Par James Howard Kunstler – Le 9 juillet 2021 – Source kunstler.com
Conseil aux esprits hésitants : lorsque « Joe Biden » et Kamala Harris se présentent à votre porte pour vendre des vaccins, traitez-les comme vous le feriez, disons, avec un couple de Témoins de Jéhovah vous proposant des magazines de la Tour de Garde : « Merci, mais votre organisation ne m’intéresse pas… et veuillez me rayer de votre liste de diffusion. Passez une bonne journée ! » et clac … (bruit d’une porte qui se ferme).
Quelque chose me dit qu’il reste encore trop de personnes saines d’esprit et ayant le sens de l’humour dans ce pays tourmenté pour que les larbins de l’Éveil « progressiste » parviennent à exercer le contrôle total qu’ils recherchent sur les cent millions, environ, qui commencent à se dire : « Vous savez, j’aimerais bien récupérer mon pays ». Et de quel pays s’agit-il ? C’était le pays que nous étions avant que la « Communauté » des services de renseignement ne prenne le pouvoir, au service d’une élite politique totalement corrompue qui gère le système comme s’il s’agissait de sa caisse enregistreuse personnelle.
Ce pays que j’aimerais retrouver… pour commencer, le pays qui valorisait l’État de droit. Oui, je sais, c’est un peu fort, l’État de droit, comme si l’on invoquait le cliché d’une jeune fille en déshabillé, avec les yeux bandés , brandissant une balance dans une main et une épée dans l’autre. Je pense plutôt à un juge en chair et en os, peut-être un homme corpulent avec de mauvais genoux, par exemple à la cour fédérale de Washington, qui oserait rejeter les poursuites politiques malveillantes de personnalités comme le général Flynn ou le journaliste Julian Assange… ou à un FBI qui ferait un signalement criminel pour sédition contre le sénateur Mark Warner… ou à un rédacteur en chef de journal qui pourrait être intéressé par le lien entre l’équipe Lawfare de Marc Elias chez Perkins Coie et la Central Intelligence Agency. On pourrait continuer à l’infini avec des hypothèses piquantes. On n’a pas vu autant de méfaits dans une même politique depuis Berlin, en 1938.
Quoi qu’il en soit, le pays dans lequel nous vivons aujourd’hui ne respecte plus l’État de droit parce qu’il est devenu un État sécuritaire comme les anciens États du bloc soviétique, avec une « communauté » du renseignement dévoyée qui a détourné le camion sur lequel roulent les roues de la justice. Voici une idée : savons-nous avec certitude si la CIA a pu être impliquée dans la regrettable élection de 2020 ? Wow, c’est en dehors des sentiers battus ! Mais, hey, pourquoi pas ? Pensez à toutes les falsifications qu’ils sont capables d’élaborer, et considérez à quel point ils étaient avides de se débarrasser de cet emmerdeur de Donald Trump (qui voulait se débarrasser d’eux !), et considérez également qu’il n’y a pas vraiment de contrôle de leurs activités parce que les autorités de supervision sont 1) la commission des renseignements de la Chambre des représentants d’Adam Schiff (ah ah !), et 2) la commission des renseignements du Sénat de la canaille séditieuse Mark Warner mentionnée plus haut. Ces deux-là appartiennent tellement à la CIA qu’ils doivent avoir une séance hebdomadaire permanente de TGIF pour éplucher les raisins pour la direction de Langley.
Certains sceptiques avisés de l’élection de 2020 pointent du doigt la Chine comme ayant pu interférer dans l’élection qui a installé leur garçon de courses prépayé « Joe Biden » à la Maison Blanche – mais que faire si la véritable action était en fait plus proche de chez nous ? Et pourquoi la CIA n’aurait-elle pas truqué l’élection pour ensuite faire porter le chapeau à la Chine, qui est déjà dans le collimateur des États-Unis pour avoir offert au monde le SARS-Cov-2 et ses charmants variants ? Je me demande juste… je demande juste… peut-être que cette idée vous a traversé l’esprit aussi.
Avez-vous pensé que le virus offre de merveilleuses possibilités d’exercer la coercition de l’État sur un public effrayé ? Pas plus tard qu’hier, le secrétaire d’État à la santé et aux services sociaux, Xavier Becerra, a déclaré qu’il était « absolument du ressort du gouvernement de savoir qui a été vacciné ». Bien sûr, c’est tout autant l’affaire du public de savoir quel est le chiffre exact des cas de Covid et des décès, ainsi que des réactions indésirables des « vaccins » à base d’ARNm et des décès induits. Et, à titre d’exemple, deux comtés de Californie ont récemment revu à la baisse de 20 % leur nombre total de cas pour l’ensemble du mélodrame du virus – tant il est vrai que de nombreux cas n’étaient que le fait d’hôpitaux jouant avec la bureaucratie fédérale pour obtenir des subventions plus élevées liées au virus. Et, après un mois à se faire taper dessus pour avoir menti à propos de ceci et de cela, le chef de la santé américaine Covid-19, Anthony Fauci (« The Science ») est retourné à la télévision par câble pour dire au pays de « s’y faire ». Il veut parler de leur « hésitation » à propos des vaccins. Pourquoi quelqu’un, à part le sébacé Chris Hayes sur MSNBC, le croirait-il ?
Une autre caractéristique du pays que j’aimerais retrouver, c’est la liberté de vivre sans le harcèlement des idiots utiles de l’Éveil qui travaillent jour et nuit pour détruire le sens même de la langue tout en poussant la culture, la tradition et l’héritage américains dans sa chambre à gaz « antiraciste ». Le conseil scolaire de la ville voisine a voté hier soir pour conserver le nom de l’équipe de football de l’école secondaire : Indians. Je prends ce petit acte local de chutzpah comme un bon présage nous indiquant que le vent a tourné. Nous voulons retrouver notre pays. Nous voulons retrouver l’état de droit. Nous voulons retrouver la réalité. Nous voulons retrouver la bonne foi. Comme Martin Luter King aurait pu le dire : de chaque colline et de chaque taupinière, que la liberté résonne !
Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d’abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu’au ciel.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone