Reporter en chambre…
Ici Londres


L’Observatoire syrien des droits de l’homme n’est qu’un grossier outil de propagande de la presse occidentale.

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L’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme.Un seul homme, immigré, chez lui, en Grande-Bretagne


Par Steven MacMillan – Le 12 décembre 2015 – N.E.O.

Depuis que la Russie a débuté ses opérations militaires en Syrie contre les forces terroristes travaillant pour le compte de l’Otan et des pays du Golfe, de douteux comptes rendus sont apparus dans les médias occidentaux prétendant que la Russie a ciblé et tué des civils. Pourtant la majorité de ces organes de presse qui sont apparemment le must du journalisme en Occident publient des articles qui ne sont basés que sur une ou deux sources assez discutables.

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Business as usual !

L’UE achète à prix d’ami du pétrole aux auteurs des attentats sur son sol


Comment l’UE importe, via Israël, le pétrole de Daech finançant ainsi les armes qui tuent ses propres enfants


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Lors d’une conférence de presse en marge de la COP21 au Bourget, le président russe Vladimir Poutine a lié pour la première fois la décision de la Turquie d’abattre le SU-24 russe à la lutte engagée par son pays contre le trafic de pétrole clandestin de l’organisation État islamique à destination de la Turquie :

«Nous avons toutes les raisons de penser que la décision d’abattre notre avion a été dictée par la volonté de protéger ces chemins d’acheminement de pétrole vers le territoire turc, justement vers ces ports depuis lesquels il est chargé sur des navires-citernes.»

Le président russe confirme en cela les informations révélées par le journal al-Araby, qui documentait les conditions opérationnelles de l’acheminement du pétrole de Daech en Turquie. Ces informations, que j’avais relayées dans un précédent article, ont depuis trouvé un écho dans la presse internationale, notamment via l’agence de presse russe Sputnik news et le site israélien Globes.

L’article original publié par al-Araby et repris par Zerohedge synthétisait notamment de nombreux éléments factuels concernant les exportations de pétrole de Daech sous la forme d’un itinéraire cartographié qui aboutissait au port de Ceyhan en Turquie où, mélangé au pétrole illégal importé du Kurdistan irakien, ce dernier est chargé sur des tankers. Un transbordement est ensuite effectué au large de Malte afin de masquer la provenance du brut, qui est ensuite livré au port israélien d’Ashdod.

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Selon le ministre syrien de l’Information, le fils du président turc Erdogan est directement impliqué dans ce trafic via la compagnie maritime BMZ Group dont il est l’un des propriétaires et qui opère plusieurs tankers sous pavillon maltais. Si l’implication du clan Erdogan n’est pas surprenante, la deuxième partie de l’histoire révèle cependant  le rôle central d’Israël dans ce trafic.

Vendu aux alentours de 20$ par Daech à la frontière turque, le pétrole est exporté puis raffiné au port d’Ashdod, sur la côte israélienne, d’où une partie serait revendue à plusieurs sociétés pétrolières privées opérant sur le marché européen, à un prix compris entre 30 et 35 dollars le baril.

Le pétrole illégal du Kurdistan couvre 75 % de la consommation israélienne, et un tiers de ce volume est importé de Turquie via le port de Ceyhan qui couvre également la production de l’État islamique. Israël est ainsi le principal négociant de brut de Daech.

Si l’État hébreux réserve une partie de ces importations pour sa consommation domestique, une autre partie est exportée vers l’Europe en ayant acquis un statut légal durant son transit à Ashdod.

Selon les sources d’al-Araby, une partie du brut serait expédié par des sociétés privées vers une raffinerie italienne, qui constituerait donc la porte d’entrée du pétrole de Daech dans l’Union européenne.

Le journal basé à Londres ne donne pas le nom de cette raffinerie mais précise cependant qu’elle est la propriété d’un homme d’affaire italien possédant également un club de football de premier plan en Série A. Il pourrait ainsi s’agir de Massimo Moratti, propriétaire de l’Inter de Milan jusqu’en 2013 et dont la holding, Saras, détient la plus grande raffinerie du pays à Saroch, près de Cagliari.

L’enquête du journal al-Araby corrobore ainsi les déclarations qu’avait faites l’ambassadrice de l’Union européenne en Irak, Mme Jana Hybaskova, le 2 septembre 2014 devant la Commission des affaires étrangères du Parlement européen, affirmant que des États européens achetaient le pétrole d’État islamique…

Guillaume Borel

Article original publié par Arrêt sur Info

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Neuvième semaine de l’intervention russe en Syrie : l’Empire contre-attaque


«Voilà cinquante ans, les rues de Leningrad m’ont appris une leçon, si le combat est inévitable, frappez le premier»

Vladimir Poutine


2015-09-15_13h17_31Par le Saker original – Le 5 décembre 2015 – Source thesaker.is

Vu le succès remarquable de l’intervention russe en Syrie, du moins jusqu’à présent, ce n’aurait pas dû être une surprise que l’Empire anglosioniste contre-attaque. La seule question était de savoir comment et quand. Nous connaissons aujourd’hui la réponse. Continuer la lecture

Syrie : sang contre pétrole, l’ultime guerre du Pipelinestan


Non, la Syrie n’est pas connue pour avoir beaucoup de pétrole elle-même, mais elle est en travers du chemin du gaz du Moyen-Orient vers l’UE


Pepe Escobar

Pepe Escobar

Par Pepe Escobar – Le 8 décembre 2015 – Source Russia Insider

La guerre en Syrie est une guerre pour l’énergie. Avec, au cœur de la question, une compétition géopolitique vicieuse entre deux projets de gazoducs, il s’agit de la guerre ultime du Pipelinestan, le terme que j’ai forgé il y a longtemps pour désigner les champs de bataille impériaux de de l’énergie au XXIe siècle.

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A la veille de la guerre, les cavaliers de l’Apocalypse se préparent


Le 30 novembre 2015 – Source Deutsche WirtschaftsNachrichten

Pour la première fois depuis des décennies, toutes les grandes puissances européennes, ainsi que la Russie et les États-Unis, vont entrer en guerre en Syrie. Ensemble ou les unes contre les autres, ce n’est pas encore clair. Le fait est que ces guerres font rage depuis longtemps sous une forme ou une autre. Elles ont un potentiel de destruction énorme. Car personne ne sait exactement qui est ennemi et qui est ami. La situation est éminemment dangereuse. Continuer la lecture

Censure médiatique : la société civile laissée dans une ignorance taillée sur mesure

Par Gilbert Doctorow – le 3 décembre 2015 – Source Une parole franche.

Alors qu’il est bon que la narrative [anti-]russe soit reproduite [sans discussion] dans les médias dominants, l’approche par une presse qui se veut indépendante entraîne une certaine confusion dans les rédactions sur la manière de traiter une actualité qui ne correspond pas à l’image d’une Russie ennemie de l’Occident…

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Bachar al-Assad : la France soutient les terroristes qu’elle prétend combattre (VOSTFR)


Par Sayed Hasan – Le 5 décembre 2015 – Source sayed7asan

Alors que Laurent Fabius vient de déclarer que la France ne considère plus le départ de Bachar al-Assad comme une condition préalable au processus de transition politique, rompant avec plusieurs années d’intransigeance remarquable à cet égard (notre ministre des Affaires étrangères était allé jusqu’à déclarer que «Bachar al-Assad ne mériterait pas d’être sur la terre» et que al-Nosra, branche d’al-Qaïda, «fait du bon boulot» en Syrie, une première dans les annales de la diplomatie en temps de paix), et prétend s’engager plus fermement dans la lutte contre Daech en Syrie même, où le rôle de l’Armée syrienne est incontournable, il est bon de rappeler que de son côté, la Syrie n’est nullement prête à coopérer avec la France, qui avait notamment reconnu armer l’ «opposition modérée» syrienne.

