Le Tribunal Galactique interroge Bill Gates


Par Jon Rappoport − Le 14 septembre 2021

Bill Gates is now the leading target for coronavirus falsehoods, says report - The Verge

Nous ne savons pas comment Bill Gates a été transporté vers un tribunal galactique, et nous n’avons que des fragments de l’interrogatoire. Mais comme aucun tribunal sur Terre ne pouvait rendre justice, ces puissances lointaines sont intervenues.

Un juge a lu une déclaration d’ouverture inhabituelle, qui est apparemment présentée avant chaque procès :

Dans notre haute civilisation, nous avons accompli l’ancienne prophétie : LES PERDUS SERONT TROUVÉS. Il n’y a pas de barrière entre ceux d’entre nous qui vivent ici en chair et en os et ceux qui nous sont les plus proches et qui ont quitté cette vie. Avec eux, nous vivons une joie dont les dimensions sont bien plus grandes que celle-ci. Alors pourquoi nous donnons-nous la peine de mener ces procès ? Parce que nous nous battons aussi pour la justice. Nous ne tournerons pas le dos à cet idéal.

Fragment 1 :

…M. Gates, il est temps de dire la vérité. Combien de temps avez-vous planifié la pandémie avant de la lancer ?

Pourquoi suis-je obligé de dire la vérité ?

Parce que c’est un lieu de conscience.

Allez-vous me torturer si je refuse ?

Nous continuerons à demander jusqu’à ce que vous répondiez honnêtement, peu importe le temps que cela prendra.

Qui puis-je payer ? Je suis riche.

Refusé. Nous ne voulons pas d’argent.

Et des terres ? Je peux vous livrer une grande colonie sur Terre. Un pays entier. Peut-être même l’Europe.

Non.

Je pourrais créer pour vous un système médical qui éblouirait vos esprits. Sur Terre, le comité Nobel devrait me donner le prix pour mes efforts, mais ils n’ont pas les couilles. C’est Melinda qui vous a poussé à me kidnapper ? Je revendique mes droits…

Fragment 2 :

…Le récit de la pandémie n’était que l’occasion d’instaurer une dictature mondiale ?

Nous avions besoin d’un prétexte. Il y a eu de nombreuses réunions au cours des 25 dernières années. Nous avons décidé très tôt qu’une histoire médicale était notre meilleure option. Elle semble être politiquement neutre.

Sur Terre, la religion moderne est la science.

Exactement. Donc si nous pouvions aller au devant de cette tendance et créer un scénario médical de menace et de destruction imminente, nous pourrions appliquer juste assez de coercition pour contrôler la population.

Mais vous ne faisiez pas de la vraie science.

On en donnait l’apparence. Nous avions des soi-disant experts dans notre camp. Ils prenaient les devants. Les masses n’ont aucun moyen de distinguer la science de la fantaisie…

Fragment 3 :

Dans la phase de planification précédant la déclaration d’une pandémie, quels ont été les éléments essentiels ?

Je suis surtout fier de notre organisation pour faire passer le message. Nous avions les médias d’information. Nous avions les chefs de gouvernement. Nous avions des experts médicaux reconnus. Mais vous voyez, dans ce type d’opération, vous ne pouvez pas vous permettre de défections. La corde doit être serrée. La nôtre l’était. Au fil des ans, grâce à l’argent, à l’influence, et dans certains cas aux menaces, nous avons construit un réseau d’unité et de conformité.

Vous êtes fiers, dites-vous ?

Oui, en effet. Il en a fallu du travail. Beaucoup de travail. On n’enferme pas toutes les sources d’information d’une planète du jour au lendemain.

C’est donc le message que vous vouliez faire passer, plutôt que la vérité.

Bien sûr. Il n’y avait pas de pandémie. Nous devions faire croire qu’il y en avait une. De manière convaincante.

Vous étiez à la tête d’une force de vente.

