L’omerta sur les vaccins se fissure


Par Wayan – Le 20 octobre 2021

Une fois n’est pas coutume, nous allons vous présenter deux vidéos pêchées sur You Tube, vidéos tirées d’une émission de CNews, un des phares de la TV système, avec son animateur vedette, Pascal Praud.

Je vous vois déjà reculer d’effroi en vous disant « mais qu’est-ce qu’il leur prend au SF de vouloir nous relayer la propagande de CNews ». Tenez bon pourtant et allez jusqu’au bout car ces vidéos montrent que l’omerta sur le danger des vaccins est en train de se fissurer. La première est le témoignage d’un mari dont la femme subit des effets collatéraux mortels du vaccin ARNm anti-covid, la deuxième est la réaction de Martin Blachier à ce témoignage.

Il semble que la presse système commence à sentir que la narrative dans laquelle elle essaye de tenir la population prend l’eau, la résistance étant trop forte, tant en France que dans d’autres pays, et qu’il est temps de commencer à retourner sa veste et protéger ses arrières, comme le fait Blachier ici.

Pascal Praud se dévoue donc pour donner le premier coup de marteau dans le mur de la narrative « vaccins efficaces et sans danger ». Espérons que les autres suivront rapidement. Quant à voir Blachier dire et redire « mais on ne l’a pas caché », c’est aussi pathétique qu’un violeur sourd qui plaiderait pour sa défense ne pas avoir entendu les cris de refus de sa victime et qu’il pensait donc qu’elle était consentante. Leur niveau de forfaiture montre le degré de pourriture de la tête du poisson France.

On voit encore ici que, comme l’écrit Philippe Grasset sur son blog De defensa, « De tout cela émerge une sorte de situation de très-grand désordre où la première victime est l’ordre voulu par le Système, l’ordre-PC (du Politiquement Correct). Non pas que le PC n’existe plus, bien au contraire : il est partout proclamé mais il l’est à visage découvert, avec sa vilaine binette et son haleine puante, et donc finalement aussi bien dénoncé que proclamé. Ainsi le “camp du Bien” sent-il parfois que le “Bien” lui échappe et la vulnérabilité de son simulacre-narrative, de son déterminisme narrativiste, apparaît en pleine lumière. Rien n’effraie plus le Système et le “camp du Bien” que la pleine lumière ; l’œil clignote et fond la vertu comme beurre au soleil… ».

   Envoyer l'article en PDF