Interview de Bachar al-Assad par une chaîne de télévision tchèque le 1er décembre 2015

Vidéo traduite et sous-titrée par Salah Lamrani

https://www.youtube.com/watch?v=z4Yy80F2dnk

 

Journaliste : Mais 250 000 victimes, c’est inconcevable, quel que soit le pays.

Bachar al-Assad : C’est le résultat prévisible face à du terrorisme soutenu par des puissances régionales et par l’Occident. Il ne s’agit pas seulement de terroristes issus de l’intérieur de la Syrie. Il s’agit de terroristes qui viennent de plus de 100 pays du monde. Ils veulent faire de la Syrie une plaque tournante du terrorisme, et la situation actuelle en est la conséquence naturelle. Et si nous n’avions pas défendu notre pays, le nombre de victimes serait décuplé.

Journaliste : Vous parlez du terrorisme. Il semble que durant les derniers jours, la crise syrienne a connu des développements majeurs. Selon vous, quelle fut la date la plus importante quant au développement de cette crise : le 30 septembre, avec l’intervention russe, ou le 13 novembre, avec les attaques terroristes à Paris?

Bachar al-Assad : Sans aucun doute, il s’agit de l’intervention russe, ou de ce qu’ils ont appelé le front contre le terrorisme. C’est l’événement le plus important car il s’agit de mesures concrètes contre le terrorisme.

En revanche, ce qui se passe à Paris au niveau politique ne vise qu’à dissiper le sentiment des Français, avec une posture des Français prétendant qu’ils vont attaquer Daech, d’une manière très différente. Mais qu’est-ce que cela signifie ? Qu’ils n’étaient pas sérieux avant les attaques de Paris ? Tout ce qu’ils vont faire est d’apaiser le sentiment des Français, rien de sérieux, alors que les Russes sont très sérieux dans la lutte contre le terrorisme, d’autant plus qu’il y a de la coopération entre eux et l’Armée Syrienne.

Journaliste : Vous pensez donc que l’augmentation des attaques de la grande coalition occidentale menée par les Etats-Unis est sans effet ?

Bachar al-Assad : Depuis la formation de cette coalition, si on veut parler de faits et non pas d’opinions, Daech s’est étendu, et son recrutement partout dans le monde a augmenté. Alors que depuis l’intervention de la Russie dans cette même prétendue lutte contre le terrorisme, Daech a été affaibli, ainsi qu’al-Nosra et les autres groupes terroristes. Telle est la réalité. Voilà ce que disent les faits.

Journaliste : N’est-ce pas simplement dû au fait que sur le plan militaire, l’Armée de l’Air russe a pu collaborer avec les forces de l’Armée syrienne ?

Bachar al-Assad : Bien sûr qu’il y a une telle coopération, c’est ce que j’ai dit. Vous ne pouvez pas combattre le terrorisme par des interventions aériennes, vous ne pouvez pas, c’est impossible. Les Américains ont essayé de le faire en Afghanistan depuis combien de temps ? Depuis plus de 12 ou 13 ans. Sont-ils parvenus à un quelconque résultat ? Nullement. Le terrorisme reste fort en Afghanistan. C’est donc impossible. Vous avez besoin de coopération à l’intérieur du pays en question. Et quelle est la puissance majeure en Syrie ? L’Armée syrienne, et, bien sûr, le gouvernement.

Journaliste : Le Président français essaie de former une coalition plus large contre le terrorisme. Êtes-vous sceptique quant à ses efforts ?

Bachar al-Assad : Bien sûr (que je le suis). S’ils voulaient vraiment tirer les leçons de ce qui s’est passé dernièrement à Paris, pourquoi n’ont-ils pas appris de [l’attaque contre] Charlie Hebdo ? Le même principe, le même concept est à l’œuvre. Et nous avions alors déclaré que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et que ce qui se trouvait sous l’eau était bien plus important. Ils n’en ont pas tiré les leçons. Voilà le premier point.

