Par Brandon Smith – Le 16 novembre 2016 – Source alt-market
Je dis cela depuis longtemps, et je le répète ici – dans la vie, il n’y a que deux genres de gens : ceux qui savent et ceux qui ne savent pas. Certains pourraient prétendre qu’il y a une troisième option : ceux qui ne veulent pas savoir. En tout cas, si vous voulez être en mesure de prévoir les tendances géopolitiques et sociales, vous devez être parmi ceux qui connaissent.
Par-dessus tout, pour savoir, vous devez être prêt à sortir de la confusion et de ce cirque et en regarder les développements d’en haut. Si vous avez des préjugés et si vous conservez trop de vaches sacrées, vous ne comprendrez jamais comment le monde fonctionne. Vous serez trop occupé à essayer de renforcer vos propres fantasmes pour voir autre chose.
Au-delà, vous devez également comprendre que les développements politiques et sociaux ne sont pas aléatoires. Ils sont soit des réactions à des politiques délibérées d’intérêts particuliers, soit des politiques d’intérêts particuliers. Par conséquent, ces développements sont prévisibles et peuvent être calculés (jusqu’à un certain point).
Je me réfère habituellement à ces «intérêts particuliers» comme aux élites mondiales, ou globalistes, parce que c’est ainsi qu’elles se réfèrent souvent à elles-mêmes. Le fait est que la plupart des événements que vous voyez dans le monde politique sont conçus pour susciter une réponse psychologique spécifique de votre part et des gens autour de vous. Vous n’êtes pas un être humain pour ces personnes ; vous êtes soit un actif à mouler, soit un obstacle à éliminer. C’est ainsi que notre monde fonctionne. Et jusqu’à ce que nous le comprenions parfaitement et que nous l’acceptions, les choses ne changeront jamais.
Donc, pour être clair, si vous comprenez l’esprit des globalistes et ce qu’ils veulent, vous pouvez comprendre la direction générale de l’avenir.
C’est cette philosophie qui m’a permis de prédire de manière cohérente et précise les événements géopolitiques et économiques que très peu d’autres personnes ont pu prédire. Par exemple, j’ai prédit correctement la diminution du QE de la Réserve fédérale, j’ai prédit l’inclusion de la Chine dans les droits de tirage spéciaux du FMI à l’avance, j’ai prédit le moment exact de la première hausse des taux de la Fed, j’ai prédit le succès du référendum du Brexit quand la plupart des analystes et le mouvement de liberté ont dit que cela n’allait jamais arriver, j’ai prédit que le projet de loi saoudien 9/11 serait adopté, que Barack Obama y mettrait son veto mais que le Congrès annulerait son veto, j’ai prédit que Hillary Clinton serait la candidate démocrate et que Donald Trump serait le candidat républicain à la présidence des États-Unis et, depuis cinq mois, je prédis que Donald Trump remportera les élections de 2016.
Les gens peuvent attribuer ces séries de prédictions réussies à de la pure «chance», ou ils peuvent envisager la possibilité que je connais ce dont je parle. Je vais leur laisser ce choix.
La vraie question, cependant, n’est pas que mes prédictions étaient correctes. Ce qui est plus important, c’est POURQUOI elles étaient correctes. Pour commencer, j’ai souvent raison parce que c’est un fait que les globalistes influencent les événements. Les globalistes sont humains (au moins partiellement) ; Ainsi, ils sont prévisibles, ce qui rend les événements prévisibles. Si vous pouvez voir à partir de la perspective d’un globaliste, vous saurez ce qu’ils veulent et ce qu’ils sont susceptibles de faire pour l’obtenir.
Dans un monde sans globalistes, j’aurais du mal à prédire quoi que ce soit.
Je ne fais jamais une prévision à froid sans une raison concrète expliquant pourquoi je tiens cette position. Je décompose toujours les raisons et les preuves qui leur donnent du sens. Certains analystes pourraient se contenter de simplement renverser une pièce de monnaie et faire une annonce sans explications. Je ne suis pas de ceux-là.
