Par Emmanuel Leroy – Février 2017
Avant de répondre à cette question, faisons l’état des lieux de l’agenda de la mondialisation et tentons d’y voir plus clair dans le maelström planétaire qui a été déclenché depuis le vote du Brexit et l’élection de Donald Trump.
En guise de préambule et d’avertissement, je préviens tout de suite le lecteur qu’il s’agit d’un article profondément anticonformiste susceptible de modifier un état de conscience habitué à ingérer quotidiennement sa dose de désinformation massive des médias de grand chemin selon l’excellente formule utilisée par Slobodan Despot et son très décapant site de réinformation.
Pour bien comprendre ce qui se passe et ne pas se laisser abuser par les tireurs de ficelle il convient d’avoir une vision de la longue histoire et de ne pas oublier l’essentiel : la mondialisation est la volonté de domination de l’ensemble de l’humanité par une toute petite oligarchie de quelques milliers de personnes ayant adhéré à ce que j’ai nommé l’idéologie anglo-saxonne. Cette idéologie est en place depuis des siècles et a pris naissance dans l’Angleterre élisabéthaine à la fin du XVIe siècle. D’une certaine manière, on peut dire que l’oligarchie anglo-saxonne se veut l’héritière de l’empire de Rome, et comme elle, souhaite l’asservissement du monde. La différence essentielle entre ces deux impérialismes réside selon moi dans le fait que Rome affichait clairement sa volonté de domination sur les autres peuples alors que les Anglo-Saxons tentent d’avancer masqués sous la bannière du libéralisme et des droits de l’homme, et ma foi, y réussissent assez bien si j’en juge par le nombre de gens totalement inconscients de la réalité de cette vision conquérante du monde .
Cela posé, et en prenant au hasard les deux derniers présidents de la République française (Nicolas Sarkozy et François Hollande), les deux derniers présidents de la BCE (Jean-Claude Trichet et Mario Draghi), les deux derniers directeurs français du FMI (Christine Lagarde et Dominique Strauss-Kahn) ou les deux derniers présidents de la Commission européenne (José Barroso et Jean-Claude Juncker), aucune de ces personnalités n’est anglo-saxonne et pourtant toutes ont joué ou jouent encore la carte de la mondialisation, c’est-à-dire la disparition progressive des frontières et des nations, pour parvenir au but final de contrôle intégral de l’humanité par cette élite auto proclamée.
Comment un Français, un Italien, un Portugais ou un Luxembourgeois deviennent-ils « Anglo-Saxons » ? Eh bien tout simplement comme un Ibère ou un Numide devenait « Romain » après avoir fait allégeance aux valeurs que promouvait la Ville éternelle. Il n’est donc pas nécessaire d’être né à Londres ou à Baltimore pour être adoubé par ceux qui se considèrent comme les maîtres du monde. En revanche, il est préférable, mais non obligatoire, d’être passé par les grandes écoles et les universités ad hoc… pour être vraiment reconnu par les donneurs d’ordres.
Comme le savent parfaitement tous ceux qui aspirent à la domination, et comme on l’enseigne aussi dans toutes les bonnes écoles de renseignement il n’existe que trois moteurs principaux pour manipuler un homme : l’idéologie, le sexe et l’argent.
Pour l’idéologie, c’est assez simple à comprendre, il suffit de repérer parmi les jeunes gens brillants, ceux qui adhèrent sans réserve à la pensée dominante puis de les orienter vers les bonnes écoles françaises (Sciences-po, HEC, ENA…) puis anglo-saxonnes (London School of economics, Oxford, Harvard, Stanford ou encore Yale…) et après un éventuel petit stage complémentaire à la French American Foundation vous obtiendrez de parfaits petits soldats de l’idéologie dominante comme une Christine Lagarde ou un François Hollande. Bien évidemment, ce genre de cursus peut se faire plus naturellement encore par tradition familiale – il est des familles qui roulent pour le Système depuis plusieurs générations et qui connaissent parfaitement les codes et les filières pour faire réussir leur progéniture – et la transmission par héritage familial présente l’avantage de se faire aisément mais présente aussi l’inconvénient de manquer de puissance de rétorsion en cas de nécessité de pression. D’où la préférence donnée aux deux autres moyens de contrôle des agents du Système lorsque les hautes autorités exigent de leurs commis des actes ignominieux ou contre-nature (déclaration de guerre, avortement, mariage pour tous, euthanasie…).