Deuxièmement, vous ne pouvez pas combattre le terrorisme tout en soutenant directement les terroristes, en leur fournissant des armes et en ayant des alliances avec les soutiens les plus farouches du terrorisme international, à savoir le Royaume d’Arabie saoudite. C’est impossible. C’est contradictoire. Vous ne pouvez pas être à la fois le gendarme et le voleur. Il faut choisir votre camp.

Journaliste : Mais je n’ai pas entendu parler d’approvisionnement occidental d’al-Nosra ou de Daech.

Bachar al-Assad : Vous pouvez en trouver les preuves les plus éclatantes sur Internet : les Français, et d’autres parties bien sûr, leur fournissent des armes, l’exemple français est clair. Comment un pays comme la France pourrait-il vendre de telles armes pour une destination inconnue, sans savoir entre quelles mains elles finiront ? C’est impossible. Ils le savent, via l’Arabie saoudite, via le Qatar, et peut-être via d’autres pays, ils savent très certainement [que leurs armes finissent entre les mains des terroristes].

Journaliste : Il y a eu un incident à la frontière turque, un bombardier russe abattu [par la Turquie]. Pensez-vous que cet incident va avoir un impact sur les résultats de l’effort de la présidence française visant à former une coalition plus large ? Pensez-vous que cela va compliquer les pourparlers de paix en Syrie ?

Bachar al-Assad : Je ne le pense pas, mais je pense que cet incident a montré les véritables intentions de Erdogan, qui, disons, a perdu le contrôle de ses nerfs simplement parce que l’intervention russe a modifié l’équilibre des forces sur le terrain. L’échec de Erdogan en Syrie, l’échec de ses groupes terroristes implique la fin de sa carrière politique. C’est pourquoi il est prêt à faire n’importe quoi pour entraver toute perspective de succès. Il a fait cela, mais je ne pense pas que cela changera en quoi que ce soit l’équilibre des forces.

La guerre contre le terrorisme se poursuit, la participation russe va se faire de plus en plus forte et elle l’est déjà de toute façon, et je pense qu’il n’y a pas de possibilité de marche arrière à cet égard, que Erdogan fasse encore une telle chose, de la même manière ou d’une autre manière (ou pas).

Journaliste : Le Président américain dit qu’il ne veut pas refaire la même erreur en lançant une opération terrestre sans savoir qui va remplir le vide (politique). La plupart des candidats à l’élection présidentielle ont dernièrement déclaré qu’ils veulent faire bien plus qu’une campagne de bombardements aériens (contre Daech). Selon vous, quelle est l’approche la plus réaliste qui permettra de vaincre véritablement Daech ?

Bachar al-Assad : En fait, si vous voulez parler du terrorisme en général et pas seulement de Daech, vous avez plusieurs axes, plusieurs aspects pour la résolution (de ce problème) : une partie concerne l’idéologie, une autre concerne l’économie, ou la coopération et les prises de positions politiques, etc. Et le dernier point est la coopération sur le plan sécuritaire et le combat direct.

Du fait de la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement, il n’y a pas d’autre choix que de les combattre directement, mais cela n’est pas suffisant. Si vous voulez les combattre et les vaincre, il faut couper et étouffer leurs lignes d’approvisionnement en armes, en argent et en recrues, qui viennent principalement de Turquie, avec le soutien de l’Arabie saoudite et du Qatar. Telle est la première chose à faire tandis que vous les attaquez au sol.

Maintenant, le problème est que nous combattons des terroristes qui bénéficient d’un approvisionnement illimité et incontrôlable de la part de différents pays, surtout des pays de la région, avec le soutien ou la bienveillance de l’Occident, de certains pays occidentaux pour être précis.

Journaliste : Vous avez dit que votre priorité est de vaincre les terroristes avant toute solution politique. Qu’entendez-vous par vaincre le terrorisme ? Qu’il n’y ait plus de groupes d’opposition armés en Syrie ?

