Par Jon Rappoport − Le 13 février 2020 − Source No More Fake News
Il y a des gens malades, des gens qui meurent… combien de gens ? On ne sait pas… Bouclage total des villes chinoises… Des habitants essaient de s’échapper…
Pour le grand public, c’est la preuve du coronavirus, non pas parce que ce public sait que le virus en est la cause, la preuve scientifique étant hors de propos… Le virus est la cause parce que ça doit être ainsi. Qu’est-ce que cela pourrait être sinon ?
Un avion rempli de passagers explose juste après le décollage et tombe dans l’océan. La cause doit être un moteur défaillant. Sinon quoi ? Un missile ? Ridicule !
Un directeur de la CIA est retrouvé face contre terre dans un marais le long d’une rivière. Il est mort d’une crise cardiaque. Qu’est-ce que ça pourrait être d’autre ?
Alors, quand l’intense pollution atmosphérique à Wuhan provoque des maladies pulmonaires, alors que le principal symptôme du coronavirus est censé être une maladie pulmonaire et que les habitants de la ville tombent malades et meurent de maladies pulmonaires bien avant l’apparition du virus, faut-il en tenir compte ?
Évidemment non. Ce doit être le virus.
Quand des gouvernements et des grandes sociétés utilisent le virus comme une couverture pour masquer et expliquer leurs crimes contre les populations, depuis des décennies et des décennies, ça compte ?
Lorsque par le passé de prétendues épidémies − par exemple, le virus du Nil occidental (2002), le SRAS (2003), la grippe porcine ou A(H1N1) (2009), le Zika (2014) − se sont révélées être des pétards mouillés sans aucune preuve, est-ce que ce passé compte ?
Évidemment non. Ce doit être le virus. Qu’est-ce qui sinon pourrait en être la cause ?
Un visage que regardent des millions de gens sur leur écran de télévision a dit «coronavirus». Affaire classée.
2009, à La Gloria, au Mexique. Dans une gigantesque ferme porcine [Granjas Carroll, NdT], les excréments et l’urine des porcs sont déversés dans des «lagunes» si grandes qu’on peut les voir depuis l’espace. Le soleil les chauffe et des émanations s’en dégagent. Des produits chimiques toxiques sont régulièrement pulvérisés et étalés sur les lagunes comme si c’était de la crème fouettée. Des travailleurs tombent malades. De nouveaux travailleurs sont amenés pour pulvériser des produits chimiques encore plus toxiques. Des travailleurs meurent. Alors, les centres de contrôle des maladies (CDC) envoient leurs chasseurs de virus pour chercher le germe qui cause la « mystérieuse » maladie. Ils prétendent trouver un « virus de la grippe porcine ». Ça doit être « le » virus. Qu’est-ce que cela peut être d’autre ? La merde et l’urine de porc en décomposition ? Les couches de produits chimiques toxiques ? Ne soyez pas ridicule !
Plus tard, à l’été 2009, la journaliste d’investigation de CBS Sharyl Attkisson découvre que l’écrasant pourcentage d’échantillons de tissus de patients américains atteints de la grippe porcine reviennent des laboratoires sans aucun signe de grippe. Le virus en est absent.
Malgré ça, bien entendu, on pouvait lire ceci sur healthwyze.org [blog dissident tenu par la famille Corriher, NdT] à l’été 2009 :
L’Office américain des brevets et des marques (USPTO) a un brevet pour un vaccin contre le virus de la grippe porcine génétiquement modifié et ses utilisations (brevet n° 8124101). Il a été déposé en 2005 pour approbation. Les fabricants de la variante humaine du virus de la grippe porcine ont attendu que le brevet soit finalement approuvé en janvier 2009, avant de lâcher le virus dans la nature. Les fabricants du vaccin contre la grippe porcine avaient entamé le long processus de dépôt de brevet bien avant que la grippe porcine n’existe prétendument, ce qui signifie que l’épidémie n’était pas accidentelle et que le virus n’est clairement pas naturel. Les brevets ne s’appliquent qu’aux objets fabriqués par l’homme, et les objets naturels ne peuvent être brevetés. L’existence du virus n’a été rendue publique qu’après l’approbation de son brevet de vaccin, après avoir attendu patiemment trois ans pour cela. La pandémie a été déclarée seulement cinq mois après l’approbation du brevet, en juin 2009. La formidable hystérie qui a suivi l’épidémie a été encouragée par les mêmes groupes qui avaient inventé ce virus génétiquement modifié. Le mot « inventé » a par ailleurs été utilisé pour décrire le virus dans la demande de brevet.
Mais qu’en savent-ils ? À l’époque, on disait que le virus de la grippe porcine − qui ne pouvait même pas être trouvé chez la grande majorité des patients américains − était en fait le germe d’une guerre biologique. Cela vous rappelle quelque chose ? Et pourtant, la grippe porcine fut un pétard mouillé.
Une autre épidémie qui allait contaminer le monde entier ? Le virus du Nil occidental (2002). Un autre pétard mouillé. Mais pas sur cet article de whale.to [Site se voulant un répertoire des conspirations, NdT] :
Aucune de ces théories [sur le virus du Nil occidental] n’a dissuadé le sénateur du Vermont Patrick Leahy d’exhorter les responsables fédéraux à vérifier si l’introduction du virus n’était pas un attentat terroriste. Le 12 septembre 2002, M. Leahy a déclaré :
« Je pense que nous devons nous poser la question : est-ce vraiment le fruit du hasard si le taux d’infection par le virus augmente autant ? ou bien est-ce quelque chose qui est testé comme une arme biologique contre nous ? ».
