sa grenade dégoupillée.
Heureuse heure où l’humble et honorable Humain arrachera ses harnais pour se hisser au perchoir des chacals endimanchés, et les acheminer à leur chute.
Irrésistible est l’ire de l’esprit libre : il distille depuis cimes aux abîmes un venin de fruits acides aux élites. Cette clique d’illuminés parasites, sa tripotée d’hypocrites et de tristes sbires imaginent éliminer l’hérésie pour se prémunir de la ruine de l’empire.
Mais déjà la joie juvénile éjacule de la jugulaire des jouvencelles en jaquette. Jamais leurs jurons, jérémiades et jugements ne justifieront le joker de la junte au jeu de jacadi des enjeux d’aujourd’hui.
La Kommandantur khazare des racketteurs en képi qui ont karcherisé les souks de l’Irak à Nagasaki a hacké les stocks, et écoule au black ses kilos de coke de New-York à Vladivostok.
Élus et oligarques s’allient à globaliser l’illusion légale en laquelle enliser la plèbe aliénée. Malgré la litanie de paroles en l’air, le peuple en colère cumule galères, inégalités, malheurs et violences folles. Il est à la limite de la révolte. L’actuel soulèvement des éléments lucides illustre l’hallali des leaders et des collabos en col blanc.
L’imminente immolation du système n’est un mal que dans la mesure où l’homme se complaît au royaume des ombres. Mais la mort programmée de la matrice lui permettra demain d’enjamber l’abîme. D’admettre finalement l’amour comme dénominateur commun au monde.
Ni la nomination ni les boniments des prétendants au trône ne nous concernent. L’unique et nécessaire manière dont anéantir la domination des nuisibles est d’ignorer leur énorme arnaque et de renaître en pleine Nature.
Oublions les obligations et les donneurs d’ordres. L’horreur est concomitante à l’obéissance aux dogmes et aux normes. La voie organique oppose un veto catégorique à l’oppression sous toutes ses formes : c’est pourquoi les clones et robots œuvrent à désorganiser nos forces.
Pour autant, le principal si ce n’est le pire des appâts dont disposent les puissants pour empêcher l’émancipation populaire est la Peur. Puisque l’appréhension de perdre leurs possessions pousse la plupart des personnes à persévérer dans l’impasse, apportons l’espoir en la providence en réponse à l’inepte paradigme capitaliste.
Quant au quotidien que l’on qualifie d’inique et qu’aucun n’indique acquérir sans quête d’un quelconque équivalent égotique, qu’on lui évoque le quotient du qualitatif au quantitatif, et qu’il esquive systématiquement la question.
Alors que l’air pur se raréfie, l’erreur est la ruée vers l’or et le rêve de réussir. L’art du guerrier est au contraire de taire sa douleur et rire à la mort en son for intérieur. Le reste ne regarde rien que l’orgueil, et ne saurait nuire à l’irrépressible attrait de l’être pour autrui.
Si puissant soit l’ascendant du seigneur sur ses serfs, sans la somme de mensonges assurant le sursis de sa position, il subirait soudain l’assaut assassin d’esclaves désabusés et de masses hostiles. Il suffit que cent singes s’associent à scier les structures qui les asservissent, et nous serons assez pour susciter la suite.
Rétifs à toute tentative de nous attendrir ou de nous éteindre, le but de notre attitude a toujours été de détruire l’autorité totalitaire de l’État.
L’humain s’use au bureau ou à l’usine pour les plus-values d’usurpateurs qui abusent, grugent et nous bouffent les globules. Mutualisons les outils et les aptitudes ; habituons-nous à l’usage au lieu de l’usure en vue d’exclure de nos heures l’absurde labeur qui nous tue.
Voici venir la vague vengeresse et les vents violents de la révolte du vivant. Vautours et vampires verront le revers d’avoir vanté le vice, vilipendé la vertu, inversé les valeurs et violé sans vergogne la vérité. La ferveur des vauriens et mauvais élèves enverra la vermine au vert et ouvrira la voie d’un nouvel avenir.
Wall-Street et les Windsor ont switché le swastika sur les wagons. Les WASP, work-addicts et clowns du showbiz auront Waterloo et non Walpurgis.
L’axe anglo-saxon excelle dans l’exaction. Son exemple exonère d’examiner les extrêmes : le luxe qu’il exige exploite un maximum d’existences en exil et dans un exquis paradoxe, s’excuse de l’expédient en excitant la xénophobie. L’hexagone exsangue devra s’extraire des axiomes et de la doxa ; exproprier les exploitants pour s’extrader du vortex.
Effrayé que l’analyse du citoyen anonyme décrypte ses mythes et que l’asphyxie enraye son hymne, l’hydre Élyséenne, myope à la mystérieuse odyssée des cycles, bégaye au paroxysme de l’hystérie. De joyeux types s’égayent à nettoyer l’Olympe. Que leurs dynamiques se synchronisent et dynamitent la synarchie tyrannique.
Zouaves, zoulous, zadistes, zonards ou tziganes, azimutons l’azote et l’ozone. Bizutons les zélotes et gazons les zombies nazis au zyklon. Bazar et zizanie zèbrent l’horizon de Byzance : zigzaguons au zoo et dézinguons le bouzin en zigouillant les vizirs. Que le zéphyr diffuse le zen azur au zénith.
Zénon