Exactement. L’idée était de rendre l’achat obligatoire…

Fragment 4

…vous aviez planifié les confinements ?

Des années à l’avance. Puis, au bon moment, la Chine a appuyé sur la gâchette, montrant l’exemple. Quand mon Organisation Mondiale de la Santé a félicité la Chine, d’autres nations ont suivi l’exemple et ont emprisonné leurs populations.

Donc les confinements du régime chinois faisaient certainement partie de la planification préalable.

Oui. C’était crucial. Le gouvernement chinois n’était pas tout à fait d’accord avec le futur mondialiste que nous visions. La Chine est, d’abord et avant tout, pour la Chine. Mais nous avons eu suffisamment de coopération de leur part pour que cela fonctionne.

Et les médias sociaux ? Vous les aviez de votre côté dès le début ?

C’était facile. Leurs dirigeants sont volontaires et dociles. Ils ont peur d’aller à l’encontre de notre consensus médical. Et ce sont des mondialistes. A long terme, ils veulent aussi un gouvernement mondial.

Comme le font les médias contrôlés ?

Oui. Mettre les bonnes personnes en place dans l’industrie de l’information a pris des décennies.

Vous vouliez une planète qui soit une prison.

Oui.

Et le prétexte encore ?

Le scénario ? Il y a un virus mortel qui balaie la Terre, et pour l’arrêter, nous devons confiner les pays… et ensuite injecter à tout le monde un vaccin.

Mais il n’y avait pas de virus ?

Parmi nous, il y avait les pour et les contre à ce sujet. Mais s’il existait, il n’était certainement pas plus dangereux que la grippe. Nous devions le faire paraître très, très dangereux.

Par des déclarations à cet effet.

Oui…

Fragment 5 :

…Vous voulez la dépopulation ?

Nous devons l’avoir. On ne peut pas diriger une planète quand 8 milliards de personnes y vivent. C’est impossible. Le vaccin est l’arme. Mais pas seulement le vaccin COVID. Les vaccins avant lui et ceux à venir dans le futur.

Et tous ces décès seront imputés aux pandémies ?

Oui. “Le virus l’a fait”.

Et vous êtes prêt à tuer toutes ces personnes.

Des choix difficiles dictent l’issue des événements. Une vie meilleure pour certains, plutôt qu’une vie terrible pour tous. C’est mon choix.

Vous vous écoutez, M. Gates ?

Je m’écoute toujours.

Fragment 6 :

…Je veux revenir sur l’effet de message que vous avez créé. Il est difficile pour nous de comprendre comment vous avez réussi… pourquoi tant de leaders dans leurs domaines ont suivi votre fausse science.

C’était une combinaison de choses. Beaucoup de gens sont de vrais croyants. Les scientifiques parlent, et ils croient. D’autres personnes voulaient de l’argent. On leur a versé de l’argent. Certains politiciens résistants ont été menacés. Nous avons montré l’exemple avec plusieurs assassinats. En construisant un consensus, vous atteignez un seuil où la marée est en votre faveur. Les gens vous suivent alors, par peur d’être excommuniés s’ils ne le font pas. On a fait comprendre aux dirigeants des médias que la pandémie était la porte d’entrée d’un système de gouvernance mondiale. Et le système était inévitable.

Qu’en est-il d’Anthony Fauci ?

C’est un petit homme, une pute, qui veut être accepté dans les cercles d’élite. Je l’ai recruté il y a longtemps…

Fragment 7 :

…Vous avez vous-même donné beaucoup d’argent à des sociétés de médias.

J’ai loué leur travail, je leur ai donné de l’argent, et ils m’ont montré leur loyauté. Vous voyez, la vie fonctionne par stimulus-réponse. Je me sers de ce principe dans le monde entier. Mes collègues et moi fournissons des stimuli calculés, et la population, dans tous les domaines de la vie, réagit comme nous le prévoyons.

Vous considérez les humains comme des machines.

Eh bien, ils le sont.

Mais vous et vos collègues ne le sont pas.

Nous sommes d’un ordre supérieur. Nous pouvons nous tenir en dehors du stimulus-réponse et actionner les leviers.

Quand vous êtes assis ici, M. Gates, vous ne croyez pas que vous confessez des crimes. Vous êtes fier de ce que vous avez fait.

Bien sûr.

Écoutez-moi attentivement maintenant. Nous en savons assez sur ce que vous êtes, pour vous condamner. Mais nous savons beaucoup plus que ça. Comme tout individu, tu as une dimension supérieure. Nous pourrions vous la montrer. Nous pourrions vous obliger à l’expérimenter. Si nous le faisions, vous vous désolidariseriez. Vous comprendriez vos propres actions maléfiques d’une manière indéniable.

…je n’aime pas entendre ça. De quoi parlez-vous ?

Je pense que vous avez une idée de ce que je veux dire. L’expérience que nous pourrions vous forcer à faire est une expérience à laquelle vous serez vous-même confronté, un jour. Pas dans votre vie actuelle. Plus tard, à un moment donné. On ne peut pas dire quand, mais ça arrivera.

Vous voulez dire qu’un pouvoir supérieur va me forcer à le faire ?

Non, M. Gates. C’est bien pire que ça. Vous vous l’imposerez à vous-même.

Pourquoi je ferais ça ?

Parce que bien que vous ayez embrassé le crime et la destruction, quelque part en vous, vous comprenez aussi le Bien. Et dans cette compréhension, vous pouvez potentiellement vivre dans la joie et la paix. Comme tout le monde.

Ça n’a pas de sens.

Pourtant vous commencez à voir que cela à bien du sens.

Je n’aime pas ça.

Pourquoi aimeriez-vous ça, vu ce que vous avez fait de votre vie et de celle des autres ?

Vous essayez de me faire croire à des absurdités religieuses.

C’est loin d’être le cas. Nous n’avons pas d’églises dans cet endroit, M. Gates. Nous n’avons pas besoin de foi dans les choses invisibles. Nous avons déjà vu.

Je veux rentrer chez moi.

Vous le ferez.

Vous n’allez pas me tuer ?

Pour que tu puisses nous reprocher ce que tu t’infliges à toi-même ?

Vous êtes fou.

Nous avons ouvert un peu de lumière ici pour vous.

Pourquoi ?

Parce que bien que nous soyons un peuple juste et que nous n’ayons pas besoin de justice pour nous-mêmes, nous l’exercerons au nom des autres, qui ont été blessés.

C’est ridicule.

Même les pires meurtriers ont en eux la possibilité de devenir bons. Ils peuvent traverser ce pont.

Non, ils ne le peuvent pas.

Nous pouvons entendre des voix, M. Gates. Beaucoup de voix nous disent de vous mettre à mort.

Alors pourquoi ne le faites-vous pas ? Allez-y.

Nous faisons quelque chose de bien pire. Nous imposons cette sentence… votre destin est dans vos propres mains. Cette sentence est réelle. Elle a du poids. Comme vous allez le découvrir.

Elle est dénuée de sens.

Emmenez M. Gates. Il est sur le point de tomber malade. Ramenez-le chez lui…

Vous n’avez pas le courage de me tuer. Vous êtes des lâches.

J’ai entendu ce refrain de centaines de meurtriers dans cette cour… ils veulent tous une mort rapide. Nous ne la leur donnons pas…

Tuez-moi.

Ramenez-le à la maison.

Vous avez fait quelque chose à mon esprit.

Nous avons entendu la confession de vos crimes. Emprisonnement massif et meurtre.

Alors, détruisez-moi. Je m’en remets à la pitié de cette cour.

Au revoir, M. Gates.

Ce n’est qu’un rêve.

Si c’est le cas, c’est votre rêve, vous devez vous demander pourquoi vous le faites…

Jon Rappoport

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