Cela vous rappelle quelque chose ?
Et voici un extrait tiré de rediff.com [site d’information indien, NdT], sur une autre épidémie qui a fait pschitt, le SRAS 2003 – 800 personnes sont mortes sur 7 milliards :
Le virus de la pneumonie atypique, mieux connu sous le nom de SRAS, ou syndrome respiratoire aigu sévère, a été créé artificiellement, peut-être comme une arme bactériologique, a déclaré Sergei Kolesnikov, académicien de l’Académie russe des sciences médicales, lors d’une conférence de presse dans la ville sibérienne d’Irkoutsk jeudi, a rapporté l’agence de presse russe RIA Novosti.
Selon Kolesnikov, le virus de la pneumonie atypique est une synthèse des virus de la rougeole et de la parotidite infectieuse ou des oreillons, dont le composé naturel est impossible. Cela ne peut se faire qu’en laboratoire, a-t-il dit.
Kolesnikov a ajouté qu’en créant des armes bactériologiques, un vaccin anti-viral protecteur est, en règle générale, élaboré en même temps, de sorte qu’un médicament pour la pneumonie atypique pourrait bientôt apparaître.
Il n’a toutefois pas exclu la possibilité que le virus se soit propagé accidentellement à la suite d’une « fuite non autorisée » d’un laboratoire d’armes biologiques.
Cela vous rappelle quelque chose ? Et pourtant, cette épidémie fut un pétard mouillé.
En 1987, un médecin m’appelle, alors que j’écris mon premier livre, AIDS INC. Il me dit qu’il a construit une petite clinique pour le SIDA où un groupe de patients très pauvres peut se reposer dans un environnement propre, manger des aliments nutritifs, et cultiver des haricots pour les vendre à un prix modique. Ce médecin s’informe sur les médias mainstream. Il ne donne aucun traitement à ses patients. Il sait que « le » virus, le VIH, est réputé pour être un tueur sans pitié. Mais, me dit-il, tous ses patients se sont rétablis ; ils n’ont plus de symptômes. Il est perplexe, confus et désemparé. Il me demande : « Que dois-je faire ensuite ? » Il sait que les médicaments contre le Sida sont très toxiques. Il pressent que les donner à ses patients maintenant en bonne santé serait une catastrophe. Mais, voyez-vous, ça doit être le virus. Qu’est-ce qui sinon pourrait amener ces personnes à devenir malades dans un premier temps ? Boire l’eau de leur village, une eau mélangée directement avec les eaux usées ? La faim ? La famine ? Ne soyez pas ridicule.
Dans une interview, un célèbre médecin new-yorkais me dit que tous les scientifiques sont d’accord pour dire que le VIH est la cause du SIDA, parce que… les scientifiques qui ne sont pas d’accord ne peuvent pas faire publier leurs résultats. Il me dit en substance que tous les scientifiques en vue sont d’accord.
Il y a quelques années, lors de l’hystérie autour du virus Zika – une autre épidémie en carton, de microcéphalie cette fois, qui ne devait pas manquer de « décimer la population » -, des chercheurs situés dans l’épicentre, au Brésil, ont rapporté que seuls 10 à 15 % des patients Zika ont une trace du virus ; ils ne le trouvent pas chez les autres patients. Cela revient à admettre sans ambages que Zika est éliminé comme cause de maladie chez les femmes enceintes. Mais personne n’écoute. Ça doit être le virus. Qu’est-ce que ça pourrait être sinon ?
Eh bien, il s’avère que n’importe quelle blessure, lésion ou traumatisme sur une mère enceinte, peut faire que son bébé naisse avec une tête plus petite et des lésions cérébrales, ce qu’on appelle une microcéphalie.
Mais ici, dans un article de thesleuthjournal.com [spécialisé dans les conspirations et la médecine naturelle, NdT] datant de 2016, nous lisons ceci :
[Le virus Zika] est propagé par des moustiques génétiquement modifiés. Est-ce le dernier exemple de guerre biologique des États-Unis ? L’histoire sordide de l’Amérique le suggère.
Dans l’hypothèse où le virus aurait été diffusé de cette manière, manifestement, ça ne fonctionnait pas pour déclencher une maladie. C’était un échec. Mais ça DOIT être le virus. Sinon quoi d’autre ?
Et bien entendu, l’Organisation mondiale de la santé a alors appuyé sur le bouton Hystérie. Extrait de marketwatch.com, 28 janvier 2016 :
Lundi, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) réunira un comité d’urgence à Genève pour discuter du virus Zika, transmis par les moustiques, qui, selon le directeur de l’organisation, se propage de manière « explosive » et qui, selon de nombreux médecins et responsables de la santé, est lié à une épidémie sans précédent de bébés nés avec une petite tête au Brésil… « Le niveau d’alerte est extrêmement élevé », a déclaré le directeur de l’organisation Margaret Chan, dans son discours au conseil exécutif de l’agence de santé publique… L’annonce de l’OMS souligne la rapidité avec laquelle un virus qui a commencé comme une obscure maladie tropicale affectant l’Afrique puis plusieurs îles éloignées du Pacifique occidental s’est transformé en un problème de santé international majeur, en particulier dans les Amériques.
Pétard mouillé. Et si l’OMS pouvait, aujourd’hui, en 2020, susciter encore plus de craintes d’une pandémie de Zika, ne croyez-vous pas qu’elle le ferait ? Elle même a rendu l’âme sur cette campagne !
Mais ça doit être le virus. Sinon quoi d’autre ?
Peut-être une litanie de mensonges titanesques.
Jon Rappoport
Traduit par Sistemics, relu par Kira pour le Saker Francophone