Philadelphie Ouest : voyage dans la profondeur des USA…


… au long cours de trente pâtés de maisons d’esclaves


The Burning Platform

« Trump est mon frère. Vous n'êtes pas obligé d'être d'accord avec lui, mais la foule ne peut pas me forcer à ne pas l'aimer. Nous avons tous deux l'énergie du dragon. C'est mon frère. J'aime tout le monde. Je ne suis pas d'accord avec tout ce que les gens font. C'est ce qui fait de nous des individus. Et nous avons droit à la pensée indépendante. » - Kanye West

Le 16 mai 2018 − Source The Burning Platform

Ces dernières semaines ont dévoilé trop d’honnêtes vérités pour les propriétaires d’esclaves du Parti démocrate à Washington DC et dans d’autres bastions libéraux du ghetto urbain, parce qu’un couple de noirs arrogants a osé remettre en question le conte de fée libéral. Tout a commencé lorsque la meilleure moitié de Kim Kardashian − Kanye West − a osé sortir de la plantation et dire ce qu’il pensait de Donald Trump, de Candace Owens et des Noirs en général. Son tweet à propos de Candace Owens a provoqué une tempête d’ordures, avec ça :

« J’aime la façon de penser de Candace Owens. »

Cela semble assez innocent, mais Candace Owens est une jeune femme noire qui est devenue une vedette sur les médias sociaux Twitter parce qu’elle promeut des valeurs conservatrices et critique le récit de la victime noire promue par les politiciens libéraux et leurs porte-parole des médias traditionnels. Twitter a explosé suite à l’indignation de la gauche et aux accolades de la droite. Ne laissant jamais passer une opportunité, Trump a rapidement tweeté :

« Merci Kanye, très cool ! »

L’indignation enragée ne faisait que croître au fur et à mesure que Twitter explosait pendant les jours suivants. Trump, que les Démocrates et les médias de gauche décrivent constamment comme un raciste, a de nouveau reçu le soutien d’un autre artiste de rap bien connu − Chance the Rapper − qui a tweeté :

« Les Noirs n’ont pas besoin d’être démocrates. »

Vous pourriez pratiquement voir les têtes de Maxine Waters, de Nancy Pelosi, de Chuckie Schumer, de Rachel Maddow et de Chris Cuomo exploser simultanément alors que leur narration sur les victimes noires commençait à se déliter. Comment ces voyous noirs, hommes et femmes osent-ils remettre en question le dogme de la gauche, utilisé pour faire élire les Démocrates pendant des décennies dans les taudis des villes en décrépitude, habités massivement par des Noirs ?

La puissante emprise de la gauche sur les électeurs noirs dépend de leur conviction que l’État providence profite à la communauté noire. Toute discussion sur la responsabilité personnelle, le chômage, le mariage et l’éducation réelle relâcherait les chaînes qui asservissent les Noirs dans les circonscriptions contrôlées par les Démocrates à travers le pays. Sentant l’odeur du sang libéral, Trump a immédiatement versé de l’huile sur le feu grandissant avec ce tweet :

« Kanye West a rendu un excellent service à la communauté noire. De grandes choses se produisent et des yeux se sont ouverts pour la première fois depuis des décennies − Une affaire historique d’héritage ! Merci aussi à Chance et à Dr. Darrell Scott, ils ont vraiment compris (le plus bas taux de chômage noir et hispanique de l’histoire). »

Trump ignore commodément le fait que le nombre de Noirs qui ne font pas partie de la population active atteint également un record. C’est incroyable de voir à quel point on peut faire descendre le taux de chômage si l’on prétend que des dizaines de millions de personnes ne font pas vraiment partie de la population active. Mais pourquoi laisser certains faits entraver une bonne histoire sur les Noirs ? Alors que les progressistes condamnaient Kanye et en déduisaient qu’il avait de nouveau perdu la tête, il réussit à monter encore le volume du son dans l’outrage avec ce tweet extra-terrestre :

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« Quand vous entendez parler d’esclavage pendant 400 ans … 400 ans ? Cela ressemble à un choix. »

Cela valait vraiment la peine de regarder la rage, la colère et les foudres de la gauche contre une telle déclaration traîtreusement scandaleuse de la part d’un homme noir présomptueux qui a 28 millions de followers sur Twitter. La fausse indignation sur MSNBC et CNN les a révélés aussi vides et faibles d’esprit que toutes les personnes qui les connaissent le savent déjà. West ne disait pas que l’esclavage n’était pas un fléau terrible et une ère négative dans notre histoire. Il disait aux Noirs que l’esclavage avait été aboli il y a plus de 150 ans, alors qu’ils cessent de justifier leurs problèmes avec quelque chose qui n’a pas eu d’impact sur eux depuis des générations. Les politiciens de race libérale utilisent le récit de l’esclavage pour garder les Noirs à la traîne dans leurs plantations des ghettos urbains.

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« George Bush se fout des Noirs »–Kayne West, septembre 2005

C’est le même Kanye West qui a choqué le monde en déclarant que Bush ne se souciait pas des Noirs à la télévision nationale pendant un téléthon pour les victimes de l’ouragan Katrina. Comme sa femme au gros cul, mais sans talent, Kim Kardashian, la star de la télé réalité, Kanye West est une « pute de l’audimat ». C’est bon pour les affaires. Ses tweets ont augmenté la popularité de son nom et généreront plus de ventes de CD et de ventes de concerts. La twitto-sphère conservatrice est allée bon train avec Kanye, surtout après qu’un minuscule sondage de Reuters auprès de 200 hommes noirs a montré un doublement du soutien à Trump, passant de 11% à 22%, après les tweets de Kanye.

L’analogie de l’esclavage et de la plantation utilisée par Kanye me semble appropriée puisque, depuis treize ans, je parcours le ghetto urbain de West Philly [Philadelphie Ouest], en observant les esclaves dans leur habitat naturel. Avec l’acquisition récente d’un téléphone intelligent basique il y a quelques mois, je me suis déchaîné pour documenter le taudis de trente pâtés de maisons avec mon appareil photo. Les feux rouges mal réglés et les nids-de-poule béants le long de la route ralentissent la conduite, offrant beaucoup d’occasions de prendre des photos. Je crois que la réalité observable de West Philly confirme les points de vue offerts par Kanye West et Candace Owens.

Dans 59 circonscriptions électorales à Philadelphie, principalement dans le nord et l’ouest de la ville, Mitt Romney a reçu ZÉRO vote à l’élection présidentielle de 2012. Les communautés que je traverse à West Philly sont occupées à 95% par des Noirs. À Philadelphie, Obama a battu Romney de 486 000 voix en 2012 et Clinton a battu Trump de 455 000 en 2016. Chaque ghetto urbain à travers le pays, contrôlé par les Démocrates, propriétaires des plantations, voit le même résultat à chaque élection. Les esclaves noirs votent massivement pour leur pauvreté et leur asservissement continus. La mentalité du bien-être de l’État providence a été ancrée dans leur psyché après cinquante ans de programmes de la Grande Société qui ont répandu leurs artifices.

Les Démocrates ont eu le contrôle complet de Philadelphie pendant les six dernières décennies. La spirale descendante s’accélère car les solutions démocrates sont toujours plus d’impôts, plus de prestations sociales, plier devant les syndicats, la corruption et d’horribles écoles gérées par le gouvernement. Le résultat a été la fuite des Blancs et du business, la dépendance, la pauvreté, les dettes de pension non remboursables, les politiciens en prison, le crime, les nids de poule, les conduites d’eau qui explosent, les maisons qui s’effondrent sous une pluie torrentielle. La mise en place de l’État-providence a renforcé les chaînes de l’esclavage noir, assurant leur soumission à la misère.

Quand vous regardez les masures délabrées que j’ai photographiées pendant mes trajets quotidiens à travers les trente blocs de taudis, souvenez-vous qu’autrefois c’était des bâtiments robustes occupés par des gens qui travaillaient pour gagner leur vie et prendre soin de leur foyer et de leur quartier. Bien sûr, c’était avant les promesses de la Grande Société de LBJ [Johnson] en 1965. Cette excuse méprisable pour un être humain est toujours vénérée par les Démocrates et les dirigeants noirs malgré leur véritable pensée sur la législation de la Grande Société qui a détruit la communauté noire. Mais, jusqu’à présent, sa prédiction a été exacte au cours des 53 dernières années :

« Je vais faire voter démocrate à ces nègres pour les 200 prochaines années. » − Lyndon B. Johnson

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Ce charmant duplex est situé sur l’avenue Girard à West Philly. La réponse de la ville aux propriétés abandonnées est de condamner les fenêtres et de laisser la nature ronger la structure jusqu’à ce qu’elle s’effondre sous une forte pluie (j’ai vu ça se produire). Remarquez les multiples antennes TV sur le bâtiment, y compris le côté bordé. Je trouve déconcertant que dans les quartiers où le revenu moyen des ménages est de 15 000 $ (principalement des prestations d’aide sociale) et où la maison moyenne vaut 25 000 $, chaque maison a une antenne parabolique, chaque personne traînant dans les rues a un téléphone intelligent et des véhicules de plus de 40 000 $ sont garés dans les rues jonchées de déchets.

2018-05-19_15h54_30Le signe écrit à la main sur la façade de ce trou à rat délabré annonce « Tout doit partir ». Tout est parti depuis longtemps. L’autocollant orange de la ville dit qu’il est condamné, mais il semble être dans la même forme que 50% des bâtiments occupés le long de la rue Market à West Philly. Il est choquant qu’un entrepreneur noir inspiré par Obama n’ait pas saisi ce lieu de premier ordre pour un commerce de détail afin de démarrer une entreprise florissante.

2018-05-19_16h03_25Cette image en dit tellement sur l’ambiance de West Philly. Vous avez quelques maisons en ruines, des rideaux de sécurité en acier pour tous les magasins, des graffitis appliqués par quelque étudiant bien sous tous rapports, un véhicule abandonné, des détritus et des ordures qui jonchent toute la scène. La dégradation, l’apathie et la descente dans les abysses sociétaux de cette communauté noire sont totalement résumées dans cette photographie.

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Je me demande si les maisons à Bagdad ont besoin de grilles aux fenêtres du rez-de-chaussée et de l’étage. Il semble que les deux meilleures entreprises dans les 30 blocs du taudis vendent des barrières de sécurité et du contreplaqué. Je suppose que si vous pensez qu’il est acceptable de jeter vos détritus dans la rue, il est probablement hors de question de balayer votre trottoir.

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Je peux honnêtement dire qu’il n’y a absolument pas de magasin dans ma banlieue qui, comme ceux-ci, nécessitent des volets ou des portes de sécurité pour fermer la boutique pour la nuit. Cette exigence le long des 30 blocs du taudis révèle une communauté non civilisée, sans loi, et dangereuse, habitée par des gens qui ne comprennent pas le bien et le mal. Ils n’ont aucun sens de la communauté ou de la moralité, car voler, tuer et jeter des ordures dans leurs rues est jugé acceptable. Les nouvelles locales, chaque soir, détaillent les meurtres, les vols, les viols et les agressions dans cette zone de destruction urbaine.

2018-05-19_16h18_08J’ai trouvé un test parfait, pour voir à quel point la section de West Philly est dangereuse, avec mon indice graffiti. Les politiciens démocrates et les dirigeants de la communauté noire semblent croire que des artistes blancs réalisant des peintures murales glorieuses présentant les noirs de cette communauté comme des chefs intrépides, des universitaires et des héros, inspireront réellement les résidents opprimés, ignorants, et dépendants des prestations sociales, à se lever dans le monde. Au lieu de cela, l’ironie est perdue pour ces andouilles, comme le montre l’indice graffiti − plus il y a de graffitis par mètre carré de pâté de maisons, plus vous risquez d’y être assassiné. Avec deux peintures murales côte à côte, vous devriez vous planquer en conduisant dans le coin. Interpréter la signification des peintures murales doit exiger un doctorat en science de l’esclavage.

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J’ai toujours trouvé ce bar de bikers amusant d’une certaine manière. Le panneau sur l’entrée dit « Mort au KKK ». C’est un message intéressant, étant donné que le KKK n’est pas et n’a jamais été une organisation importante à Philadelphie ou dans le nord-est des États-Unis. Je suppose qu’ils ne sont pas trop accueillants envers les Blancs dans ce bar. J’imagine la scène du bar noir dans Animal House avec Otis Day chantant Shama lama ding dong.

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Vous savez que vous êtes dans un mauvais quartier lorsque l’entreprise de lutte antiparasitaire (probablement l’entreprise la plus rentable à West Philly) est complètement enfermée dans des grillages pour tenir à distance les chiens sauvages des environs. Ils sont incomparables dans l’extermination des rats, cafards, souris et autres vermines fréquentant votre taudis délabré.

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Juste avant d’atteindre la frontière ouest Philly à Upper Darby (le Darby chic − Lower Darby pourrait être pire que West Philly) un grand bâtiment rempli de meubles merdiques prétend être un magasin de détail. Lorsque votre message marketing principal est OUVERT, la qualité de votre marchandise est probablement douteuse. Le petit panneau bleu dit NO CREDIT. Ils connaissent leur clientèle.

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Un panneau d’affichage, plus loin sur la route, pour un autre magasin de meubles revendique AUCUN CRÉDIT NÉCESSAIRE. C’est le ghetto. Le taux de chômage réel est de 50%. Les 50% restants travaillent dans des emplois de service de merde peu rémunérés. Seul un imbécile leur prêterait de l’argent pour acheter des meubles. À moins que ce ne soit juste les propriétaires des plantations qui gardent les esclaves asservis et soumis. La cabale de Wall Street a le monopole du crédit en contrôlant la Réserve fédérale. Si la Fed fournit de l’argent gratuit à Wall Street et que cette dernière facture 29% d’intérêt aux personnes noires frappées par la pauvreté qui ne comprennent pas les maths, elles peuvent se permettre des taux de défaillance élevés. Super plan business. Et si tout va à la faillite, le contribuable américain les renflouera.

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Il n’y a aucun moyen pour les pauvres noirs à West Philly d’échapper à la chaîne d’asservissement de la dette quand leurs seules options sont la dette subprime [dette à risque au taux d’intérêt très élevé] pour financer les achats de meubles, d’appareils et d’automobiles. Ils dépendent de l’État pour leur subsistance et dépendent éternellement de la cabale de Wall Street pour financer leur vie au taux d’intérêt et aux conditions de prêt usuraires. Les programmes de la Grande Société étaient supposés élever les minorités, mais ils ont créé des générations d’électeurs amers, consternés, ignorants, dépendants, pauvres et Démocrates. Et tout tourne autour de la destruction artificielle de la cellule familiale et de l’échec délibéré de l’éducation des enfants. Les programmes gouvernementaux promouvant la destruction de la cellule [familiale, NdT] noire ont fait des ravages à West Philly et dans les ghettos urbains à travers le pays. En 1960, 22% des enfants noirs vivaient avec des parents seuls. En 2006, le pourcentage de 1960 avait plus que doublé pour atteindre 56%. Moins de 20% des enfants noirs naissaient hors mariage en 1960. Aujourd’hui, 73% des enfants noirs sont nés hors mariage. Étonnamment, le gouvernement obtiendra toujours plus de ce qu’il incite.

Quand les programmes d’aide sociale paient plus d’argent pour avoir des enfants hors mariage et ne pas se marier, c’est le résultat. La destruction de la famille noire par les politiques démocrates a entraîné la destruction, la pauvreté et des générations d’esclaves sans défense.

« Si vous voulez voir les pauvres rester pauvres, génération après génération, gardez les normes basses dans leurs écoles et excusez leurs lacunes universitaires et leur mauvaise conduite personnelle. Mais s’il vous plait, ne vous félicitez pas de votre compassion. » − Thomas Sowell

L’éducation était le seul moyen pour les Noirs de se débarrasser de leurs chaînes, d’obtenir des emplois rémunérés de la classe moyenne et de sortir de la pauvreté. La compassion libérale, les écoles gérées par le gouvernement avec des normes aberrantes, les enseignants syndiqués qui inscrivent des enfants démotivés, sans père et ignorants, grâce à un programme de socialisation démentiel déguisé en éducation pour un coût moyen de 12 000 $ par étudiant, ont détruit toute chance pour des générations d’enfants noirs d’élever leur communauté. C’est presque comme si les politiciens corrompus et les bureaucrates du gouvernement voulaient garder leurs électeurs noirs ignorants, dépendants et impuissants.

Malgré les milliards consacrés aux programmes d’aide sociale censés élever les Noirs pauvres, pratiquement toutes les entreprises le long des 30 blocs du taudis sont détenues et exploitées par des Blancs et des Asiatiques. L’ancien bâtiment de Market Street, qui abritait autrefois l’American Bandstand de Dick Clark, abrite aujourd’hui le Centre d’entreprise financé par le gouvernement, une organisation qui conseille les entreprises appartenant à des minorités et à des entrepreneurs défavorisés. Le conseil n’a pas fonctionné. Sans ménages solides avec deux parents et une bonne éducation, les entrepreneurs noirs sont plus rares à West Philly qu’une femme avec une alliance de mariage. C’est un miracle que les propriétaires blancs et asiatiques des boucheries et des épiceries soient encore là. Ils sont volés et attaqués régulièrement.

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Une autre observation fascinante dans les 30 blocs est la présence de H & R Block, parmi d’autres entreprises nationales de préparation de déclarations de revenus. Pourquoi cela ? Avec un revenu familial moyen inférieur à 20 000 $, la plupart des habitants de West Philly ne paient aucun impôt fédéral sur le revenu. Notez-le comme une autre escroquerie de l’État providence conçu pour aider les pauvres et les opprimés. Le crédit d’impôt sur le revenu est valable pour les personnes qui ne travaillent pas et ne gagnent aucun revenu. Vous, contribuable, payez vos impôts afin qu’ils puissent être reversés aux personnes qui ne paient aucun impôt sur le revenu. Les bonnes gens de H & R Block remplissent tous les formulaires, facturent aux pauvres des frais exorbitants et les incitent à emprunter, avec leurs prestations, au taux d’intérêt de Shylock.

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C’est ainsi que les entreprises américaines extraient leurs récoltes de la plantation. H & R Block utilise l’ignorance rampante à West Philly pour générer des profits sur le dos des habitants. Ils abusent du manque de contrôle de leurs impulsions [merci la pub et la télé, NdT] et de leurs capacités de gratification différées pour leur offrir leurs remboursements avant que l’IRS n’envoie le chèque. Pendant ce temps, H & R Block impose une « taxe » qui équivaut à un taux d’intérêt de 50%. C’est la même histoire avec le programme de bons alimentaires de 70 milliards de dollars. JP Morgan administre le programme et facture des centaines de millions de frais. Wal-Mart et autres hypermarchés récoltent l’aubaine des dépenses. Les entreprises américaines aiment l’État providence.

J’ai beaucoup plus de respect pour le mec musulman vendant des bébés tortues près du Phila Zoo, au niveau de la 34e rue et de Girard, que pour les banquiers de Wall Street et les méga-sociétés qui violent les pauvres. Les journées chaudes, vous trouverez de jeunes Noirs vendant des bouteilles d’eau froide dans le trafic embouteillé. Compte tenu de certaines compétences et occasions, ces gars pourraient réussir dans ce monde. Mais la plupart du temps, ils sont généralement dépassés en nombre par les mendiants paresseux.

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Si vous circulez dans le coin un de ces jours, vous remarquerez que la plupart des bâtiments nouvellement construits sont  des banques ou des bureaux du gouvernement. Cela devrait vous dire tout ce que vous devez savoir sur les gagnants et les perdants dans l’économie aujourd’hui. Le dernier bâtiment sur les 30 blocs du taudis est un bâtiment administratif de la sécurité sociale. Pourquoi dans le ghetto de West Philly ? Ma conjecture est qu’après la fin de l’escroquerie prolongée d’Obama sur le chômage, les bons à rien devaient simuler des handicaps afin de monter dans le train du SSDI [Programme d’aide aux handicapés]. Ils ont donc facilité le passage de ceux « qui n’étaient pas dans la population active » à West Philly, vers le bureau de la sécurité sociale en prétendant qu’ils souffrent d’un trouble des tissus mous, de dépression, ou de diabète parce qu’ils pèsent 160 kilos. La mentalité de victime est ancrée dans cette communauté.

J’ai trouvé amusant il y a quelques semaines que les progressistes se soient scandalisés de la proposition de Ben Carson d’augmenter le montant que les résidents doivent payer pour leur logement public de 30% à 35% du revenu de leur ménage. Carson, qui a grandi dans l’extrême pauvreté à Detroit, est ensuite devenu neurochirurgien, il a compris l’essence de ce que ces programmes de prestations sociales devraient faire :

« L’aide du gouvernement ne devrait pas garder les gens dans un état de dépendance. Elle devrait être utilisée comme un tremplin, et non comme un hamac. »

La formule pour les subventions publiques au logement est pervertie. Comme tous ces programmes, elle encourage les gens à ne pas travailler et à ne pas générer trop de revenus. L’histoire du logement public a été un désastre. Les photos ci-dessous représentent l’ancien et le nouveau des logements sociaux. Les deux bâtiments sont situés à la 45e rue et au marché. Le bâtiment sur la gauche2018-05-19_23h10_43, infesté de rats et de drogues, est une scène de crime de 20 étages construite dans les années 1970. Les flics ont peur d’entrer dans ce bâtiment. Il sera finalement implosé, comme beaucoup avant lui.

Le logement public, nouveau et amélioré, est du type des maisons alignées (photo suivante). Certaines ont même un parking fermé et des magasins de vente au détail construits en leur sein. Les politiciens démocrates sont certains que s’ils construisent des vitrines de magasins, les détaillants viendront. Les huit magasins de Mantua Square, la Mecque des logements à faible revenu, sont 100% inoccupés quatre ans après avoir été construits avec vos impôts.

2018-05-19_23h17_39Remarquez la clôture autour des maisons. Il y a des pointes dangereuses sur le haut de la clôture. On dirait un grand quartier où vous pouvez sans risque élever vos enfants sans père. Ces maisons de ville se détérioreront et s’écrouleront, car les résidents ont le droit d’y loger gratuitement et ne prendront pas soin d’elles. La clôture devrait leur rappeler qu’ils sont toujours sur une plantation du gouvernement.

En 2014, Obama a désigné les 2 miles carrés de Mantua Square, à l’ouest de Philadelphie, comme l’une de ses zones de promesses, promettant de réaménager le quartier, de créer des emplois et de le rendre à nouveau sûr. Je conduis dans ce quartier tous les jours. Absolument rien n’a changé depuis 2014. Quelques bâtiments délabrés ont été détruits au bulldozer, mais rien ne les a remplacés. Pas de nouvelles entreprises. Pas d’emplois. Les écoles sont aussi pathétiques que jamais. Les meurtres et les vols n’ont pas cessé. Et le trafic de drogue est toujours la meilleure activité dans la communauté. Thomas Sowell a épinglé Obama :

« L’une des raisons pour lesquelles cela a pris aussi longtemps pour que les gens finissent par voir à travers Barack Obama, c’est qu’ils n’aiment pas admettre, même pour eux, qu’ils ont été pris pour des imbéciles par un politicien beau parleur. »

Les Noirs ont été manipulés par Obama et d’autres politiciens libéraux pendant des décennies. Après avoir dépensé plus de dix mille milliards de dollars en programmes d’aide sociale depuis 1965, le taux de pauvreté a à peine bougé. La mentalité de dépendance a été transmise à travers plusieurs générations. Les politiciens libéraux, en conspiration avec Wall Street, les médias libéraux et l’Amérique des affaires, ont asservi les Noirs urbains dans des chaînes d’ignorance, d’addiction aux prestations sociales, de blâme des Blancs, d’immoralité et de mentalité criminelle.

E. Williams et Ben Carson sont méprisés et ridiculisés par la gauche. Mais quand un rappeur comme Kanye, héros de millions de jeunes Noirs, rompt avec les propriétaires des plantations et dit la vérité, la panique s’ensuit. Les libéraux vont cercler les wagons pour protéger leur bloc de vote noir. Ils vont probablement réussir, car il sera difficile de rompre avec cinquante ans de dépendance. Si Trump peut convaincre 20% des Noirs de voter pour lui et le Parti républicain, il deviendra une légende.

La tirade American Dream de George Carlin capture l’essence de notre situation, et elle s’applique particulièrement aux habitants de West Philly et à tous les autres ghettos urbains dans les bastions démocrates à travers le pays.

« Il y a une raison pour laquelle l’éducation est nulle, et c’est la même raison pour laquelle elle ne sera jamais, jamais, jamais réparée. Ça ne va jamais aller mieux, ne cherchez pas, soyez heureux avec ce que vous avez. Parce que les propriétaires de ce pays ne le veulent pas.

Ils ne veulent pas d’une population de citoyens capable de pensée critique. Ils ne veulent pas de gens bien informés, instruits et capables de penser de manière critique. Ils ne s’intéressent pas à ça. Cela ne les aide pas. C’est contre leurs intérêts.

Vous savez ce qu’ils veulent ? Ils veulent des travailleurs obéissants. Des travailleurs obéissants, des gens qui sont juste assez intelligents pour faire fonctionner les machines et accomplir les formalités administratives. Et juste assez stupides pour accepter passivement tous ces emplois de plus en plus merdiques avec un salaire inférieur, des heures plus longues, et des avantages réduits. » – George Carlin

Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker francophone

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