Pour le sexe, là c’est un peu plus tordu et les recrues que l’on fait dans ce domaine-là sont un peu moins glamour qu’un Emmanuel Macron moyen, quoique… Ici on rentre vraiment dans la face obscure des hommes. Les bonnes centrales de renseignement savent depuis la nuit des temps que les appâts d’une jolie femme, ou d’un jeune homme, peuvent aider à fournir une profusion de renseignements et que cela peut être un objet de chantage formidable pour ceux qui ne souhaitent pas que s’ébruitent leurs turpitudes sexuelles. Mais quand les hommes, et cela concerne aussi les femmes, s’abîment dans la sexualité débridée, les limites qu’ils peuvent atteindre ont été définies il y a bien longtemps par les Grecs dans le dualisme Eros/Thanatos.
De fait, l’affaire du Pizzagate dans laquelle semble s’être vautré le clan Clinton, démontre à l’envi jusqu’où peut pousser l’hubris quand elle s’empare des âmes. Mais pour ceux qui douteraient de la validité de cette piste, je leur suggère de découvrir ce courageux petit blog qui s’acharne depuis des années à dénoncer les réseaux pédo-criminels et leurs ramifications dans les hautes sphères de la société occidentale. Si vous croyez qu’un Dutroux ou un Fourniret étaient des criminels isolés, vous vous trompez. Ils n’étaient que les rabatteurs et les pourvoyeurs de victimes à leurs maîtres et commanditaires. Et quelle meilleure arme de chantage peut-on imaginer que la vidéo d’un homme politique en train d’abuser (et plus encore…) d’un(e) mineur(e) dans un lieu étrange. Pour mémoire, je vous invite à regarder ici ce court extrait du dernier film de Stanley Kubrick Eyes Wide Shut. Si vous pensez que ce film n’est dû qu’à la fantaisie et à l’imagination de l’artiste, vous avez le droit de le croire, moi je crois plutôt qu’il s’agit là d’un documentaire, et encore assez édulcoré, sur certains milieux particulièrement influents. Vous avez ici une analyse de qualité excellemment traduite sur ce que ce film ésotérique révèle.
L’argent, plus que le sexe encore, est le moyen le plus sûr de s’attacher les âmes faibles et il est utilisé aussi pour cela depuis son invention. Si l’on en croit la révélation de Philippe de Villiers au sujet de François Fillon et de son aveu sur le Bilderberg quand l’ancien Premier ministre révèle que ce sont « eux qui gouvernent » que nous avoue-t-il sinon qu’il est lui-même gouverné par ceux que François Hollande, sans doute la seule fois de sa vie politique où il fut bon et vrai, avait appelé la Haute finance. Quand on connait les liens qui unissent le candidat de la « droite » avec l’oligarque Marc Ladreit de Lacharrière ou avec Henri de Castries on comprend mieux comment fonctionne le Système et comment ce dernier s’attache la fidélité de ceux qu’il a corrompus.
Pour avoir une idée plus précise du degré profond de corruption qui atteint notre pays je vous suggère de lire cet excellent papier – une fois n’est pas coutume – du fétide journal vespéral sur la cartographie de la corruption privée et publique en France.
Mais tout cela ne nous dit pas pourquoi le Système jouerait la carte Marine Le Pen, alors qu’elle est la seule candidate officiellement opposée au mondialisme.
Pour comprendre cette hypothèse il faut remonter à mon avis à la crise financière de 2008, et plus précisément à la chute de Lehmann Brothers le 15 septembre 2008. Cette banque était un des piliers du Système, une des plus grandes banques d’affaires mondiales qui se partageaient le butin de la spéculation à l’échelle mondiale dans ce jeu de casino mortel. Pour comprendre un peu la psychologie de ces banquiers hors normes et hors sol, je crois que le seul parallèle que l’on peut établir est celui que l’on peut faire avec l’étude de la piraterie, et notamment à son âge d’or aux XVIIe et XVIIIe siècle. Cette confrérie – tiens ! encore des frangins ! – de boucaniers qui se nommaient eux-mêmes les Frères de la côte, réunissait des pirates de toutes nationalités dont bien sûr des Anglais, mais aussi des Français, des Hollandais ou encore des Espagnols. Ces pirates travaillaient pour leur compte, c’est-à-dire qu’ils pillaient les navires marchands qui leur tombaient sous la main, comme un banquier vous pille votre argent qu’il est censé gérer. Mais ces pirates pouvaient fort bien s’allier lorsqu’un navire de guerre français ou espagnol menaçait de les couler.
Mais dans la crise des subprimes de 2008, les pertes furent tellement abyssales que dans le jeu de chaises musicales auquel s’amusaient les banquiers de grand chemin, il était naturel qu’il y eût des perdants. Et ce fût Lehmann Brothers, too big to fail, mais qui est tombé par terre quand même et que les oligarques états-uniens n’ont pas essayé de sauver. Et à mon avis, les amis londoniens de Lehmann Brothers n’ont pas du tout apprécié. Et selon moi, ce petit meurtre entre amis a laissé des traces et a peut-être conduit nos « amis » mondialistes de Londres et de New-York à entamer une guerre des gangs comme de vulgaires malfrats marseillais.
En d’autres termes, il s’est produit en 2008, selon mon hypothèse, une scission dans le Système entre une branche londonienne qui a déclaré la guerre au dollar – appelons cette branche le camp des real-mondialistes on verra pourquoi un peu plus avant – et une branche états-unienne qui fera tout pour maintenir l’hégémonie du dollar et que l’on pourrait appeler le camp archéo-mondialiste.
Mais comme les choses ne sont jamais simples et qu’à l’heure de la mondialisation les trajets entre Londres et New-York sont assez aisés, vous pouvez trouver à la City des archéo-mondialistes et à Wall Street des real-mondialistes. Mais tout cela n’empêche pas ce petit monde de se faire une guerre sans merci comme en témoigne l’épidémie de morts subites absolument hallucinante que l’on peut observer sur la planète financière depuis quelques années.
Cette déclaration de guerre des real-mondialistes contre le dollar signe le constat d’échec des néo-conservateurs états-uniens dans leur tentative d’achever la conquête du monde. En effet l’hyperpuissance états-unienne a disposé d’une fenêtre de tir assez courte mais réelle (entre 1990 et 2000) pour achever la conquête du heartland en soumettant Moscou. Et de fait, sous Eltsine, Washington et Londres pouvaient considérer qu’ils avaient emporté la partie tant la Russie semblait faible et soumise aux diktats occidentaux. Mais le redressement spectaculaire de la Russie entrepris au tournant du millénaire par Vladimir Poutine aura ruiné tout espoir des Occidentaux de remettre Moscou à genoux.
Quand on a intégré cette nouvelle vision du monde qui consiste à accepter l’idée que le Système n’est pas monolithique, qu’il est entré en crise et s’affronte dans une guerre fratricide qui oppose ces deux factions, on comprend mieux certains faits à l’aide de ce nouvel éclairage. L’affaire Strauss-Kahn par exemple est incompréhensible si l’on ne dispose pas de cette grille de lecture. On peut bien sûr se contenter des apparences sur le tropisme connu du personnage pour la bagatelle, mais à y regarder de plus près, DSK était chargé au FMI de mettre en place la future monnaie mondiale à travers le montage des DTS (droits de tirage spéciaux) et il avait pour cela le soutien de la City, de la Chine, de la Russie (Medvedev régnant), de la Libye et de tous les pays qui souhaitaient sortir de l’orbite du dollar, il y en a un certain nombre, comme par exemple l’Iran et bien d’autres encore…
Toute action visant à mettre un terme à l’hégémonie du dollar ne peut être vue par l’oligarchie états-unienne, désormais archéo-mondialiste, que comme une déclaration de guerre. Voilà pourquoi Dominique Strauss-Kahn a été mis à terre et voilà pourquoi les USA ont déclaré une guerre par procuration contre la Libye par Sarkozy et Cameron (archéo-mondialistes eux aussi) interposés.
Ce nouvel éclairage des faits permet là encore de mieux comprendre le Brexit qui a pris de court tous les archéo-mondialistes (États-uniens et Européens). Pour ceux qui souhaiteraient plus de détails (voir ici mon analyse sur le Brexit et l’élection de Trump). Pour mémoire, je rappellerai ici le soutien tout en finesse que la reine d’Angleterre a apporté au Brexit.
Pour mieux saisir la complexité de la nouvelle donne et pour bien comprendre que cette mondialisation 2.0 n’opposera pas Londres et Washington, il convient d’examiner les positions subtiles d’un vieux cheval de retour qui n’a jamais vraiment quitté la scène, à savoir l’illustrissime et insubmersible Henry Kissinger. Depuis plusieurs mois, ce dernier multiplie les signaux discrets de rapprochements avec la Russie et on a même entendu récemment sur les ondes de France Culture son factotum français, le journaliste Alexandre Adler, venir enseigner la nouvelle doxa philo-poutinienne à un Guillaume Erner qui n’en revenait pas.
Et l’on se trouve là, en plein cœur de cet extraordinaire paradoxe, où le changement brutal de stratégie des real-mondialistes, c’est-à-dire ceux qui sont partisans d’un retour à la bonne vieille conception westphalienne des rapports entre nations, impose le remplacement du logiciel de la mondialisation 1.0 à une classe politico-médiatique européenne qui en est resté à un attachement viscéral à ce qu’ils croient être la Mecque du libéralisme, New-York, alors qu’ils n’ont toujours pas compris que la véritable Mecque, c’est la City. Elle est la Matrice, la gardienne des dogmes et elle ne fait ici que reprendre la prééminence qu’elle avait déléguée depuis un siècle environ (depuis 1913 pour être précis, [date de fondation de la Réserve Fédérale des États-Unis, Ndlr]), à ce qu’elle considère toujours comme son dominion américain.
Oui mais tout ça ne nous explique toujours pas pourquoi le Système jouerait la carte Marine Le Pen.
A l’instar de ce qui s’est passé en Angleterre et aux États-Unis, on assiste indubitablement à un réveil des peuples exaspérés par les conséquences, hélas Ô combien prévisibles de la mondialisation, à savoir la paupérisation des populations occidentales et leur disparition programmée par les invasions migratoires. Le Système, dans toutes ses composantes, est parfaitement conscient de cette situation qu’il a engendrée mais, pour faire simple, on pourrait dire que les tenants de la mondialisation 1.0 ne voient aucune raison de changer une équipe qui gagne – ils tiennent les rênes du pouvoir médiatique, financier, culturel et politique et n’entendent pas laisser leurs places à d’autres – alors que les partisans de la mondialisation 2.0 jouent à mon avis un jeu plus subtil où il serait intéressant de laisser un certain nombre de mouvements populistes prendre le pouvoir dans les pays qui sont le plus en pointe dans le rejet de la mondialisation – et la France en fait partie – de manière à leur faire porter le chapeau de la responsabilité de la crise financière inéluctable dont on repousse aujourd’hui l’échéance en créant artificiellement des masses monétaires virtuelles, tant à Francfort qu’à New-York ou Tokyo.