Bachar al-Assad : Vous ne pouvez pas parler d’opposition au sens politique tant qu’ils prennent les armes. Vous savez bien que dans vos pays, lorsque vous parlez d’opposition, il ne s’agit que de mouvements politiques. Premier point.

Deuxièmement, s’il s’agit d’une opposition politique, elle doit avoir une base populaire. Donc lorsque nous parlons de rebelles, de militants lourdement armés qui attaquent le peuple, les Syriens, l’Armée syrienne, qui détruisent les biens publics et privés, etc., il s’agit de terrorisme, il n’y a pas d’autre terme. Nous n’acceptons pas cette catégorisation comme «militants de l’opposition», ou «opposition militaire», ou «opposition modérée prenant les armes». Ce n’est pas de l’opposition, c’est du terrorisme.

L’opposition est pour nous un mouvement politique. A l’extérieur ou à l’intérieur de la Syrie, peu importe. Bien sûr, l’autre aspect de l’opposition est d’être patriotique. On ne peut pas parler d’opposition lorsqu’elle est formée en France, au Qatar, en Arabie saoudite, aux États-Unis ou au Royaume-Uni. L’opposition doit être syrienne et pour les Syriens, et nous avons une opposition syrienne, nous avons une véritable opposition syrienne. Quelle est son importance, quelle est sa force, c’est une autre question.

Vaincre le terrorisme signifie donc supprimer tous les obstacles qui entravent le processus politique. Maintenant, si vous vous mettez d’accord sur telle étape ou telle procédure avec n’importe quelle opposition dans le monde, et j’entends par là l’opposition syrienne, que pourrez-vous obtenir ? Pourrez-vous tenir de véritables élections ? Pourrez-vous apporter de la stabilité au pays grâce à l’opposition ? En aucun cas. Les terroristes vivent dans leur propre monde, ils ont leurs propres objectifs, leur propre agenda et leur propre idéologie, c’est complètement différent de la partie politique (du problème).

Si vous vous engagez dans le processus politique – et il faut le faire, je n’ai pas dit que nous n’avons pas commencé à le faire –, je dis que si vous voulez véritablement avancer, de manière concrète, cela doit se faire après que nous ayons commencé à vaincre le terrorisme. Je n’ai pas dit après que nous l’ayons vaincu, car le vaincre est un long processus. […]

 Article  original publié par SANA

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La Russie et la Turquie semblent en passe de revenir à de meilleurs sentiments

M.K. BhadrakumarPar M K Bhadrakumar – le 1er décembre 2015 – Source Indian Punchline

Le Président de la Russie, Vladimir Poutine, et son homologue turc, Recep Erdogan, sont presque certains de se rencontrer, aujourd’hui, à un moment donné de la Conférence sur le changement climatique à Paris. Erdogan va-t-il essayer d’éviter Poutine, ou vont-ils tout simplement s’asseoir à l’écart pour discuter comme des gens raisonnables?

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Témoignage sur la vie quotidienne en Syrie [3/5]

Note du Saker Francophone 

Nous présentons, en trois articles, le témoignage de Marie-Ange Patrizio.
Marie-Ange est retraitée, psychologue de formation, elle a effectué plusieurs voyages en Syrie et nous livre ici, en libre opinion, ce qu'elle a constaté lors de ses rencontres sur place.

3-17 octobre : derrière l’image médiatique, le courage et la détermination des Syriens

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Devinez pourquoi les États-Unis ne bombardent pas (sérieusement) le trafic de pétrole de EI

Moon of Alabama

Moon of Alabama

Le 30 novembre, Source : Moon of Alabama

Les États-Unis n’ont commencé à bombarder le système d’infrastructure pétrolière et de distribution de pétrole de État islamique que lorsque le président russe Poutine a mis le président américain, Barack Obama, dans l’embarras au G20. Poutine a montré des images satellites d’énormes regroupements de camions citernes attendant d’être remplis dans le désert.

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