En ce qui concerne la victoire de Trump lors de l’élection, c’est ce que j’ai dit en juin de cette année :
«À la lumière du Brexit, je vais devoir le rappeler ici et maintenant et prédire que le scénario le plus probable pour les élections sera une présidence Trump. Trump a toujours averti au sujet d’une récession pendant sa campagne et avec le Brexit provoquant une baisse des marchés au cours des prochains mois, il sera probablement prouvé qu’il a eu une vision «prophétique».
… Même si Trump est un conservateur anti-establishment légitime, son entrée dans le bureau ovale scellera l’accord sur l’effondrement économique et servira bien les mondialistes. Les banques internationales ont seulement besoin de débrancher le support de vie du système de marché existant pour lui permettre d’imploser complètement, tout en blâmant Trump et ses partisans conservateurs.
Les médias mainstream ont constamment comparé les partisans de Trump à des partisans du Brexit et Trump lui-même a attelé son wagon politique au Brexit. Cela cadre parfaitement avec le récit globaliste selon lequel les populistes et les conservateurs tuent l’économie mondiale et mettent tout le monde en danger.»
Toutes mes prédictions sont enracinées dans une prémisse particulière : que les élites mondiales ont, du moins depuis 2008, délibérément jeté les bases d’une crise financière internationale en pleine évolution, plus grande que toute autre connue dans l’histoire moderne. Cette crise est un moyen pour une fin. Les globalistes utilisent une stratégie au-dessus de toutes les autres pour atteindre leurs objectifs – la dialectique hégélienne : problème, réaction, solution.
Comme je l’ai documenté depuis des années, les élites appellent ouvertement à l’éradication ultime de la souveraineté nationale et à la formation d’une économie mondiale unique, d’une seule monnaie mondiale et, éventuellement, d’un seul gouvernement mondial. Pour faire cette omelette, ils ont l’intention de casser quelques œufs (et d’effondrer quelques économies). En accusant la «souveraineté nationale» (et les gens qui la défendent) pour cette crise, ils espèrent convaincre les masses que la seule solution pratique est la centralisation totale. Vous pouvez lire mon analyse approfondie et la preuve de cela dans mon article La fin du jeu économique expliqué.
J’ai aussi spécifiquement prédit le Brexit et la victoire de Trump en me basant sur une autre prémisse : celle que les élites permettent à des mouvements conservateurs de prendre le pouvoir politique dans certaines régions, juste pour supprimer leur soutien à la relance de l’économie mondiale par la suite. C’est-à-dire que j’ai réussi à prédire la victoire du Brexit et de Trump parce que je comprends et accepte la réalité que les conservateurs et les militants de la liberté ne sont pas «gagnants» ; nous ne sommes mis en avant que comme des boucs émissaires pour un crash financier que les mondialistes ont déjà préparé.
Encore une fois, les gens peuvent dire que je suis chanceux, ou qu’il y a quelque chose de caché derrière moi, mais le fait est que j’ai eu raison et je vais probablement continuer à avoir raison. Cela nous amène à ce qui se passera en 2017.
L’élection de Donald Trump signale un changement radical non seulement dans la politique mondiale, mais surtout dans la stabilité économique mondiale et le développement social. Alors que 2016 a été frénétique et fou, 2017 sera drastiquement plus chaotique. Certains de ces changements seront évidents, certains d’entre eux seront une fois de plus visibles seulement pour une poignée de personnes dans le monde. Commençons d’abord par mes prédictions les plus heureuses…
La mort des médias mainstream
C’est facile. Les médias dominants, avec leurs aliénés régressifs-progressistes et leur parti pris élitiste, ont mal interprété la campagne «Alt-Right», la campagne de Trump et l’action des mouvements contre la justice sociale pendant toute la durée du processus électoral. Non seulement cela, mais à travers WikiLeaks, les médias de gauche ont été mis à nu et de nombreux journalistes et journaux ont alors été exposés : en collusion directe avec la tête du Parti démocrate et la campagne Hillary pour d’abord écarter Bernie Sanders, puis contrôler les débats, les sondages dans le but de faire montrer Clinton et la mettre artificiellement dans une position supérieure à Trump.