Kissinger et ses mandants real-mondialistes, comme Mme Clinton et ses commanditaires archéo-mondialistes, poursuivent le même but de domination mondiale, ce que leurs cousins Britanniques ont baptisé voilà longtemps Le Grand Jeu. Le but est toujours le même, parvenir à la gouvernance mondiale mais les règles du jeu ont changé à l’initiative de M. Kissinger et de ses amis. Fini le Monopoly, on revient au bon vieux Risk, ce jeu de stratégie bien classique et dont la parfaite maîtrise a permis aux Britanniques de dominer le monde jusqu’à la première guerre mondiale.
Dans la partie d’échecs qui se déroule en France, même si les divisions entre real et archéo-mondialistes ne sont pas aisées à discerner ici, on peut observer que les mondialistes 1.0, largement majoritaires dans l’oligarchie française, avaient joué dans un premier temps la carte Juppé. Comme ces gens sont généralement prudents, ils ne mettent jamais tous leurs œufs dans le même panier et ils avaient donc préparé une candidature de secours, normalement plutôt programmée pour l’élection de 2022 avec le bébé Rothschild, à savoir Emmanuel Macron.
Les real-mondialistes, fidèles à leur réorientation vers la conception géopolitique classique de la tradition westphalienne, ont sabordé la candidature Juppé (mondialiste 1.0) et poussé leur pion Fillon, mondialiste 2.0 (souverainiste mais sans plus, relativement philo russe mais sans excès, un peu chrétien mais pas trop, favorable à un peu d’avortement et vice-versa, etc.), bref l’idiot utile parfait à qui on pouvait faire supporter la responsabilité de la future crise financière en déconsidérant tous les aspects positifs qu’il aura été censé incarner, le retour de la tradition, du christianisme, de la souveraineté…
Mais la lutte est âpre et l’envie de garder les bonnes parts du gâteau irrésistible, ce qui explique la sortie brutale des boules puantes sur les turpitudes de M. Fillon et de Pénélope, car au risque de décevoir les adeptes de la bien-pensance, oui, il s’agit bien d’un complot, car à qui fera-t-on croire que ces péchés véniels n’étaient pas connus depuis longtemps par Bercy, où officia un certain Macron. Donc oui, je crois que les archéo-mondialistes ont rendu la monnaie de leur pièce aux mondialistes 2.0 en faisant exploser en plein vol leur champion. Car n’en doutons pas, il ne se relèvera pas de cette chausse-trappe.
Comme le temps est compté jusqu’au premier tour de la présidentielle, il ne reste plus qu’une option aux partisans du real-mondialisme, c’est de jouer la carte populiste, avec les mêmes attentes qu’ils avaient avec leur joker anti-Système soft, sauf que là, le jeu devient plus risqué car, quoiqu’en pensent ses détracteurs, je suis assez convaincu de la ligne dure anti-Système de Marine Le Pen et de sa volonté sincère de restaurer la souveraineté de la France et donc d’être l’ennemie absolue de tous les mondialistes 1.0 et 2.0 confondus.
Ceux qui vont jouer la carte Marine, et il y a un certain nombre de faits significatifs qui commencent à indiquer que cette dynamique s’est mise en marche, savent très bien que celle-ci n’a aucune chance face à un Macron, ou même un Hamon. La seule voie qu’il leur reste est de pousser à fond la candidature Mélenchon pour espérer un deuxième tour où Marine Le Pen puisse l’emporter. Je ne serais donc pas surpris de voir dans ces prochains jours – cela a même commencé – une volée de boules puantes lancées contre Emmanuel Macron. Quant à ce deuxième tour inédit en France, s’il survient, entre un candidat trotskyste et une candidate souverainiste, il faudra juste se souvenir qu’il y a un lien ténu entre les deux et que ce lien s’appelle Patrick Buisson (voir ici et là).
Il n’est jamais aisé de faire des pronostics en politique, car tout peut arriver, y compris l’impensable, mais justement l’impensable doit être pensé.
Emmanuel Leroy
Note du Saker Francophone Après une longue analyse où il développe sa vision du Système, l'auteur se livre à un exercice de prospective politique en vue des élections présidentielles françaises. Il reste trois mois pour voir si les visions d'Emmanuel Leroy vont se réaliser ou si la réalité va dépasser la fiction.
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