Par Justus R. Hope – Le 10 juin 2021 – Source The Desert Review
Le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA) a intenté un procès contre la scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan, l’accusant dans un mémoire citant 71 articles d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les trompant sur l’Ivermectin.
L’article 56 stipule : « Que votre tweet trompeur du 10 mai 2021 contre l’utilisation de l’Ivermectin a eu pour effet que l’État du Tamil Nadu a retiré l’Ivermectine du protocole le 11 mai 2021, un jour seulement après que le gouvernement du Tamil Nadu a indiqué que cette substance pouvait être utilisée pour le traitement des patients atteints du COVID-19. »
https://science.thewire.in/health/tn-revises-protocols-leaves-out-Ivermectin-for-covid-patients/
L’avocat Dipali Ojha, avocat principal de l’Association du barreau indien, a menacé de poursuivre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes et ses omissions. Le mémoire accuse Swaminathan de mauvaise conduite en utilisant sa position en tant qu’autorité sanitaire pour faire avancer l’agenda d’intérêts spéciaux et de maintenir un Autorisation d’Utilisation Urgente pour la lucrative industrie des vaccins.
Les accusations spécifiques portent sur l’organisation d’une campagne de désinformation contre l’Ivermectin et la publication de déclarations dans les médias sociaux et grand public pour influencer à tort le public contre l’utilisation de l’Ivermectin malgré l’existence d’une grande quantité de données cliniques montrant sa grande efficacité dans la prévention et le traitement du COVID-19.
En particulier, le mémoire du barreau indien fait référence aux publications et aux preuves évaluées par les pairs et compilées par le groupe de dix membres de la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) et par le groupe de 65 membres du British Ivermectin Recommendation Development (BIRD) dirigé par le Dr Tess Lawrie, consultant de l’OMS et expert en méta-analyse.
Le mémoire cite les cas d’hôpitaux du procureur américain Ralph C. Lorigo à New York où des ordonnances judiciaires ont été nécessaires pour que les patients mourants du COVID reçoivent l’Ivermectin. Dans de nombreux cas de patients comateux, après avoir reçu l’Ivermectin ordonnée par le tribunal, les patients se sont rétablis. En outre, l’Association du barreau indien a cité des articles antérieurs publiés dans ce forum, The Desert Review.
L’avocat Ojha a accusé l’OMS et le Dr Swaminathan, dans les articles 60 et 61, d’avoir trompé et induit en erreur le peuple indien tout au long de la pandémie, du port du masque à la disculpation de la Chine quant aux origines du virus.
Le monde s’éveille progressivement à votre approche absurde, arbitraire et fallacieuse consistant à présenter des faits concoctés comme étant une ‘approche scientifique’. Alors que l’OMS s’affiche comme une organisation qui sait tout, elle s’apparente à l’empereur vaniteux qui porte des vêtements neufs, alors que le monde entier a déjà compris que l’empereur n’a pas de vêtements du tout.
Le mémoire accusait l’OMS d’être complice d’une vaste campagne de désinformation. L’article 61 déclare : « La FLCCC et le BIRD ont fait preuve d’un courage exemplaire en constituant une force formidable pour relever le défi de la désinformation, de la résistance et de l’accusation des lobbies pharmaceutiques et de puissants intérêts dans le domaine de la santé comme l’OMS, les NIH, les CDC et les régulateurs comme la FDA américaine. »
Le Dr Swaminathan a été accusé pour sa malfaisance en discréditant l’Ivermectin afin de préserver l’Autorisation d’Utilisation en Urgence pour l’industrie des vaccins et des produits pharmaceutiques. Le point 52 se lit comme suit : « Il semble que vous ayez délibérément opté pour la mort de personnes pour atteindre vos objectifs inavoués, et cela constitue un motif suffisant pour engager des poursuites pénales à votre encontre. »
L’Association du barreau indien a publié une mise à jour sur son site Web, le 5 juin 2021, notant que le Dr Swaminathan avait supprimé son désormais célèbre tweet. Ils ont écrit : « Cependant, la suppression du tweet ne sauvera pas le Dr Soumya Swaminathan et ses associés de la poursuite pénale qui sera lancée par les citoyens avec le soutien actif de l’Association du barreau indien. »
Dans cette mise à jour, l’avocate Dipali Ojha a précisé la nature de l’action prévue :
L’Association du barreau indien a prévenu d’une action en vertu de la section 302 etc. du Code pénal indien contre le Dr Soumya Swaminathan et d’autres, pour le meurtre de chaque personne décédée en raison de l’obstruction du traitement efficace des patients atteint de COVID-19 par l’Ivermectin. La peine prévue par la section 302 du Code pénal indien est la peine de mort ou l’emprisonnement à vie.
Il a également écrit : « Après avoir reçu ledit avis, le Dr Soumya Swaminathan a fait marche arrière et a supprimé son tweet. Cette démarche prouve la fausseté de la recommandation de l’OMS contre l’ivermectin pour le COVID-19. La malhonnêteté de l’OMS et le geste du Dr Soumya Swaminathan, qui a supprimé son tweet litigieux, ont été constatés par les citoyens du monde entier, la nouvelle ayant été largement relayée par les médias sociaux. En supprimant le tweet, le Dr Soumya Swaminathan a prouvé ses intentions malhonnêtes. »
Le monde entier a été témoin de l’efficacité de l’ivermectin contre la deuxième vague mortelle qui a touché l’Inde, car les États qui l’ont adoptée ont vu leurs épidémies s’éteindre rapidement, contrairement aux États qui ne l’ont pas fait.
Parmi les exemples les plus marquants, citons les régions de Delhi, de l’Uttar Pradesh, de l’Uttarakhand et de Goa où les cas ont chuté respectivement de 98 %, 97 %, 94 % et 86 %. En revanche, le Tamil Nadu a choisi de ne pas utiliser l’Ivermectin. En conséquence, le nombre de cas a explosé et est devenu le plus élevé de l’Inde. Les décès au Tamil Nadu ont été multipliés par dix.
Le Tamil Nadu s’est publiquement appuyé sur les conseils du Dr Swaminathan pour revenir sur son choix initial de l’Ivermectin, le lendemain du jour où elle a déconseillé son utilisation dans un tweet posté le 10 mai sur les médias sociaux. En conséquence directe, le Tamil Nadu a connu une recrudescence des décès et des maladies dus au COVID qui continue à ce jour.
L’Association du barreau indien a osé engager une procédure judiciaire historique contre une autorité de santé publique pour dénoncer la corruption et sauver des vies. Comme les tribunaux aux États-Unis se sont avérés être la force salvatrice pour garantir le droit d’un patient à recevoir de l’Ivermectin, un tribunal en Inde fait maintenant de même.
Les poursuites pénales à l’encontre des responsables de la santé publique enverront un signal fort : les campagnes de désinformation entraînant la mort ont des conséquences. Peut-être cette voie finira-t-elle par briser l’étau de la désinformation et de la censure qui pèse sur l’utilisation de médicaments adaptés pour sauver des vies. Peut-être verrons-nous d’autres pays suivre l’exemple de l’Inde, tant en médecine qu’en droit.
Justus R. Hope, MD
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone
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