Les médias mainstream sont maintenant perçus par la majorité des Américains à gauche et à droite comme un outil de propagande en décomposition qui doit être décapité avant qu’il ne répande sa maladie à quiconque. Je prédis que le nombre de lecteurs et de téléspectateurs de ces médias (à l’exception de FOX News) s’effondrera encore plus qu’actuellement et que de nombreux journaux seront forcés de se renforcer jusqu’à ce qu’ils disparaissent.
Comme je l’ai dit depuis des années, les grands médias sont morts, ils ne le savent pas encore. Eh bien, après cette élection, tout le monde le sait. Les médias alternatifs prendront la place des grands médias. Nous obtiendrons leur audience et nous nous développerons de façon exponentielle au cours de la prochaine année, alors qu’ils fléchiront.
Ils ont décidé que leur travail n’était pas de signaler les faits, mais de manipuler l’opinion publique. Ce sont des menteurs et une honte pour le vrai journalisme. Bon débarras.
Cela dit, certains diront que ma position selon laquelle les élites voulaient une présidence Trump n’est pas tenable précisément parce que les médias libéraux ont travaillé si dur pour forcer l’opinion publique contre Trump. Je vais expliquer dans mon prochain article pourquoi ces gens manquent de recul.
La neutralisation des Guerriers de la justice sociale (SJW)
Le culte des SJW n’est pas mort, mais il a été paralysé. C’est maintenant un hémiplégique baveux cloué au lit, mangeant ses repas avec une paille ; la coquille dysfonctionnelle d’un mouvement destiné à être sorti de sa misère.
Quand je pense à eux, je pense à l’île des jouets inadaptés ; personne ne veut de ces gens. Ils sont un préjudice pour tout ce qu’ils touchent, y compris le Parti démocrate. C’est le zèle des SJW qui a permis aux conservateurs de se rassembler en colère autour de Trump. Ce sont eux qui ont réveillé le géant endormi.
Une des raisons pour lesquelles j’étais tellement certain que Clinton s’était préparée à perdre, c’était son insistance pour que les démocrates adoptent ouvertement ces générations infernales et leur idéologie. En recourant à une rhétorique politiquement correcte et en accusant toute opposition d’être des racistes «déplorables», sexistes et homophobes, Clinton a condamné sa campagne dès le début. N’importe qui doté d’un peu de bon sens aurait pu voir la marée massive croissante sur Internet contre ces SJW. En fait, je pense que les globalistes, à l’aide des analyses Web avancées à leur disposition, l’avaient vu bien avant nous.
Les SJW sont une minuscule minorité dans la société américaine. Leur seule stratégie a été d’utiliser les tactiques d’Alinsky pour faire paraître leur mouvement beaucoup plus grand qu’il ne l’est réellement. Grâce à l’aide mutuelle et aux partisans élitistes des médias populaires, les SJW présentaient un consensus artificiel. Ils se sont fait paraître comme s’ils étaient la vision de la majorité et, donc, la vision «supérieure».
Un des résultats fantastiques de l’élection de 2016 a été la réalisation par les conservateurs qu’ils ne sont pas isolés aux marges de la société. En fait, en Amérique au moins, nous sommes une force considérable à prendre en compte. Il y a une vieille histoire d’un sénateur romain d’il y a 2000 ans qui a suggéré l’idée de forcer les esclaves à porter des brassards pour les rendre facilement identifiables. Un autre sénateur a critiqué cette idée en disant : «Non, s’ils réalisent combien ils sont vraiment, ils pourraient se révolter.»
C’est ce que l’élection 2016 a fait pour les conservateurs, c’est que nous avons vu que des millions d’entre nous sont visibles, et nous sommes maintenant en révolte.
Je fais rarement de commentaires sur les problèmes de race parce que je ne vois pas vraiment la race comme très pertinente dans la plupart des cas. Mais c’est la tactique des adeptes de la justice sociale de cibler constamment et brutalement les hommes blancs comme les monstres de l’Histoire et donc responsables des maux et des échecs de chaque groupe minoritaire d’aujourd’hui et jusqu’à la fin des temps. À ce stade, je pense qu’il est sûr de dire que nous ne serons plus jamais assis les bras ballant comme victimes expiatoires pour ces tristes sires dupés clamant le statut de victimes.
La fin des sondages des médias mainstream
J’étais également confiant dans ma prédiction d’une victoire de Trump basée sur ma connaissance des incohérences dans les méthodes modernes de sondage. Le fait est que le sondage souffre du même manque d’objectivité que celui dont toute autre «science» peut parfois souffrir – les résultats seront toujours vulnérables à l’influence de l’observateur. Si l’observateur veut un résultat particulier concernant ces chiffres, il va, consciemment ou inconsciemment, manipuler la méthode pour produire le résultat désiré.
J’ai vu cela se produire à plusieurs reprises au cours des sondages sur le Brexit menant au référendum et, comme je l’ai dit maintes fois avant les élections américaines, les sondages de campagne semblaient se comporter de la même façon. C’est ainsi que vous avez des sources médiatiques comme Reuters affirmant une chance de 90% pour une victoire de Hillary Clinton juste avant les élections. Lorsque les sondeurs pondèrent leurs enquêtes d’opinion avec beaucoup plus de Démocrates que de Républicains et scrutent ces mêmes groupes à plusieurs reprises, ils ne vont pas obtenir des données variées ou honnêtes.
En fin de compte, les sondages deviennent des outils de propagande plutôt que des tests décisifs. Les médias ont essayé désespérément d’expliquer pourquoi leurs sondages étaient tellement faux, mais il est trop tard pour eux. Après les élections du Brexit et aux États-Unis, personne n’aura plus confiance dans ces chiffres.
Les groupes de liberté vont obtenir un certaine espace pour respirer (pour un petit moment)
Le roulement de tambour régulier de l’antagonisme gouvernemental contre les «groupes patriotes» va probablement disparaître pendant un court laps de temps. Je sais que beaucoup de milices et de réseaux de préparation soupirent de soulagement aujourd’hui après huit ans de présidence hostile d’Obama, l’IRS [Impôts, NdT] frappant des organisations de liberté et des militants individuellement en se basant uniquement sur le zèle politique, le DHS qualifiant les militants de la liberté de terroristes et le SPLC bavant comme des animaux enragés qui cherchent à utiliser leurs liens avec les fédéraux comme un moyen d’enfoncer leurs dents dans tous les conservateurs avec la volonté de nier leur participation au récit dominant.
Avec les conservateurs se lançant dans cette année 2017 avec un contrôle complet du gouvernement et un mandat de Trump, il semblerait que les groupes de liberté «ont gagné la lutte» et n’ont rien à craindre.
Cela dit, ne soyez pas trop à l’aise, les gars, parce que maintenant nous allons discuter de mes prédictions négatives pour l’année prochaine…
La dernière étape de l’effondrement économique
L’effondrement économique est un processus, pas un événement singulier. Les marchés boursiers n’y jouent qu’un rôle mineur. La plupart des Américains n’ont un rapport à l’économie que par la montée et la chute quotidienne du Dow Jones. S’ils voient le Dow dans le vert, ils continuent leur journée. S’ils voient le Dow dans le rouge, ils s’arrêtent et se demandent ce qui se passe. L’élection de Donald Trump a surpris beaucoup de gens avec une augmentation soudaine, plutôt qu’une baisse, sur les marchés boursiers. Mais, comme je l’ai dit à mes lecteurs avant les élections, il serait sage d’attendre quelques semaines avant d’essayer d’analyser ces marchés parce que c’est le temps qu’il faudra pour absorber les résultats des élections.
Je prédis d’abord que les banques centrales du monde entier vont encore réduire les mesures de relance et que la Fed est désormais assurée d’augmenter les taux d’intérêt, probablement en décembre, avant même que Trump n’entre à la Maison Blanche. Je crois également que le processus d’ouverture d’une crise du marché prendra environ six mois avant de devenir largement visibles au public. En raison de la pression de la Fed sur les marchés, je prédis que Trump et la Fed entameront des hostilités ouvertes l’un contre l’autre, ce qui érodera la confiance internationale dans le dollar états-unien en tant que monnaie de réserve mondiale.
