Comment les libéraux/la gauche ont détruit la civilisation occidentale


Et ciblent la blanchitude à éradiquer


Le 12 décembre 2020 – Source Paul Craig Roberts

Les libéraux ont détruit la civilisation occidentale en enseignant aux Américains noirs la haine des Blancs, leurs « oppresseurs ». Ce qui a rendu impossible la diversité raciale et le multiculturalisme. S’il n’y a pas d’assimilation, alors c’est la désunion.

La gauche a détruit la civilisation en faisant de la classe ouvrière – les « Trump deplorables » – le véritable oppresseur. Ce qui a libéré l’avidité des élites jusqu’alors réfrénée par la classe ouvrière. Aujourd’hui le parti travailliste britannique et le parti démocrate américain représentent l’élite. Voyez à quel point Tony Blair et les Clinton furent enrichis par l’élite.

Les libéraux ont ouvert les frontières des pays occidentaux à l’immigration-invasion. Alors que des peuples à la peau plus foncée entrent à flots dans les pays de race blanche, les libéraux leur disent que les Blancs sont leurs oppresseurs. C’est ainsi que beaucoup de haine fut importée en Occident où le statut de victime des « gens de couleur » est utilisé pour brider la liberté d’expression et d’association des Blancs. L’assimilation, tenue pour raciste et destructrice de la diversité et du multiculturalisme, a pris fin officiellement. Ainsi fut détruite l’unité que nourrissait l’assimilation.

Les Blancs libéraux/de gauche en subiront les conséquences, comme dans le roman de Jean Raspail, « Le camp des saints », de la même manière que les « Trump deplorables ».

Bien entendu, tous les immigrés envahisseurs ne sont pas haineux. Certains apprécient d’avoir de meilleures chances dans l’existence et ils défendent le système, mais d’autres voient l’avantage politique du statut de victime et en profitent. D’une manière générale, l’attaque est plus payante que la défense. L’initiative est dans l’accusation, non dans la défense.

La gauche a détruit l’unité américaine avec « la politique de l’identité », « le racisme systémique », et « la théorie critique de la race »; elle a mis Karl Marx la tête en bas en définissant la classe ouvrière comme l’oppresseur raciste et misogyne des « gens de couleur » et des femmes. La gauche a fait passer la classe ouvrière du statut de victime à celui d’oppresseur. La bête noire (« the black hat ») n’est plus le capitaliste qui exploite le travailleur. Pour le libéral/la gauche, la bête noire diabolisée, c’est « la classe ouvrière blanche raciste et sexiste ».

Les prétendues « minorités raciales » sont, en réalité, des majorités massives. Les Blancs constituent un faible pourcentage des habitants de la Terre. Il y a plus de « gens de couleur » dans de simples pay, comme l’Inde ou la Chine, qu’il n’y a de Blancs dans tout l’Occident.

Le parti Démocrate a fait de « la politique de l’identité » une idéologie et il justifie le vol d’une élection comme un moyen nécessaire pour abolir l’« être-blanc » [ la « blanchitude », NdT] et tous ses péchés et ses crimes qu’incarnent, à ses yeux, Donald Trump et les « deplorables ».

L’arme idéologique est ce qui rend dangereux les Démocrates et leurs milices, Antifas et BLM. Comme l’a écrit Alexandre Soljénitsyne, « l’idéologie: c’est elle qui donne au crime sa justification tant recherchée et à celui qui le commet la fermeté durable dont il a besoin. »

Il faut de l’assurance et de l’audace au Congrès Démocrate National (« Democratic National Congress », DNC) pour organiser le vol d’une élection présidentielle, aux antifas et BLM pour agresser des inconnus, pour piller et brûler les commerces des Blancs et menacer leurs quartiers. Leur assurance vient de de ce qu’ils sont convaincus qu’il faut en finir avec l’« être-blanc ». Leur audace vient de ce qu’ils savent que la confiance en eux-mêmes des Blancs a été affaiblie par des années de diabolisation et qu’en conséquence, ils pourront être malmenés impunément.

De même que dans le « 1984 » d’Orwell, Big Brother a besoin d’un ennemi du peuple, de même le libéral/la gauche a besoin d’un ennemi et en a forgé un: « le suprémacisme blanc ». Mais où est l’idéologie de l’ennemi ? Ne lui a-t-on pas inculqué, pendant des décennies, dans le système éducatif, des choses comme la « théorie critique de la race », le « racisme systémique », et « la politique de l’identité » ? Où est le Jacques Derrida de l’« extrême-droite » qui déconstruira l’idéologie anti-blanche et la « politique de l’identité » ? Qui, dans le monde politique, universitaire, médiatique, judiciaire protègera les Blancs contre les discours et les crimes de haine? Personne.

Donc le combat est inégal. L’attaque contre les Blancs est sous-tendue idéologiquement et les Blancs n’ont pas de défense. Toute défense de leur part est tenue par le libéral/la gauche comme la preuve même de leur racisme.

Les Juifs, en particulier les sionistes, ont abondamment montré que la diabolisation des Juifs conduisait à leur extermination. La diabolisation humilie, et ce fut la tactique utilisée au XXème siècle pour détruire la classe ou la race perçue comme ennemie.

Il est réaliste de s’attendre à ce que les Blancs, diabolisés, subissent le même sort. Le processus a déjà commencé.

Paul Craig Roberts

Traduit par J.A., relu par Hervé pour le Saker Francophone

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