Par Moon of Alabama − Le 25 mars 2020
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a profité de la crise du coronavirus pour perpétrer un coup d’État.
Par Moon of Alabama − Le 25 mars 2020
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a profité de la crise du coronavirus pour perpétrer un coup d’État.
Par Laurent Guyénot – Le 27 janvier 2020 – Source Unz Review
Dans les années 1990, deux best-sellers ont porté à la connaissance d’un large public le fait que l’assassinat du Président John Kennedy en 1963 a résolu une crise intense sur le programme nucléaire secret d’Israël. Dans une de ses dernières lettres à Kennedy, citée par Seymour Hersh dans son livre The Samson Option (1991), David Ben Gourion se plaignait : « Monsieur le Président, mon peuple a le droit d’exister […] et cette existence est en danger. 1» L’arme atomique été jugée vitale pour Israël, et Kennedy s’y opposait. Une critique du livre d’Avner Cohen Israel and the Bomb (1998) paru dans le journal israélien Haaretz disait les choses ainsi :
Le meurtre du président américain John F. Kennedy a brusquement mis fin à la pression massive exercée par l’administration américaine sur le gouvernement d’Israël pour mettre fin au programme nucléaire. Cohen démontre longuement les pressions exercées par Kennedy sur Ben Gourion. […] Le livre implique que, si Kennedy était resté en vie, il est douteux qu’Israël ait aujourd’hui une option nucléaire.2
Par Alastair Crooke − 15 janvier 2020 − Source Strategic Culture
L’Iran n’en a pas fini. Le général Hajizadeh, commandant de l’IRGC Aerospace Force, a déclaré hier dans un briefing que la récente frappe “était le point de départ d’une grande opération”. Il a également souligné que “les frappes n’étaient pas censées faire des morts : nous avions l’intention [plutôt] de porter un coup à la machine militaire ennemie”. Et le Pentagone dit également que l’Iran a intentionnellement évité les troupes américaines dans ses bases.
Par Daniel McAdams − Le 1er février 2020 − Source Ron Paul Institute
Il existe un réel danger pour les conseillers et analystes de politique étrangère – et en particulier pour ceux qu’ils servent – lorsqu’ils se trouvent dans une bulle, une chambre d’écho, et que toutes leurs conclusions sont basées sur des données erronées. Inutile de dire que c’est encore pire quand ils croient qu’ils peuvent créer leur propre réalité et inventer de toutes pièces des narratifs fictifs.
Par The Saker − Le 6 février 2020 − Source Unz Review via thesaker.is
Le sujet des Russes et des Juifs est clairement un sujet «brûlant». Au cours des dernières années, j’ai écrit plusieurs articles sur ce sujet, dont «Poutine et Israël : une relation complexe à plusieurs niveaux», «Pourquoi Poutine ‘permet-il’ à Israël de bombarder la Syrie ?», “La Russie, Israël et les valeurs de la ‘Civilisation Occidentale’ – Où est la vérité ?” Et “Démystifier les rumeurs sur la Russie cédant à Israël“. Et pourtant, depuis un certain temps, j’ai le sentiment qu’il y a encore beaucoup à dire et à redire sur ce sujet.
Par Whitney Webb – Le 14 janvier 2020 – Source Mint Press News
Si les réseaux informatiques de l’armée américaine, de la communauté du renseignement et d’une foule d’autres organismes fédéraux américains utilisaient le logiciel d’une entreprise ayant des liens profonds, non seulement avec des entreprises étrangères ayant des antécédents d’espionnage contre les États-Unis, mais aussi avec le renseignement militaire étranger, cela attirerait – à tout le moins – une attention considérable de la part des médias. Pourtant, aucun article n’a, jusqu’à présent, noté qu’un tel scénario existe déjà à grande échelle et que la société qui fabrique ce logiciel a récemment simulé l’annulation des élections de 2020 et la déclaration de la loi martiale aux États-Unis.
Par Whitney Webb – Le 4 janvier 2020 – Source Mint Press
Journée d’élection présidentielle de 2020 : 32 Américains morts, plus de 200 blessés, la loi martiale est déclarée et l’élection elle-même est annulée. Même si cet horrible scénario ressemble surtout à l’intrigue d’un film hollywoodien, il est pourtant le résultat final d’une récente simulation enquêtant sur la préparation des responsables américains du Federal Bureau of Investigation (FBI), du ministère de la sécurité intérieure (DHS) et des services secrets américains à contrer des “éléments nuisibles” cherchant à saper la prochaine élection présidentielle.
Cette simulation n’a pas été organisée par le gouvernement mais par une société privée ayant des liens étroits avec des services de renseignement étrangers et nationaux, société qui est également financée par des investisseurs ayant des liens visibles avec des personnes qui pourraient en bénéficier, si un résultat électoral aussi catastrophique devenait réalité.
L’attitude des États-Unis au Moyen-Orient nous prépare une catastrophe
Par The Saker − Le 29 janvier 2020 – Source Unz Review via thesaker.is
Mensonges, sacrés mensonges et statistiques
Il s’avère que Trump et le Pentagone mentaient encore cette fois, sur le véritable impact de la contre-attaque iranienne sur les forces américaines en Irak. Ils ont d’abord affirmé qu’il n’y avait pas de personnel américain blessé, pour finalement devoir cracher le morceau que 34 soldats avaient subi une lésion cérébrale traumatique, que Trump a «reclassée» comme un «mal de tête». Ensuite, ils ont dû admettre que ce n’était pas vraiment 34, mais en fait 50 !
Par V.I.P.S. – Le 3 janvier 2020 – Source Consortium News
MÉMORANDUM POUR : Le Président
DE : Anciens Professionnels du renseignement pour le bon sens (VIPS)
SUJET : Tomber dans une autre “marche de la folie” ?
L’assassinat par drone, en Irak, du commandant de la force iranienne Quds, le général Qassem Soleimani, rappelle l’assassinat de l’archiduc autrichien Ferdinand en juin 1914 qui a conduit à la Première Guerre mondiale. Le Guide suprême de l’Iran, l’ayatollah Ali Khamenei, a rapidement mis en garde contre une “terrible vengeance”. Il est presque certain que l’Iran exercera des représailles au moment et à l’endroit de son choix. Et une escalade vers la troisième guerre mondiale n’est plus une lointaine possibilité, surtout si l’on considère la multitude de cibles vulnérables qu’offre notre importante position militaire dans la région et dans les mers avoisinantes.
Par The Saker − Le 7 novembre 2019 − Source Unz Review via The Saker
Introduction : bref survol du nid de coucou
Mon idée initiale était de commencer par une définition de «l’islamophobie», mais après avoir cherché diverses définitions, j’ai décidé d’utiliser ma propre définition, très primitive. Je définirai l’islamophobie comme la conviction que l’islam (la religion) et / ou les musulmans (les adeptes de cette religion) représentent une sorte d’ensemble plus ou moins cohérent qui constitue une menace pour l’Occident. Il s’agit de deux arguments distincts réunis en un seul : le premier affirme que l’islam (la religion) représente une sorte de menace pour l’Occident, tandis que le second affirme que les personnes qui embrassent l’islam (les musulmans) représentent également une sorte de menace pour le monde occidental. En outre, cet argument repose sur deux hypothèses cruciales.