Par extension, la présence de Trump à la Maison Blanche va exacerber les tensions déjà existantes avec l’Arabie saoudite. Le projet de loi saoudien 9/11 n’est qu’un début. En conséquence, je crois que l’Arabie saoudite va lâcher le dollar US comme pétro-monnaie, influençant de nombreux autres pays de l’OPEP a faire de même. Je crois que cela se fera au début de 2018.
À mon avis, pour le moment, les prix du pétrole seront le meilleur indicateur de la direction des actions au cours des prochains mois.
Ce n’est pas quelque chose que de nombreux partisans Trump veulent entendre. Dans le mouvement de la liberté, la réponse à ma prédiction que les élites permettraient à Trump d’accéder au bureau ovale était assez prévisible pourtant. Dans mon article Pourquoi l’élection présidentielle des États-Unis a créé la confusion dans le monde entier, j’ai déclaré :
«Je n’ai pas pris cette position juste pour être contrariant. Je le pense honnêtement et ma position est vraiment une position perdante. Si je me trompe et que Clinton gagne le 8, je n’ai probablement pas fini de l’entendre, mais c’est un risque qui doit être pris, parce que ce que je vois ici, c’est un mouvement sur l’échiquier que d’autres ne considèrent pas. Si je me trompe, je me trompe.
Cela dit, si j’ai raison, je perds toujours, parce que les partisans de Trump et la moitié du mouvement de la liberté seront tellement ravis qu’ils ignoreront probablement la plus grande information – Trump est le candidat que les élites voulaient depuis le début.»
Cela semble être la réaction d’environ la moitié du mouvement de la liberté jusqu’à présent : une foi aveugle générale et un préjugé, s’accrochant à l’idée que l’élection (tout comme le Brexit) était une victoire, et que les conservateurs venaient de gagner la guerre de la culture et avaient vaincu les globalistes. C’est drôle comme ça n’a pas été une grande controverse alors que tout le monde pensait que j’avais tort de penser que Trump gagnerait.
Il y a deux principaux arguments qui viennent à ces personnes. Tout d’abord, que mon point de vue sur l’influence des élites est «irréaliste» et que les élites devraient être «omnipotentes» pour réussir à diriger le résultat de ces événements si efficacement. Je vais aborder cet argument en détail dans mon prochain article sur la présidence Trump et quelles seront les conséquences pour nous tous si Trump ne s’avère pas être un constitutionnaliste.
Le deuxième argument qu’ils présentent est que les élites «ne réussiront jamais» à culpabiliser Trump et les conservateurs par une crise économique qui a mis des décennies à venir. Aux gens qui embrassent cet argument je dis : «je comprends la psychologie de masse beaucoup mieux que vous.»
La réalité est que la moitié de l’Amérique est DÉJÀ préposée à blâmer Trump pour tout ce qui va se produire au cours des quatre prochaines années (si cela dure aussi longtemps). C’est la finalité dans l’esprit de beaucoup. Au-delà, chaque mème dans les médias mondiaux et dans les partis de gauche est la promotion de l’idée que Trump est une apocalypse en devenir. Même l’allemand «Der Spiegel» a publié son magazine après-élection avec une couverture représentant la tête de Trump comme une comète géante se précipitant vers la Terre. Ne me dites pas que Trump ne peut pas être accusé pour une crise économique. Seul un idiot complet pourrait suggérer qu’il est autre chose que le bouc émissaire parfait.
Au fond, peu importe si les gens croient les prédictions ci-dessus ou non. J’ai des centaines de courriels de lecteurs qui m’ont traité de fou par le passé et sont maintenant en train de s’excuser. Donc, si vous prévoyez de réagir à l’idée que Trump et les conservateurs sont mis en place par les élites pour une flagellation financière finale, n’oubliez pas d’écrire deux lettres – une pour aujourd’hui disant que j’ai perdu le contact et l’autre pour demain quand vous découvrirez que j’avais raison, une fois de plus.
Brandon Smith
Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par Cat pour le Saker Francophone
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