« Si le gouvernement peut suspendre vos droits chaque fois qu’il estime que quelque chose est en crise, vous n’avez pas de droits. Vous avez des permissions ». – « Pismo » sur « X »
Par James Howard Kunstler – Le 17 mai 2024 – Source Clusterfuck Nation
Alors que notre pays est plongé dans les séquelles mortelles de l’opération Covid-19, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) met la dernière main à une belle connerie appelée Traité sur le règlement sanitaire international (RSI) ou initiative « Une seule santé », une prise de pouvoir globaliste déguisée sous les saints habits blancs de la médecine de santé publique. L’accord, qui doit être finalisé à la fin du mois, cédera ce qui reste de votre liberté à cette bureaucratie non élue au nom de « l’équité et de l’inclusivité », ce qui signifie davantage d’enfermements, une surveillance constante, des « vaccinations » forcées, des restrictions sur les médicaments et la censure de tous ceux qui expriment une opinion contraire à ces actions.
Cela vous rappelle quelque chose ? Oui, c’est la Covid-19 à nouveau, une deuxième tentative de contrôler tout ce que vous faites et chaque choix que vous pourriez faire par une cabale de gouvernements et d’entreprises, en d’autres termes, un gang international de fascistes. L’OMS est une agence des Nations unies basée en Suisse. Vous vous souviendrez peut-être que c’est là que le Forum économique mondial (WEF, alias « Davos ») a son siège. Depuis des années, le WEF publie des plans pour un régime mondial techno-fasciste sous lequel, affirment-ils sans ambages, « vous ne posséderez rien et serez heureux » (et mangerez des insectes).
Ces oiseaux ne plaisantent pas, même si tout le monde peut voir la mégalomanie affichée, la volonté de puissance grandiose qui cherche à soumettre la plèbe du monde – et à réduire radicalement notre nombre – afin qu’une minuscule élite restante puisse entrer dans une utopie post-moderne, techno-transhumaine, débarrassée de nous, les « mangeurs inutiles ». L’argent des entreprises et l’esprit d’organisation de Davos sont à l’origine de ce qui s’apparente à un racket meurtrier déguisé en prévention des maladies.
Bien entendu, les laboratoires pharmaceutiques sont au premier plan. Ils sont prêts à gagner des centaines de milliards de dollars en distribuant leurs « vaccins » obligatoires – qui, vous le savez maintenant, ne seront pas testés correctement et, comme le démontrent actuellement les vaccins Covid, sont secrètement conçus pour tuer autant de personnes que possible sur une longue période de temps en désactivant les défenses naturelles de votre système immunitaire, garantissant ainsi l’ahurissement et l’adhésion des masses trompées. Cela pourrait ressembler à un film de science-fiction paranoïaque, mais, hélas, la première phase a déjà eu lieu depuis 2020. Et comme les sociétés pharmaceutiques fournissent la majeure partie des recettes publicitaires des médias câblés, vous avez été trompés avec succès pour ne pas voir ce qui se passe tout autour de vous : beaucoup de maladies et de morts.
Heureusement, la nature de la mégalomanie veut qu’elle ait toujours une trop haute opinion de son pouvoir et qu’elle aille trop loin. D’une part, ce « traité » de l’OMS doit être signé par les pays membres. Tous ne sont pas enthousiastes à l’idée de le faire. C’est le cas de la Slovaquie, dont le premier ministre, Robert Fico, a été assassiné quelques jours après avoir annoncé que son pays se retirerait du traité. La coterie des États-Unis, derrière le sénile et incompétent « Joe Biden », est avide de nous faire signer le traité, en grande partie parce qu’une grande partie de l’industrie pharmaceutique mondiale opère à partir de notre pays et se paye un grand nombre de membres du Congrès, en particulier la plupart des membres du parti Démocrate.
En vertu de la Constitution américaine, le président ne peut donner suite à un traité international sans l’approbation du Sénat par deux tiers de ses membres. Le sénateur Ron Johnson (R-WI) a été la personnalité la plus active au sein de cet organe, enquêtant sur les crimes de l’opération Covid-19 et organisant des votes contre le traité, qu’il déclare être le fait de l’ensemble des 49 sénateurs républicains. Il ne peut donc y avoir de ratification du traité de l’OMS à la majorité des deux tiers.
Mais notez que le gouvernement de l’ombre dirigé par « Joe Biden » a fait toutes sortes de choses en défiant ouvertement la Constitution et les arrêts de la Cour suprême des États-Unis sur ce qui est permis par la Constitution, par exemple, en annulant des sommes colossales de dettes de prêts universitaires. Le régime de « Joe Biden » est sans foi ni loi. Quiconque a suivi les poursuites malveillantes contre le candidat Donald Trump et la rafle massive des manifestants du J-6 peut voir comment cela fonctionne. Nous vous conseillons donc d’appeler et d’écrire à vos représentants élus au Congrès pour vous assurer que le pouvoir exécutif (la Maison Blanche et ses agences) reçoive le message suivant : pas d’accord sur le traité de l’OMS.
D’autres tendances en cours peuvent nous aider à échapper à ce qui s’apparente à un coup d’État globaliste. L’une d’entre elles est que l’effondrement économique et politique de la société occidentale tend à aller dans la direction opposée à la centralisation extrême du pouvoir que représente l’OMS. Les choses s’effondrent, en particulier celles qui sont organisées à une échelle gigantesque. Il suffit de regarder le chaos qui règne dans les cabinets médicaux corporatisés et les hôpitaux congloméralisés en Amérique. La corruption et la dégénérescence des gouvernements nationaux, avec leurs bureaucraties colossales, ont atteint un stade que peu de personnes parmi celles qui y sont soumises ne peuvent manquer de remarquer. Cela a sapé leur légitimité et incité les citoyens à ne pas se conformer à leurs diktats de plus en plus insensés.
En vertu de la Constitution, les tâches qui ne relèvent pas de l’autorité fédérale sont laissées aux États. La santé publique en fait partie. En conséquence, les procureurs généraux de vingt-deux États américains ont déclaré leur objection au traité de l’OMS dans une lettre adressée à « Joe Biden », et leur intention d’ignorer ses ordres. Ce qui reste à voir, c’est si les globalistes peuvent utiliser un nouvel agent pathogène fabriqué dans leurs nombreux laboratoires d’armes biologiques pour provoquer une nouvelle pandémie et terroriser la population mondiale pour qu’elle se laisse faire. Ne doutez pas qu’ils essaieront, en particulier au cours d’une année où de nombreux pays tiendront des élections. Et ne vous laissez pas berner à nouveau lorsqu’ils le feront.
James Howard Kunstler
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone